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Samuel Gontier
Publié le 19/12/22
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D’après TF1, LCI et BFM
« Je voudrais qu’on regarde une image », propose Anne-Claire Coudray dimanche soir dans l’« édition spéciale » du 20 heures de TF1. « Regardez cette remise de médaille à ces Français… » Ah non, ça, ce n’est pas une remise de médaille. C’est un câlin d’Emmanuel Macron à Kylian Mbappé. Le troisième en moins d’une demi-heure, notre président doit être en mal d’affection. « … Ces Français qui ont fait une Coupe du monde incroyable et qui n’arrivent pas à se réjouir ce soir. » Aucune sensibilité, ces Bleus. « Longuement, Emmanuel Macron les a réconfortés… » Ça devrait suffire à les réjouir. « Kylian Mbappé, pourtant l’auteur des trois buts français ce soir… » Incapable de se réjouir des mamours du président.

© TF1
Anne-Claire Coudray annonce : « On va aller prendre des nouvelles des supporters qui ont vécu très douloureusement cette finale. » Ou pas. « Est-ce que certains sont tout de même restés… » Ou bien ils sont illico allés se mettre une balle ? « … Ne serait-ce que pour dire merci à cette équipe de France qui nous a emmenés aussi loin ? » Pardon, elle ne m’a pas emmené plus loin que mon canapé. « Une poignée de supporters est restée sur les Champs-Élysées, rapporte un envoyé spécial. La fête était parfaite, tout était prêt… Et malheureusement les Argentins en ont décidé autrement. » Maudits Argentins, ces fourbes ont gâché la soirée parfaite. « Je suis avec Jérôme et Lucas, beaucoup de déception pour tous les deux. — Nan, nan, proteste l’enfant, c’était un bon match, j’ai pas de déception. » Incroyable. Ces supporters font passer le foot avant le chauvinisme. « … Très beau match, la meilleure équipe a gagné, renchérit le papa. Et je vais passer un message pour Manu. » Je ne vois pas. Il n’y a pas de Manu en équipe de France.

© TF1
« Manu, on n’oublie pas, on pardonne pas. » Le monsieur doit confondre, aucun Manu n’est responsable de la défaite des Bleus. « Pour nous mutiler, pour nous blesser, nous incarcérer… La lutte continue pour l’avenir de nos enf… » Le reporter l’interrompt : « Qu’est-ce que vous voulez dire aux joueurs de l’équipe de France ? — Ils ont très bien joué mais Emmanuel Macron… » Le reporter change vite d’interlocuteur. « Alors, et vous, vous avez vibré comment ? » Ne manquerait plus que des Gilets jaunes se mêlent des Bleus (ça ferait du vert). On sait déjà que les violences policières n’existent pas en temps normal, elles ne vont quand même pas s’inviter un soir de finale de Coupe du monde.
Je zappe sur BMTV. Jean-Baptiste Boursier analyse les images de l’attaquant français sonné : « Kylian Mbappé, ça ne passe pas. » Emmanuel Macron n’a pas été assez calinou ? « Il a reçu son trophée de meilleur buteur la mine fermée, salué par son patron, l’émir du Qatar, qui a essayé de le réconforter, il l’a à peine regardé. » J’espère que là-bas ce délit est puni de lapidation. « Le président Emmanuel Macron qui lui a parlé longuement… » Et tapoté la tête et bisouté abondamment. « … Il a pas voulu le regarder non plus. » Y a pas des peines prévues pour ça dans la loi séparatisme ?

© BFMTV
Emmanuel Macron apparaît en direct face aux caméras. Une voix de journaliste : « On vous a vu réconforter Kylian. — C’est un très grand joueur, un joueur extraordinaire. Je le dis franchement, je suis pas le mieux placé pour essayer de raisonner ce soir les gens parce que j’étais au moins aussi triste que lui. » Pauvre président, je le comprends, sa tristesse est bien plus vive que celle d’un joueur ayant passé seulement deux heures sur la pelouse et à peine cinq semaines dans cette compétition. « Vous leur avez dit quoi dans le vestiaire ? » Pas la peine de demander, la vidéo du service de com va bientôt arriver. Ça n’empêche pas BFMTV de titrer « Macron : “J’ai dit à Deschamps de rester.” » En lui faisant des bisous dans le cou pour l’amadouer.

