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France: démantèlement d'une filière irako-kurde de passeurs de migrants vers la Grande-Bretagne – Arabnews fr

https://arab.news/neuyv
PARIS : Une importante filière irako-kurde de passeurs de migrants vers la Grande-Bretagne a été démantelée lors d’une opération qui a conduit à la plus grosse saisie de matériels nautiques jamais réalisée en France, a annoncé jeudi à l’AFP le patron de l’Office central spécialisé dans la lutte contre l’immigration irrégulière (Ocriest).
Au cours de cette opération, les enquêteurs ont découvert lundi près de Lille, dans le nord de la France, “une vraie usine à fourniture de matériels nautiques”, a expliqué Xavier Delrieu, chef de l’Ocriest.
Il y avait “13 bateaux pouvant transporter 50 migrants chacun, 14 moteurs de bateaux, 700 gilets de sauvetage, une centaine de gonfleurs, 700 litres de carburant”.
Sept personnes ont été interpellées, quatre hommes et trois femmes. Six sont déférées jeudi devant la justice, une femme ayant été remise en liberté.
Trois hommes sont irako-kurdes, les autres – un homme et deux femmes – sont français.
Les enquêteurs ont établi que depuis l’été, les malfaiteurs avaient réalisé 80 traversées dont 50 réussies. Ils empochaient “80.000 euros par traversée”.
L’enquête a débuté en janvier sur la base d’un renseignement néerlandais parvenu à l’Uro, l’unité de renseignement opérationnel franco-britannique mise en place pour lutter contre ces filières de passeurs en coordination avec Europol et plusieurs pays (Belgique, Pays-Bas, Allemagne).
Il s’agissait d’un contrôle à la frontière entre l’Allemagne et les Pays-Bas de jeunes gens de nationalité française, qui acheminaient des bateaux. Ces “small boats” provenaient d’Allemagne, transitaient par les Pays-Bas pour arriver ensuite sur le littoral nord-ouest de la France.
Les enquêteurs sont ensuite parvenus à l’entrepôt implanté près de Lille et à l’opération déclenchée lundi à la faveur d’un nouvel arrivage de bateaux en provenance d’Allemagne.
https://arab.news/zsh4a
PARIS : La rentrée scolaire a-t-elle été “bonne” comme l’a affirmé Pap Ndiaye ? Trois semaines après le retour en classe et malgré un recrutement exceptionnel de contractuels, des professeurs manquent à l’appel, alimentant le mécontentement des personnels et des parents.
“La rentrée s’est bien passée, elle a été bonne”, répète le ministre de l’Éducation nationale depuis le 1er septembre concédant toutefois des “absences frictionnelles” et des “problèmes à régler”.
Sur le terrain, des collèges et lycées de toutes les académies signalent des heures non assurées, regrettant que la promesse du ministre d’un enseignant devant chaque classe à la rentrée n’a pas été tenue.
“Dans plus de la moitié des établissements du second degré de l’académie de Paris, il manque au moins un enseignant”, assure Ghislaine Morvan-Dubois, présidente de la FCPE locale.
Selon une enquête du premier syndicat de chefs d’établissement, le SNPDEN-Unsa, 62 % des collèges et lycées ont déclaré manquer d’au moins un enseignant entre le 1er et 8 septembre. Avec d’importantes disparités entre les académies : si 88 % des établissements de l’académie de Limoges disaient avoir tous leurs enseignants, ce n’était le cas que de 23 % de ceux de l’académie de Créteil, ou encore de 14,6 % dans celle de Grenoble.
“Nous n’avons pas fait de nouvelle enquête mais la situation de manque de professeurs est loin d’être réglée: il y a toujours des établissements qui restent avec des professeurs manquants”, affirme Bruno Bobkiewicz, secrétaire général du SNPDEN-Unsa.
“Si déjà nous ne sommes pas capables de boucler les affectations définitives à trois semaines de la rentrée, on peut s’inquiéter sur les besoins de remplaçants à venir, ce n’est pas rassurant pour le reste de l’année scolaire”, fait-il valoir.
“Il n’y aura pas d’affectation prochaine dans certains endroits car il n’y a pas de vivier de remplaçants. Il faudrait donc que le ministère l’admette et que l’on mette cartes sur table pour faire avancer cette situation”, complète le chef d’établissement.
Sollicitée pour dresser un bilan des absences d’enseignants, la rue de Grenelle n’a pas donné suite.
https://arab.news/n4rxe
PARIS : “Notre devoir c’est de tenir notre ligne” face au “chantage” du président russe Vladimir Poutine, a affirmé le président français Emmanuel Macron , dans un entretien à la chaîne BFMTV.
