Au Brésil, Elon Musk a licencié toute l’équipe de modération de Twitter
Des documents classifiés découvert dans l’ancien bureau de Joe Biden
Kevin McCarthy parvient enfin à devenir président de la Chambre des représentants
Brésil : l’extrême-droite américaine soutient la tentative d’insurrection
États-Unis : un enfant de six ans tire sur une enseignante
Philip Selway (Radiohead) publie « Picking Up Pieces », son nouveau single
La fille de David Bowie lui rend hommage, sept ans après sa disparition
Connor Selby : nouvelle sensation blues
Jeff Beck : le guitar hero est décédé
[Live report] Rage Against The Machine à Québec
[Live report] Rage Against The Machine à Québec
Morrissey annonce quatre dates en France
Judas Priest enflamme Vienne
Live Report : festival Iceland Airwaves
LIVE REPORT : Frank Carter & The Rattlesnakes à La Cigale
Découvrez la bande-annonce de « Beau Is Afraid » avec Joaquin Phoenix
Le casting « La Fête à la maison » rend hommage à Bob Saget
Hugh Jackman adore Wolverine, mais pas assez pour prendre des stéroïdes
Adam Rich, l’enfant-star de « Huit, ça suffit ! », est mort
Le fils du réalisateur de « Roméo et Juliette » monte au créneau
Découvrez la bande-annonce de « Beau Is Afraid » avec Joaquin Phoenix
Le casting « La Fête à la maison » rend hommage à Bob Saget
Hugh Jackman adore Wolverine, mais pas assez pour prendre des stéroïdes
Adam Rich, l’enfant-star de « Huit, ça suffit ! », est mort
Le fils du réalisateur de « Roméo et Juliette » monte au créneau
A LIRE : Jim Morrison à Paris
Iggy Pop – Every Loser
Kid Kapichi – Here’s What You Could Have Won
The Murlocs – Rapscallion
Simple Minds – Direction of the Heart
Barton Hartshorn en live session Rolling Stone
Red Beans & Pepper Sauce en live session Rolling Stone
LIVE SESSION – Ben Harper au sommet de Paris
LIVE SESSION – Shakey Graves, l’étoile texane de la folk
« La première fois » avec Bruce Springsteen
Publié
Par
Elvis Costello et Burt Bacharach partagent deux chansons inédites qui figureront sur un prochain coffret couvrant leurs 30 ans de partenariat créatif.
The Songs of Bacharach and Costello, qui sortira le 3 mars via Ume, comprendra toutes les chansons que les deux musiciens ont écrites et publiées depuis qu’ils ont commencé à travailler ensemble en 1995. Il comprend également 19 enregistrements inédits, dont des performances live et des chansons issues de projets musicaux non réalisés, y compris un projet basé sur Austin Powers.
Pour présenter le coffret, Costello et Bacharach ont partagé deux performances live inédites. L’une est une interprétation de « Painted From Memory » enregistrée à Stockholm, en Suède, avec le pianiste de longue date des Attractions et des Imposters, Nieve, ainsi que l’Orchestre symphonique de la radio suédoise. L’autre est une interprétation du tube de Bacharach et Hal David, « Anyone Who Had a Heart », au Royal Festival Hall de Londres en 1998.
En plus de ces titres inédits, Costello et Bacharach ont également partagé une rare interprétation live de « In the Darkest Place », enregistrée en duo avec Nieve au piano, à Melbourne, en Australie, en 1999.
Au-delà des quelques enregistrements live, les véritables trésors du coffret semblent se trouver dans la nouvelle collection Taken From Life, qui contient principalement des chansons d’une adaptation musicale non réalisée de l’album de Costello et Bacharach de 1998, Painted From Memory. La comédie musicale a été conçue par Chuck Lorre (Big Bang Theory) et Steven Sater, qui ont créé un ensemble de personnages et un récit à partir des chansons de l’album original. Ils ont également demandé à Costello et Bacharach d’écrire une dizaine d’autres morceaux pour étoffer le projet.