© BFMTV
Le président poursuit : « Ce que ce match nous dit, c’est qu’y a jamais de scénario écrit d’avance, que c’est toujours possible. » De perdre in extremis. « Chaque fois qu’on s’est pris un but, j’étais debout pour dire : “ On repart”, j’essayais de leur crier : “On repart, on prend le ballon et on va en marquer un.” » Je comprends mieux pourquoi les Bleus sont revenus deux fois au score : ils ont entendu Emmanuel Macron. « Tout est possible si on se tient uni, si on est ensemble. » Par exemple, la réforme des retraites, elle est possible si on se tient uni, si on est ensemble (dans les nasses des policiers qui réprimeront la contestation).

© BFMTV
Bruce Toussaint n’en finit pas de célébrer « la plus grande finale de l’histoire de la Coupe du monde » de la galaxie depuis la domestication du feu. Il n’en finit pas non plus de s’attendrir sur « la déception d’un Kylian Mbappé réconforté par Emmanuel Macron ». Le chanceux. « L’une des images de la soirée, Emmanuel Macron qui tente de consoler Kylian Mbappé. Il a essayé de trouver les mots. » Les mots des Bleus. « Cette image est extrêmement commentée. Dès que le président sort un tout petit peu de son rôle… » À peine un tout petit peu. « … Il est commenté. » Par des esprits malveillants. « Il est sorti de son rôle ou pas ? — Non, il est pas sorti de son rôle, tranche Christophe Barbier. Depuis Jacques Chirac en 98, le rôle d’un président, c’est d’être premier supporter de l’équipe de France. » Je me souviens, Chirac avait roulé une pelle à Zidane, c’était torride.

© BFMTV
« Celui-ci descend sur le terrain, admire l’éditorialiste, il descend pour la victoire, pour la défaite, c’est bien. » Il descendrait même en cas de match nul. « On n’aurait pas compris une sorte d’indifférence du président. » Imaginez qu’il se soit contenté de serrer la main à Mbappé… Quelle indécence ! « Et puis il faut dire à cette équipe qu’elle a un avenir devant elle. » Et qui peut le lui dire, sinon le président ? « C’est important de venir leur dire aux joueurs, de venir leur dire tout de suite. » Sinon, ils vont oublier. « Dans ce match, il y a eu du panache et ça, le panache, c’est pas argentin, c’est français. » Cocorico ! La France est donc déclarée championne du monde du panache. « Ah, ça me plaît, ça ! apprécie Bruce Toussaint. Bravo Christophe. » Quand je pense aux Argentins en train de pleurer de ne pas avoir été sacrés par Christophe Barbier.
Il est 22 heures passées, Bruce Toussaint interrompt le direct. « Regardons ces images qui viennent d’être publiées sur le compte Twitter du président de la République : Emmanuel Macron dans le vestiaire des Bleus. » Ici, je quitte brièvement mon rôle de chroniqueur et je dépolitise totalement le football, que j’ai longtemps pratiqué à un bien modeste niveau, avant même d’avoir une conscience politique. À la sortie d’une cruelle défaite, entendre le laïus de l’entraîneur (qu’il blâme ou console), c’est pénible – mais il est dans son rôle. Le discours du dirigeant du club, lui, est carrément insupportable (on n’ose pas le dire mais on pense très fort : Hé toi, t’es vétérinaire, t’y connais rien et d’abord est-ce que t’étais sur le terrain ?). Alors, les belles paroles d’un type qui n’a rien à faire dans l’histoire, je n’ose même pas imaginer. L’intrus pourrait finir en charpie, déchiqueté par une douzaine de paires de crampons… Les joueurs de l’équipe de France ont bien de la patience.

© BFMTV
Les journalistes de BFMTV, eux, ont bien de la reconnaissance pour l’incomparable talent du douzième homme de l’équipe de France à lui tout seul. « L’hommage d’Emmanuel Macron à l’équipe de France, savoure Bruce Toussaint, c’était presque un discours de sélectionneur. — C’était tout à fait un discours de sélectionneur », valide Anne Saurat-Dubois, éditorialiste politique, c’est dire si elle s’y connaît en discours de technicien. « Et les images de lui en train de consoler Kylian Mbappé, c’est pareil, l’impression qu’il faut les remonter. » Avec l’affriolante technique d’un frotteur du métro. « On se demandait même presque si c’était pas un peu trop tôt. » Il n’est jamais trop tôt pour bien faire des poutous.