“Il y a aujourd’hui une escalade qui est prise par la Russie, à plusieurs égards: la mobilisation partielle (…) et ce discours belliqueux, cette menace, qui a vocation à intimider ou à rappeler que la Russie est une puissance dotée (de l’arme nucléaire, ndlr)”, a déclaré le chef de l’Etat français.
“Dans ce contexte, notre devoir c’est de tenir notre ligne, c’est-à-dire d’aider l’Ukraine comme on le fait, à protéger son territoire, jamais à pouvoir agresser la Russie. Nous ne sommes pas en guerre avec la Russie”, a-t-il poursuivi.
L’annonce par la Russie de la mobilisation de centaines de milliers de réservistes et sa menace d’un recours à l’arme nucléaire, “de manière évidente, c’est du chantage, de manière évidente il dispose de ces armes et le risque est toujours là. Et c’est un moyen de faire pression dans un moment difficile de cette guerre”, a estimé Emmanuel Macron.
Mais “je ne ferai aucune interprétation ni n’aurai quelque propos qui soit qui participerait d’une escalade”, a-t-il insisté.
“La France est une puissance nucléaire raisonnable (…). En général ce n’est jamais bon de faire de la politique fiction, et en particulier sur ce sujet (…) parce qu’on est pris dans le jeu d’une escalade en disant ‘si ceci arrive, alors je ferai cela’. Non”, a encore dit Emmanuel Macron.
“Nous, nous voulons obtenir le résultat qu’on poursuit depuis le début, que l’Ukraine puisse résister, restaurer sa souveraineté, que l’Ukraine et la Russie se remettent autour de la table des négociations”, a-t-il énuméré.
https://arab.news/6bgft
BASTIA : Un homme de 56 ans, déjà condamné pour association de malfaiteurs, a été assassiné mercredi soir dans sa maison de Poggio Mezzana (Haute-Corse), a-t-on appris jeudi auprès du procureur de Bastia et de sources proches de l’enquête.
La victime, Jean-François Servetto, a été atteinte par une balle en plein thorax, en fermant les volets de son domicile, situé dans un hameau de cette commune de plaine orientale, a précisé à l’AFP une source proche de l’enquête.
Une information confirmée par Arnaud Viornery, le procureur de la République de Bastia qui a précisé avoir ouvert une enquête pour “assassinat” et “association de malfaiteurs” confiée en cosaisine à l’antenne de la police judiciaire de Bastia et à la section de recherches de la gendarmerie.
L’épouse de la victime a alerté les secours aux alentours de 22h50.
Sur place, seule une trace de sang devant sa maison de village de deux étages était visible jeudi matin, a constaté un correspondant de l’AFP.
M. Servetto ne posait pas de difficulté dans le village, a précisé à l’AFP une source du voisinage.
Il avait déjà échappé à une tentative d’assassinat le 1er février 2021 en Haute-Corse, sept ans après avoir survécu à une première fusillade.
Il avait été “blessé par balles à Santa-Lucia-di-Moriani, sans que ses jours ne soient en danger”, avait alors précisé à l’AFP Arnaud Viornery.
Le 3 juillet 2013, c’est à une fusillade en Haute-Corse que cet homme avait survécu.
Lors de cette fusillade à Silvareccio, trois hommes avaient été tués par un commando de tueurs lors d’un guet-apens sur une petite route de montagne près de ce village.
Les assaillants avaient pu s’enfuir, mais les gendarmes avaient découvert à bord du véhicule utilitaire des victimes, qui avait fait une chute dans un ravin, des armes de poing et des munitions, des gilets pare-balles, des cagoules et des gants.
L’unique survivant du règlement de comptes, Jean-François Servetto, qui se trouvait à bord du véhicule visé et avait été grièvement blessé, avait été condamné en mai 2016 par le tribunal correctionnel de Bastia à six ans de prison pour association de malfaiteurs en vue de commettre un ou plusieurs assassinats dans cette affaire.
Cette condamnation couvrait également des menaces proférées à l’encontre du maire du village de Linguizetta (Haute-Corse).
En janvier 2021, il avait également été mis en examen pour association de malfaiteurs en vue de commettre un crime et placé sous contrôle judiciaire, soupçonné d’avoir participé à la préparation d’un assassinat dans la région de Cargèse (Corse-du-Sud).

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