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Alors que la centrale de Zaporijjia est la cible de bombardements depuis plusieurs semaines, l’armée ukrainienne poursuit sa contre-offensive pour reprendre Kherson.
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Le gouvernement russe a autorisé deux firmes japonaises à conserver leurs parts dans Sakhaline-2, un projet pétrogazier dans l’Extrême Orient russe auquel le Japon ne voulait pas renoncer, bien qu’il participe aux sanctions contre Moscou liées à la guerre en Ukraine. Un décret gouvernemental russe a autorisé mercredi Mitsubishi Corp à transférer son ancienne part de 10% dans Sakhaline-2 dans une nouvelle entité créée unilatéralement par Moscou en juillet, a confirmé jeudi à l’AFP un porte-parole du groupe nippon. Un jour auparavant, Moscou avait pris une décision similaire pour Mitsui & Co, qui conserve son ancienne part de 12,5% dans le projet.
En deux mois, la ligne de front s’est presque figée, alors que l’été s’achève. Comment le conflit pourrait-il évoluer ? Avec deux chercheurs, Le Figaro vous propose un exercice de prospective.
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La contre-offensive ukrainienne sur Kherson tardait. Elle a fini par advenir lundi. Tout ce qui l’a précédée semble désormais avoir relevé d’une méthodique préparation. Dès le 10 juillet, Oleksiy Reznikov, le ministre de la Défense ukrainien, annonçait que «plus d’un million d’hommes» se regroupaient afin de «reprendre le sud du pays». Quelques villages furent repris en presque deux mois ; rien, donc, qui ne soit décisif. Dans le même temps, l’Ukraine multipliait ses frappes sur l’arrière-front russe, en visant principalement infrastructures et dépôts de munition, jusqu’en Crimée.
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Les Etats-Unis vont annoncer «dans les prochains jours» de nouvelles aides militaires à destination de l’Ukraine, a fait savoir la Maison Blanche mercredi. «Ce qui nous importe est de s’assurer que (les Ukrainiens) ont les moyens de gagner sur le champ de bataille et c’est pour cela (…) que nous avons déjà promis plus de 13 milliards de dollars d’assistance militaire aux forces ukrainiennes. Nous allons continuer et il y aura dans les prochains jours des annonces sur de futures aides», a dit John Kirby, qui pilote la communication du Conseil de sécurité nationale, l’organe qui gère les questions de défense et de diplomatie à la Maison Blanche.
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Il n’a pas souhaité commenter plus avant la contre-offensive lancée par l’Ukraine dans le sud du pays, notamment autour de Kherson, l’une des rares grandes villes ukrainiennes conquises par Moscou. «Nous laissons les Ukrainiens s’exprimer sur leurs opérations militaires et sur le succès de ces opérations, qu’elles soient offensives ou défensives», a commenté John Kirby lors d’une conférence de presse.
La Hongrie a annoncé mercredi un accord avec le géant russe Gazprom pour recevoir des livraisons supplémentaires, au moment où le reste des Européens sont confrontés à une forte réduction des quantités fournies. «Un accord a été conclu pour les mois de septembre et d’octobre», a déclaré le ministre des Affaires étrangères Peter Szijjarto à Prague, après une réunion avec ses homologues de l’Union européenne (UE).
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L’approvisionnement «est maintenant augmenté de 5,8 millions de mètres cubes» par jour «à partir du 1er septembre», a-t-il déclaré dans une vidéo publiée sur sa page Facebook. Après une visite en juillet à Moscou de Peter Szijjarto, Gazprom avait déjà fourni à la Hongrie un volume supplémentaire quotidien de 2,6 millions de mètres cubes en août, «au-delà des quantités déjà négociées».