Certaines des chansons de la partition musicale de Painted From Memory sont interprétées par Audra Mae et Jenni Muldaur, avec le piano de Jim Cox et Thomas Bartlett. Les interprétations de Costello de « You Can Have Her » et « Look Up Again » ont été arrangées par Vince Mendoza et enregistrées en septembre 2021 sous la direction de Bacharach.
Dans un communiqué, Costello a parlé des chansons de la comédie musicale Painted From Memory : « Elles reflètent les histoires et les impulsions d’un groupe de personnes qui sont obsessionnelles et vaniteuses, qui sont trahies et déçues par la vie, mais qui aspirent tendrement à une époque plus heureuse, qui sont infidèles, malhonnêtes, destructrices et se révèlent être les inventeurs d’un passé dangereux, qui sont coupables, hantées et romantiques, désespérées, vengeresses et même cruelles. »
Taken From Life présente également l’interprétation de Bacharach de « Lie Back and Think of England », un air que Costello et lui ont écrit lors de sessions exploratoires pour une comédie musicale Austin Powers avec Mike Myers. Ce projet potentiel a vu le jour après que les deux hommes ont écrit « I’ll Never Fall In Love Again » pour L’Espion qui m’a tiré, dans lequel ils ont également joué.
The Songs of Bacharach and Costello sortira sous la forme d’un coffret de quatre CD, ainsi que d’un coffret vinyle double LP. Elvis Costello a également rédigé un essai de 10 000 mots pour le projet, qui sera accompagné d’une série de photos rares.
Jon Blistein
Traduit par la rédaction
[Live report] Rage Against The Machine à Québec
Morrissey annonce quatre dates en France
Des musiciens répondent à Bob Dylan
Elvis Costello annonce une résidence à New York
Sean Ono Lennon fête les 80 ans de Paul McCartney
Elvis Costello retrouve un ami d’enfance pour un album
Elvis Costello livre un « Farewell, OK » plein d’énergie
Elvis Costello sort son nouvel album : l’interview Rolling Stone
Publié
Par
Le batteur de Radiohead Philip Selway a partagé « Picking Up Pieces », le dernier single de son prochain album Strange Dance, son premier album solo en huit ans.
Avant la sortie de Strange Dance le 24 février, Selway a également dévoilé un clip pour ce titre, dont la guitare est jouée par Adrian Utley de Portishead.
« “Picking Up Pieces” est une chanson sur le masque que nous créons quand nous sommes de jeunes adultes, a expliqué Selway à propos du morceau dans un communiqué. C’est une période de la vie où votre sens de l’identité peut être ébranlé, où vous pouvez vous sentir anxieux à l’idée de réussir votre année, et où la vie peut sembler hors de contrôle, mais où vous essayez de cacher cela à tout le monde. »
Sur Strange Dance (qui comprend également le single « Check for Signs of Life »), Selway collabore avec la violoncelliste Laura Moody, la compositrice Hannah Peel, le multi-instrumentaliste Quinta et la productrice Marta Salogni.
« L’échelle de cet album était délibérée pour moi, dès le départ, a déclaré Selway dans un communiqué. Je voulais que le paysage sonore soit large et grand, mais qu’il s’enroule d’une manière ou d’une autre autour de cette voix intime au cœur de l’ensemble. »
Strange Dance se distingue également de ses précédents albums solo (Familial en 2010 et Weatherhouse en 2014) par le fait que Selway ne joue pas de la batterie sur l’album, car le batteur a cédé son kit à la percussionniste Valentina Magaletti. « L’une des choses que j’ai appréciées dans cet album, c’est que je suis un homme de 55 ans qui n’essaie pas de le cacher. Ça semble montrer un côté vulnérable, plutôt que de voir ce processus de vieillissement comme quelque chose qui doit être caché », a ajouté Selway a ajouté dans une déclaration.