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« Mais on entend un message politique et puis une émotion, se pâme Bruce Toussaint. Y avait beaucoup d’émotion dans sa voix. » Et dans ses bisous. « Y a deux choses qu’il faut retenir dans ce message, décrypte Anne Saurat-Dubois. La première, c’est qu’il dit : “Vous aurez l’occasion de gagner encore, plus que moi président.” Il a une carrière en tant que chef de l’État moins longue que celle de ces footballeurs. » Décidément, pauvre président. Son sort est vraiment à plaindre, comparé à celui des joueurs défaits. « Deuxième chose, c’est quand il dit : “Les Français en avaient besoin ”, il s’adresse aux supporters. » Puisque tous les Français (et françaises) sont supporters, ça va de soi. « En tout cas, une envie d’être présent dans cet événement comme Jacques Chirac en 98 et davantage qu’en 2018 aussi. » Notre président a appris de ses erreurs, il sait qu’il ne peut faire passer sa réforme des retraites sans tapoter le crâne et le ventre de Mbappé.
« Cette fois, c’est une défaite, rebondit Bruce Toussaint, donc il faut aussi être là dans ces moments-là. » Sinon, les Bleus ne s’en remettront pas. « Bien sûr, opine Christophe Barbier, il faut être là… » Ce serait malséant de conserver la moindre décence. « … Pour relativiser la défaite et donner d’autres objectifs. Y a un Euro à l’horizon, une Coupe du monde dans quatre ans donc c’est des objectifs qui doivent être au rendez-vous. » Et que seul Emmanuel Macron est capable de notifier aux joueurs.

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Bruce Toussaint s’apitoie « en voyant les joueurs dans le vestiaire, ils ont l’air très, très abattus. C’est dur, là ». Malgré le talent consolatoire de notre président. Ces Bleus sont vraiment des rustres réfractaires aux délicats tripotages élyséens. « Ça me déplaît un peu de voir ça », intervient en toute impudence un certain Sébastien Piocelle. À ce moment-là, ces paroles ne portent pas, les joueurs sont inconsolables. Je trouve ça gênant. » C’est plutôt l’intervention du consultant RMC qui est gênante. Comment cet ancien joueur professionnel peut-il se permettre un tel jugement, lui qui n’a jamais perdu une finale de Coupe du monde comme vient de la perdre notre président ?

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« Au-delà de cette finale extraordinaire, que penser de cette Coupe du monde ? extrapole Bruce Toussaint. Dieu sait qu’elle a subi des critiques incommensurables. » Autant que déplacées. « Est-ce que c’est un bon bilan en termes d’organisation ? Vous y étiez… — Oui, pendant trois semaines et demi, répond un journaliste. Sans faire abstraction de tout ce qui a été dit, des bilans fait par Amnesty International sur les conditions de travail des immigrés, sans faire abstraction de tout ça, pour vous parler de ce que j’ai vu sur place… » Ah bon, les cadavres des ouvriers n’étaient pas visibles sur place ? « … C’était une formidable Coupe du monde. » Les LGBT ont adoré s’embrasser dans les rues. « La possibilité d’aller voir plusieurs matchs dans la journée, c’était magique, avec un coup de métro, on changeait de stade. » Sans émettre de CO2, merveilleux.
« C’était fabuleux, l’organisation était incroyable. » Les Qatariennes ont pu clamer « Femme, vie, liberté » à pleins poumons. « Les stades étaient somptueux. » Leur bilan carbone était irréprochable. « Celui de la finale est l’un des plus beaux que j’ai jamais vus. Le stade du match d’ouverture était aussi un stade splendide. » Assez pour compenser le nombre de décès qu’ils ont causé. « J’en ai vu sept sur huit, des stades, ils étaient tous extrêmement fonctionnels. » Ça tombe bien, ils ne fonctionneront presque plus jamais. « C’était globalement, indiscutablement très réussi. » Les abolitionnistes de la peine de mort sont conquis. « Parce que c’est pas toujours le cas, rappelle Bruce Toussaint. Les Coupes du monde, parfois, c’est compliqué. L’organisation, c’est difficile. » Dans une dictature, c’est tout de suite plus facile. « Encore une fois, on parle de logisitique, là, d’organisation pure. » Il faut savoir distinguer la logistique du politique. « Ça, c’était réussi. — C’était ma troisième Coupe du monde et en terme d’organisation, celle-ci était de loin la mieux organisée, et je le redis en ayant tout à fait conscience des polémiques qui ont eu lieu en amont de cette compétition. » Encore heureux qu’elles n’aient pas eu lieu pendant.