Le gaz arrivera via la Turquie, la Bulgarie et la Serbie par le biais du gazoduc TurkStream, a précisé le ministre. Depuis son retour au pouvoir en 2021, le Premier ministre nationaliste Viktor Orban a tissé des liens avec le président russe Vladmir Poutine, une collaboration maintenue malgré l’invasion russe de l’Ukraine. Peter Szijjarto avait effectué un déplacement impromptu à Moscou en juillet afin de discuter de l’achat de 700 millions de mètres cubes supplémentaires de gaz, qui viendraient s’ajouter aux 4,5 milliards livrés chaque année à Budapest avant le conflit en Ukraine.
La mission de l’Agence internationale pour l’énergie atomique (AIEA) aura accès jeudi à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, occupée par les Russes, et tentera d’y établir «une présence permanente», a indiqué son directeur général Rafaelo Grossi.
«On se prépare pour le vrai travail qui commence demain», a-t-il déclaré en français mercredi, selon une vidéo transmise par ses services. «Nous allons essayer d’établir une présence permanente de l’agence à partir de ce moment-là».
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DÉCRYPTAGE – Artisan malgré lui du démantèlement de l’URSS, Mikhaïl Gorbatchev est mort au moment où son successeur, Vladimir Poutine, semble vouloir reconstituer l’empire russe.
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Les ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne ont décidé mercredi de suspendre l’accord sur l’assouplissement du régime des visas avec la Russie, qui rendra l’obtention de visas par les citoyens russes plus difficile et plus longue, a déclaré le chef de la diplomatie européenne. Josep Borrell a déclaré que les ministres réunis à Prague avaient convenu que les relations avec Moscou «ne pouvaient pas rester inchangées» et que l’accord devait être «totalement suspendu».
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«Nous nous sommes mis d’accord sur (…) la suspension totale de l’accord de facilitation des visas entre l’Union européenne et la Russie», a déclaré Josep Borell lors d’une conférence de presse. «Cela réduira considérablement le nombre de nouveaux visas délivrés par les États membres de l’UE. Ça va être plus difficile, ça va prendre plus de temps.» Selon la déclaration des diplomates, une interdiction générale de visas de voyages pour les citoyens russes n’était cependant pas envisageable du fait des désaccords entre les Etats membres sur le sujet.
Josep Borrell a aussi déclaré qu’il y avait eu une augmentation significative des passages frontaliers de la Russie vers les États européens voisins depuis la mi-juillet. «C’est devenu un risque pour la sécurité de ces États», a-t-il ajouté. «En plus de cela, nous avons vu de nombreux Russes voyager pour les loisirs et faire du shopping comme si aucune guerre ne faisait rage en Ukraine.»
La délégation de l’Agence internationale pour l’énergie atomique (AIEA) aspire à «éviter un accident nucléaire» à la centrale de Zaporijia occupée par les troupes russes, a déclaré son directeur Rafaelo Grossi tout juste arrivé dans la région.
«C’est une mission qui cherche à éviter un accident nucléaire et à préserver cette importante centrale nucléaire, la plus grande d’Europe», a-t-il ajouté face à la presse.
Réunis ce mercredi à Prague, les ministres européens des Affaires étrangères sont divisés sur la possibilité d’interdire ou de réduire l’accès à l’Union européenne aux touristes russes pour les punir de la guerre en Ukraine, comme le réclame Kiev. Dans une déclaration commune, Pologne, Estonie, Lettonie et Lituanie, toutes frontalières avec la Russie, ont estimé qu’il fallait «limiter drastiquement le nombre de visas délivrés, surtout les visas touristiques, pour diminuer le flux de citoyens russes vers l’UE et l’espace Schengen». À défaut d’un consensus, ils se sont dits prêts à interdire ou restreindre unilatéralement les visas qu’ils accordent aux ressortissants russes.