Daniel Kreps
Traduit par la rédaction
Publié
Par
La fille de David Bowie a rendu hommage à la légende du rock à l’occasion de l’anniversaire de sa disparition.
Le 10 janvier, cela faisait sept ans que Bowie avait succombé à un cancer du foie à l’âge de 69 ans. La nouvelle de sa mort a été un choc pour le monde entier, notamment parce qu’elle est survenue deux jours seulement après la sortie de son dernier album, Blackstar, qui est aujourd’hui considéré comme un chant du cygne conçu comme tel.
Bowie a laissé derrière lui ses deux enfants : Duncan Jones, un cinéaste, et Alexandria Zahra Jones, qui est son seul enfant avec sa seconde épouse Iman. Aujourd’hui âgée de 22 ans, Alexandria (qui se fait appeler Lexi) a posté sur Instagram un clip d’elle avec son père jouant du clavier ensemble dans un studio d’enregistrement, ainsi qu’une photo d’elle toute petite.
Just shared by Lexi on Instagram
7 years ago today. I miss you ❤️ pic.twitter.com/jCVuDLQG3X
— David Bowie News (@davidbowie_news) January 11, 2023
Dans la légende du message, elle a livré un hommage simple à son père : « Il y a 7 ans aujourd’hui. Tu me manques ». Le mois dernier, Iman a évoqué le décès de son mari dans une interview à Vogue : « Il n’est pas mon “défunt mari”. Il est mon mari. Cela ne me dérange pas du tout qu’on me désigne comme “la femme de David Bowie”. Mais je rappelle toujours aux gens que j’existais avant de le rencontrer. Et il était aussi très particulier. Il ne me présentait jamais en disant : “Voici ma femme”. Il disait toujours : “Voici Iman, ma femme”. Nous avions donc déjà tous les deux notre propre identité. Nous étions séparés mais ensemble. »
La mort de Bowie a donné lieu à un pluie d’hommages dans le monde entier, mais dans son entretien avec Vogue, Iman a évoqué sa difficulté et celle de sa fille à faire leur deuil en privé au lendemain de son décès. « C’était trop. Nous vivions une vie très privée et, soudain, nous avons eu l’impression qu’il y avait une cible sur ma tête et celle de ma fille. C’est arrivé à un point où nous devions quitter notre maison parce que le public était toujours à la porte d’entrée. Ce que j’admire. Je comprends. Mais il y a eu un moment où on se dit : “OK, rentrez chez vous maintenant.” Il y avait des gens qui vous prenaient en photo, la vendaient et venaient ensuite vous voir pour vous dire : “Je ressens votre douleur”. Et moi, je disais : “Non, conasse, tu ne ressens pas ma douleur, casse-toi. »
Joe Goggins
Traduit par la rédaction
Publié
Par
Le bluesman britannique Connor Selby a dévoilé un nouveau morceau intitulé « I Shouldn’t Care ». Découvrez son clip via le player ci-dessous :
Ce titre sera présent sur la réédition de son album, sobrement intitulé Connor Selby, prévue pour le 3 mars. On y retrouve également trois autres inédits, dont un intitulé « Love Letter to the Blues ».
Le musicien explique sa relation à ce genre musical : « Le blues est fondamentalement chargé d’émotions humaines très basiques. La tristesse, la fierté et l’exploration de la façon dont nous faisons face à certaines situations ou problèmes de notre vie quotidienne. J’ai aussi toujours été attiré par la qualité intrinsèque de cette musique. Enfant, puis adolescent, j’étais assez timide et peu sûr de moi, mais la musique m’a permis de trouver un endroit où je pouvais exprimer un sentiment de puissance en quelque sorte. »
S’il n’a pas encore joué en France, il a déjà foulé les planches de certaines des plus grandes scènes britanniques, comme le Wembley Stadium en 2019, en première partie de The Who, ainsi qu’à Hyde Park en 2022, avec Pearl Jam, Stereophonics et Johnny Marr. Il détaille son rapport au live : « Les concerts sont pour moi, les seuls moments de ma vie où je peux me mettre dans un autre état d’esprit. Pendant deux heures, je peux vraiment lâcher prise et me retrouver dans un état proche de la méditation. »
Il ne reste plus qu’à attendre ses premiers concerts français.