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Premier politique à intervenir – à l’exception de notre président, qui ne compte pas, il était là-bas en temps que supporter –, Karl Olive, député Renaissance. Le Qatar, pardon, je m’y perds, le hasard fait bien les choses : « Je l’ai toujours dit, boycotter une Coupe du monde n’a jamais fait reculer les droits humains. » « Je pense qu’il fallait profiter de cette Coupe du monde pour venir échanger, discuter avec les gouvernants pour parler de ces sujets comme l’a fait le président aujourd’hui.  » C’était donc ça qu’Emmanuel Macron disait à l’oreille de Kylian Mbappé – il a bien fait de discuter droits humains avec lui plutôt qu’avec ces obtus Qatariens. « Le football va ruisseler partout dans le monde après cette Coupe du monde. » Chez les macronistes, on s’y connaît en ruissellement, c’est un mouvement diluvien. « C’est un formidable rassemblement de la jeunesse, comme le disait Michel Platini. » Platini, un modèle (de probité) pour la jeunesse.

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Le député s’échauffe : « Cette Coupe du monde, avec tous les faux-culs qui nous donnaient des grandes leçons en disant “on regardera jamais”… » Ah, ces débiles de droits-de-l’hommistes, ces connards de pédés, ces enculés d’écolos ! « … Ils étaient devant leur petit écran et je les remercie, y a que les cons qui changent pas d’idée. » Et y a que 43 millions de salopards qui n’ont pas regardé la finale (chiffres Médiamétrie). « On est rattrapé par la patrouille quand on aime le sport et le football en particulier. » Chez les macronistes, on s’y connaît en patrouilles. On les envoie régulièrement charger ceux qui ne sont rien, même argentins.
« On retrouve notre reporter place de la Concorde avec des fans de l’Albiceleste, annonce Bruce Toussaint. — Oui, il en reste très peu parce que pour tout vous dire les policiers français viennent de faire évacuer la plupart des Argentins. » En leur tapant affectueusement sur la tête, selon le modèle présidentiel. Une rescapée témoigne : « Je suis un peu triste parce que j’attendais un accueil de la France un peu meilleur. » En effet, nos policiers ont une grande tendresse pour Videla. Une autre se désole : « On n’a pas pu fêter. Pas du tout. Parce que la police est arrivée tout de suite, ils nous enlevés de la Concorde, de l’Arc de Triomphe. » Au moyen d’étreintes chaleureuses.

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« Vous avez vu, tous les Argentins sont très fair play, apprécie le reporter. On comprend pas trop nous-mêmes pourquoi la police les a repoussés. On a discuté avec un commissaire qui nous a expliqué qu’ils gênaient la circulation… Pourtant ils étaient sur le trottoir. » Le commissaire s’est montré fort avisé. Lors de la demi-finale, les policiers nous ont évité de peu le grand remplacement par les supporters marocains, ce n’était pas pour nous laisser coloniser par des Argentins. Que ceux-ci se rassurent : comme le rapportent nombre de témoignages, beaucoup de supporters français, dans plusieurs villes, se sont eux aussi fait rattraper par la patrouille. Elle avait sans doute besoin de câlins.
NB : « Ma vie au poste » raccroche les crampons pour une courte pause hivernale. Belle fin d’année à toutes et tous, je vous embrasse de partout et vous serre très fort contre… – pardon, je m’emporte, vraiment désolé. Toutes ces effusions footballistiques, c’est aussi contagieux qu’un virus dans un vestiaire.
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