Un accord conclu en 2007 entre l’UE et Moscou prévoyait des facilités de délivrance de visas de court séjour (une procédure simplifiée et plus rapide). Après le déclenchement du conflit, cet accord a été partiellement suspendu par l’UE pour certains citoyens russes liés au régime (délégations officielles, détenteurs de passeports diplomatiques, chefs d’entreprise…), mais les autres continuaient d’en bénéficier. Sans ces facilités, la procédure classique d’obtention d’un visa Schengen, plus longue et coûteuse, s’appliquera.
Kiev a appelé mercredi Moscou à arrêter de bombarder la route vers sa gigantesque centrale de Zaporijjia, où une inspection de l’Agence internationale pour l’énergie atomique est attendue. «Les troupes d’occupation russes doivent arrêter de tirer sur les couloirs empruntés par la délégation de l’AIEA et ne pas entraver ses activités à la centrale», a écrit sur Facebook le porte-parole de la diplomatie ukrainienne Oleg Nikolenko.
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Une mission d’inspection de l’Agence internationale pour l’énergie atomique (AIEA) est arrivée dans la ville de Zaporijjia, dans le sud de l’Ukraine, en route vers la centrale nucléaire occupée par les troupes russes.
Le convoi comptant une vingtaine de voitures, dont la moitié avec inscrit «UN» (Onu), et une ambulance, est entré dans la ville mercredi en début d’après-midi, selon les journalistes de l’AFP sur place. Selon l’agence russe Tass citant un responsable prorusse d’Energodar, la mission de l’AIEA doit arriver à la centrale jeudi, à quelque 120 kilomètres de la ville.
L’opposant russe incarcéré Alexeï Navalny a rendu hommage mercredi à l’ancien dirigeant soviétique Mikhaïl Gorbatchev, mort la veille, soulignant qu’il avait su «quitter le pouvoir pacifiquement».
Gorbatchev «a quitté le pouvoir pacifiquement et volontairement, en respectant la volonté des électeurs. Rien que ça, c’est déjà un grand exploit selon les normes de l’ex-URSS», a déclaré Navalny, dans un message publié par son équipe sur Twitter, ajoutant qu’il avait aussi «libéré les derniers prisonniers politiques» à l’époque soviétique.
Sergueï Kirienko, chef-adjoint de l’administration présidentielle russe et proche de Vladimir Poutine, a été chargé d’organiser un «simulacre» de référendum afin d’annexer des territoires ukrainiens à la Russie, a déclaré mardi 30 août un porte-parole du département d’État américain. Ce dernier assure que ce vote pourrait prendre place rapidement, une entreprise qui, «si elle est menée à bien, serait illégale», a déclaré Vedant Patel lors d’un point-presse.
«Le simulacre de référendum essaiera de donner un vernis de légitimité à une spoliation manifeste de terres qui violerait la constitution ukrainienne et les lois internationales», a poursuivi Vedant Patel. «Les États-Unis et la communauté internationale savent la vérité, qui est que toute l’Ukraine est et restera l’Ukraine».
Les autorités ukrainiennes accusent la Russie d’avoir bombardé une ville dans laquelle se trouve la centrale nucléaire de Zaporijjia, alors qu’une mission de l’Agence internationale pour l’énergie atomique y est attendue.
«L’armée russe bombarde Energodar», a déclaré sur Telegram Ievguen Ievtouchenko, chef de l’administration de Nikopol, située en face d’Energodar, de l’autre côté du fleuve Dniepr. «La situation avec ces provocations est dangereuse», a-t-il ajouté.
Le chef du gouvernement italien Mario Draghi a salué mercredi un personnage qui «a marqué l’histoire récente de la Russie, de l’Europe, du monde». «Après une vie au Parti communiste, il a mis fin avec courage et détermination à l’expérience de l’Union soviétique et cherché à construire une nouvelle ère de transparence, de droits, de liberté», a estimé Mario Draghi dans un communiqué.
«Son désir de paix, son opposition à une vision impérialiste de la Russie lui ont valu le prix Nobel. Ce sont des messages d’autant plus actuels face à la tragédie de l’invasion de l’Ukraine» par Moscou, a-t-il ajouté.