La réédition de l’album de Connor Selby est disponible en précommande
Voici la tracklist et la pochette :
Mathieu David
Publié
Par
Nous apprenons ce mercredi 11 janvier le décès du guitariste britannique Jeff Beck, à l’âge de 78 ans. « De la part de sa famille, c’est avec une profonde tristesse que nous annonçons le décès de Jeff Beck » peut-on lire dans un communiqué officiel. « Après avoir soudainement contracté une méningite bactérienne, il nous a quittés en paix. Sa famille demande que son intimité soit respectée en cette période de deuil. »
Cette triste nouvelle arrive moins d’un an après la sortie de son dernier album, 18, enregistré avec le comédien et musicien américain Johnny Depp. A cette occasion, quatre concerts avaient eu lieu en France en 2022, à l’Olympia (Paris), ainsi qu’aux festivals Jazz in Marciac, Jardin Sonore et Guitare en scène.
Il apparaît également sur Patient Number 9, le dernier album en date d’Ozzy Osbourne.
Né le 24 juin 1944 à Wallington, au sud de l’Angleterre, Jeff Beck a marqué le monde du rock pendant de nombreuses années. Sa carrière commence dans les années 1960. Après avoir joué de la guitare dans plusieurs groupes, il est recruté par The Yardbirds en 1965 pour succéder à Eric Clapton, après avoir été recommandé par Jimmy Page. Il participe alors à l’enregistrement des albums For Your Love (1965), Having a Rave Up with The Yardbirds (1965) et Roger the Engineer (1966). Il fut ensuite remercié lors de la tournée américaine de 1966.
L’année suivante, il forme The Jeff Beck Group, avec notamment Rod Stewart au chant et Ronnie Wood (qui intègrera plus tard The Rolling Stones) à la basse, sans oublier Nicky Hopkins au piano et Aynsley Dunbar à la batterie. Ils sortent ensemble Truth en 1968, qui comprend notamment « You Shook Me », une reprise de Willie Dixon également interprétée par Led Zeppelin dans leur premier album six mois plus tard. Après trois albums et de nombreux changements de line up, il sort ses disques en solo à partir de 1975. C’est avec Blow by Blow, sorti la même année, qu’il réalise son plus grand succès commercial en atteignant la quatrième place des classements de vente américains. Wired, sorti en 1976, connaît un succès quasi-similaire. Il obtient grâce à ce disque sa première nomination aux Grammy Awards.
Le guitariste se fait bien plus discret dans les années 80, ne sortant que trois albums durant cette décennie. Il gagne son premier Grammy Award grâce au titre « Escape », présent sur Flash (1985). 1989 est marquée par Jeff Beck’s Guitar Shop, album dans lequel il abandonne le médiator pour mettre en avant son jeu de guitare au doigt. Lors des années 90, il multiplie les collaborations. On retrouve ainsi le guitariste avec Jon Bon Jovi, Roger Waters, ou encore Kate Bush.
Numéro 5 dans la liste des 100 plus grands guitaristes de tous les temps de Rolling Stone USA, Jeff Beck laisse derrière lui une immense empreinte dans le monde du rock, du blues et de la guitare. Un véritable guitar hero, à l’approche unique et au jeu reconnaissable entre mille.
Mathieu David
Publié
Par
Un mois et demi avant ce qui aurait dû être le concert de l’année en France avec leur participation à Rock en Seine, annulée le 11 août sur ordre médical – Zack de la Rocha, le chanteur, rotule cassée ne pourra pas assurer les shows prévus pour sa tournée européenne du groupe mythique –, les quatre guérilléros avaient offert un avant-goût spectaculaire de la reformation de Rage Against The Machine, dans la ville de Québec, capitale de la province canadienne francophone.
