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AccueilStratégie achats
En amont de la Conférence des Achats Indirects qui s’est tenue le 30 juin, Crop and Co et Acxias, en partenariat avec Décision Achats, ont menée une étude sur les achats indirects. Elle a été administrée, sur Internet, du 1er au 24 juin 2016. 259 personnes y ont répondu dont 50 % de directeurs et responsables achats, dont 18 % de responsables achats indirects. Les autres répondants étant des acheteurs, mais aussi des chargés de coordination, des consultants et des administratifs. Les répondants étaient issus à 55% de l’industrie, à 37% du domaine des services et à 8% du secteur public.
Premier enseignement: les directions achats indirects sont loin d’être une évidence puisque seuls 44% des répondants indiquent que leur entreprise est dotée d’une direction achats indirects. Les enjeux de ces achats ne sont encore que peu pris en charge compte. Preuve en est: 13.5% des sondés répondent que les achats indirects ne sont pas une priorité. Du coup, pour 37% des répondants, “les achats indirects sont gérés comme des achats directs”.
Mais les choses bougent : 26% des répondants expliquent que les achats indirects font l’objet d’actions récentes. La difficulté est d’avoir les compétences en interne pour traiter ces familles et les données,qui sont peu accessibles dans les systèmes d’information.
Interrogés sur l’importance, pour leur organisation des différentes familles d’achats, ils mettent l’accent sur les système d’information et télécom puis sur les familles à fort potentiel financier; Capex, énergie, transport. Quant à l’influence qu’ils pensent avoir sur les prescripteurs internes, elle semble plus importante sur les flottes (49%), les voyages, le FM et l’énergie. “Ce qui n’est pas une surprise, commente Fabrice Ménelot, de Crop&Co, l’acheteur ayant souvent plus d’influence sur les familles d’achats très diffuses, car aucun acteur en interne n’a un poids conséquent sur ces familles, mais aussi sur les familles d’achats très organisées et concentrées sur le marché fournisseur.”
Un autre enseignement de l’étude concerne les critères de performance utilisés par les services achats. La dimension financière n’est pas le premier critère utilisé. L’acheteur s’intéresse à obtenir la conformité et la satisfaction des clients internes ; “cela lui évite souvent de rentrer dans la peau du cost-killer”, commente Fabrice Ménelot. Ainsi, la conformité de la qualité et les respect des délais sont les critères principaux retenus, ainsi que la qualité des relations et la réduction des risques. Les savings ne viennent qu’ensuite.
L’étude s’intéressait ensuite aux difficultés auxquels les organisations doivent faire face pour gérer les achats indirects. Et les résultats montrent que la mise sous contrôle de ces achats reste complexe (pour 18%). Les achats sauvages sont un problème pour 18% des sondés, avant la charge de gestion importante (17%), la fragmentation et taille de la base fournisseurs (17%), l’absence d’outil informatique adapté ainsi que la multiplicité et hétérogénéité des processus de gestion et outils informatiques utilisés.
Pour améliorer leur performance sur les achats indirects, la majorité des actions de transformation envisagées concerne…l’état des lieux (cité par 34%), un passage obligé pour démarrer. Vient ensuite la modification des process (24%), la réorganisation des catégory management (21%) et la modification des process (21%).
Enfin, l’étude s’est intéressée aux composants de la chaîne P2P utilisés. En tête le catalogue et les outils des procurement, ainsi que le module voyage, qui se prête particulièrement bien à l’exercice.
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