La mort mardi soir à 91 ans de Mikhaïl Gorbatchev, dernier dirigeant de l’URSS, a suscité de vibrants hommages en Occident, où son rôle crucial pour mettre fin à la Guerre froide et son combat pour la paix ont été salués. Dans un communiqué, le président américain Joe Biden a salué en Mikhaïl Gorbatchev un «leader rare». Ses actes furent ceux d’un dirigeant ayant assez d‘«imagination pour voir qu’un autre avenir était possible et le courage de risquer toute sa carrière pour y parvenir. Le résultat fut un monde plus sûr et davantage de liberté pour des millions de personnes», a dit le président américain.
Pour le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres, «le monde a perdu un immense dirigeant mondial, engagé envers le multilatéralisme, et défenseur infatigable de la paix». Pour Emmanuel Macron, Mikhaïl Gorbatchev était un «homme de paix dont les choix ont ouvert un chemin de liberté aux Russes. Son engagement pour la paix en Europe a changé notre histoire commune», a souligné le président français dans un tweet.
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Le président allemand Frank-Walter Steinmeier a rendu hommage au dernier dirigeant soviétique Mikhaïl Gorbatchev, décédé mardi, en le remerciant «pour sa contribution décisive à l’unité allemande». Par ses actes, le leader de l’URSS a montré qu’il était «un grand homme d’État» doté d’un «courage pour l’ouverture démocratique et la construction de ponts entre l’Est et l’Ouest» et pour la paix en Europe, a dit le président dans un communiqué mercredi. Ce rêve est «en ruine, brisé par l’attaque brutale de la Russie contre l’Ukraine», a-t-il ajouté.
«Il est mort à une époque où non seulement la démocratie a échoué en Russie, mais où la Russie et le président russe Poutine ont creusé de nouveaux fossés en Europe et ont lancé une terrible guerre contre un pays voisin, l’Ukraine», a déclaré de son côté le chancelier allemand Olaf Scholz.
Puisque la guerre est vouée à se poursuivre, l’armée ukrainienne doit aussi entraîner ses forces dans la durée. À Prague mardi, les ministres de la Défense et des Affaires étrangères de l’Union européenne se sont entendus pour mettre sur pied une mission de formation «de haut niveau» pour les soldats ukrainiens. À l’Ukraine de dire « quels sont ses besoins sur le court terme, le moyen terme et le long terme » pour « régénérer ses forces», a expliqué le haut représentant pour les affaires étrangères de l’UE, Josep Borrell.
«Certaines activités sont menées au niveau des États membres», a convenu Josep Borrell. « Si la France fournit un certain type d’armes, elle fournit aussi l’entraînement qui va avec». Cela a été le cas pour les canons d’artillerie Caesar. Mais il y a aussi d’autres enjeux, comme « la logistique», « l’organisation» de l’armée ou la lutte contre les menaces nucléaires, radiologiques, chimiques ou biologiques. « Il y a beaucoup d’initiatives, mais les besoins sont énormes et nous devons nous assurer de la cohérence des efforts».
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Le géant russe Gazprom l’avait annoncé : les livraisons via le gazoduc Nord Stream ont de nouveau été «entièrement» suspendues mercredi. La raison officielle ? Des travaux «nécessaires» dans une station de compression de la conduite, qui relie directement les champs gaziers sibériens au nord de l’Allemagne, d’où le gaz est ensuite exporté à d’autres pays européens. Cette maintenance, programmée jusqu’à samedi, doit être effectuée «toutes les 1000 heures», assure l’énergéticien, propriétaire du gazoduc. L’interruption doit durer trois jours.