Les plaines d’Abraham, situées au cœur de la ville de Québec, n’avaient pas connu pareil champ de bataille depuis le 13 septembre 1759, date de l’affrontement entre Britanniques et Français. Dès le début d’après-midi, les t-shirts à l’effigie du Che envahissent les rues pavées de la ville et c’est une masse compacte de près de 100 000 personnes qui s’installe très tôt face à la scène.
©Thomas Mafrouche
Si les groupes de heavy ont toujours fédéré le public québécois, comme Rammstein ou Metallica, on sent ce soir une euphorie particulière dans l’ancienne capitale de la Nouvelle-France. Selon Ibrahim, notre sympathique chauffeur de taxi, la popularité de Rage Against The Machine est sans égale ici : « Bien sûr Metallica c’est toujours énorme à Québec, mais le truc c’est que ça attire surtout les mecs. Alors que Rage Against The Machine, les nanas sont autant à fond que les gars ! Ça va être la folie totale ! ». En effet, Zack de la Rocha a beau être coincé sur sa chaise à cause de sa jambe cassée, c’est bel et bien le public qui assure le spectacle durant presque deux heures. Amérique du Nord oblige, les spectateurs scandent en chœur la quasi intégralité des textes, allant même jusqu’à surprendre le groupe sur « Testify » et « Take the Power Back » (joué pour la première fois sur cette tournée).
©Thomas Mafrouche
Une énergie qui vient nourrir la machine et qui pousse Zack de la Rocha à tenter de décoller de sa chaise, sans toutefois y parvenir. Dans ces cas-là, le lion peut compter sur le renfort de Tom Morello, qui se place juste à côté de lui pour faire saigner ses solos funk (y compris avec les dents, Hendrix style !). Outre la setlist best-of et une interprétation impeccable (le solo de batterie ahurissant sur « Sleep Now in the Fire »), le groupe nous a aussi offert une version démentielle de « The Ghost of Tom Joad », cette reprise de Bruce Springsteen arrosée de larsens qui figurait sur Renegades.
Ce live puissant et sans temps mort qui s’est achevé avec la bastos « Killing in the Name », hymne transgénérationnel chanté le poing levé par les 100 000 spectateurs, les agents de sécurité, le staff et les barmaids. Comme si le temps s’était arrêté durant quatre minutes. Un accueil exceptionnel qui poussera Zack de la Rocha à s’incliner longuement en fin de show pour remercier comme il se doit cette invulnérable marée humaine, sans laquelle le concert n’aurait pas été le même.
©Thomas Mafrouche
Thomas Mafrouche
Setlist :
A l’occasion de la réédition de Jim Morrison – Derniers jours à Paris de Hervé Muller, replongez dans la tragique…
Entouré d’une équipe de choix, Iggy Pop continue de s’éclater et de ferrailler tous azimuts avec l’album Every Loser. Sur…
Le jeune groupe de punk britannique Kid Kapichi passe la seconde avec un nouvel album travaillé et spontané. Kid Kapichi…
Les 100 meilleurs batteurs de tous les temps
Interview culte – AC/DC : Rencontre avec Angus Young
Comment Led Zeppelin s’est formé
Plongez aux origines du White Album des Beatles
Elton John : sa vie en dix chansons
27 décembre 1969 : Led Zeppelin II n°1 aux États-Unis
10 anecdotes sur « Nevermind » de Nirvana
Billy Gibbons : ma vie en 15 chansons
S’Inscrire à la Newsletter
© Copyright Rolling Stone France 2022. Rolling Stone est un magazine édité par RS FRANCE SAS sous licence de Rolling Stone, LLC, filiale de Penske Corporation
https://seo-consult.fr/page/communiquer-en-exprimant-ses-besoins-et-en-controlant-ses-emotions