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Mais alors que l’énergie est au cœur d’un bras de fer entre Moscou et les Occidentaux, qui accusent régulièrement la Russie d’utiliser le gaz «comme une arme», le patron de l’Agence allemande des réseaux, Klaus Müller, s’interroge. Pour lui, les travaux qui débutent sont «incompréhensibles sur le plan technique». L’expérience montre que la Russie «prend une décision politique après chaque soi-disant «maintenance», a-t-il observé, y voyant un nouveau prétexte pour accentuer la pression sur les alliés de l’Ukraine. Gazprom a déjà réduit de 80% les quantités livrées par Nord Stream au fil des derniers mois. 
Une équipe d’inspection de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) était en route mercredi matin vers la centrale nucléaire de Zaporijjia (sud de l’Ukraine), cible de bombardements depuis plusieurs semaines. «Nous sommes enfin en train de bouger après plusieurs mois (…) d’efforts. L’AIEA se rend à l’intérieur de la centrale nucléaire de Zaporijjia», a déclaré le directeur de l’agence onusienne, Rafael Grossi, à des journalistes à Kiev, juste avant de partir.
La centrale, la plus grande d’Europe, est occupée par l’armée russe depuis début mars, après l’invasion de l’Ukraine lancée le 24 février. Kiev a accusé Moscou d’y avoir déployé des centaines de soldats et d’y stocker des munitions. «J’ai pleinement conscience de l’importance de ce moment mais nous sommes prêts. L’AIEA est prête. Nous ferons un compte-rendu après notre mission. Nous allons passer quelques jours là-bas», a ajouté M. Grossi qui conduit une équipe de 13 personnes.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky avait reçu mardi les experts de l’AIEA, arrivés lundi à Kiev, disant à cette occasion que la communauté internationale devait obtenir de la Russie «une démilitarisation immédiate» de la centrale.
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Après avoir été longuement annoncée, la contre-attaque ukrainienne a été lancée dans le sud du pays. Selon des responsables locaux, elle vise pour l’essentiel à reprendre Kherson, ville de 280.000 habitants tombée aux mains des Russes dès le commencement de la guerre le 24 février. «Des combats se déroulent actuellement pratiquement sur toute la ligne de front : dans le sud, dans la région de Kharkiv (nord-est) et dans le Donbass (est)», a déclaré mardi soir le président Zelensky.
La présidence ukrainienne a fait état mardi de «puissantes explosions» dans la région de Kherson ainsi que de la destruction d’«un certain nombre de dépôts de munitions» russes et de «tous les grands ponts» qui permettent aux véhicules de traverser le Dniepr, le fleuve arrosant cette partie de l’Ukraine. Et ce afin de couper le ravitaillement en provenance de la Crimée.
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Bonjour à tous, bienvenue dans ce direct consacré à la guerre en Ukraine. Contre-offensive dans le sud, suspension du gaz via Nord Stream… Nous vous tenons informés ici en cette 189e journée du conflit. Vous trouverez ici les événements de mardi 30 août.

R3flexio
le 01/09/2022 à 00:38
La Hongrie n’a rien à faire en Europe.
bosport75
le 31/08/2022 à 23:59
Désolé Vladimir… il ne fallait pas venir jouer dans la cour des grands.
Anonyme
le 31/08/2022 à 23:37
L’Europe n’avait pas besoin de cette guerre Ukraine Russie, elles en payent le prix fort sur les énergies qui faut aller chercher très loing États Unis et Alger pour le gaz ce qui va nous coûter très chers.
Discrimination à l’embauche, filtrage dans les restaurants… Une enquête de la BBC met en évidence que les femmes portant le hijab sont de moins en moins tolérées par les milieux aisés.
Les projets d’achat de gaz en commun évoqués au printemps par Bruxelles et la présidence française de l’UE sont restés dans les limbes.
ENQUÊTE – La jeune femme, qui était une «clandestine» du GRU, le renseignement militaire russe, a fréquenté pendant plusieurs années des officiers du commandement allié des forces interarmées de l’Alliance atlantique à Naples. Elle vient d’être démasquée par le média d’investigation Bellingcat après une longue enquête.
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