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L’année dernière, 630 cas de discrimination ont été signalés aux centres de consultation pour les victimes de racisme. La plupart d’entre eux ont eu lieu sur le lieu de travail ou de formation. Les discriminations et les insultes étaient les plus fréquentes.
La majorité des cas étaient dus à la xénophobie, au racisme anti-noirs et au racisme anti-islamique, ont indiqué dimanche la Commission fédérale contre le racisme (CFR), l’organisation non gouvernementale Humanrights et le réseau de consultation pour les victimes de racisme.
Sur les cas recensés, 106 ont eu lieu sur le lieu de travail. Dans le secteur de l’éducation, il y en a eu 94. Par rapport à l’année précédente, cela représente une nette augmentation dans l’éducation.
Ainsi, un père s’est adressé à un centre de conseil parce que son fils avait subi à plusieurs reprises des agressions verbales massives de la part de camarades de classe. Lorsque l’élève s’est défendu, l’école a pris des mesures disciplinaires à son encontre sans prêter attention aux agressions racistes.
Selon le rapport, les motifs de discrimination les plus fréquents étaient la xénophobie avec 218 cas et le racisme anti-noirs avec 207 cas. Le racisme anti-noirs a été le plus fréquent dans les établissements d’enseignement (40 cas) et sur le lieu de travail (37 cas).
A cela s’ajoutent 26 cas dans l’espace public et 26 autres dans le voisinage. Les consultations pour racisme anti-islamique (53) et pour insultes envers des personnes originaires du monde arabe (51) ont été nombreuses. La nouvelle catégorie de racisme contre les Asiatiques a donné lieu à 41 événements, le plus souvent des insultes, des propos ou des illustrations dégradants.
Les déclarations d’antisémitisme ont légèrement augmenté. Il s’est agi de la négation ou de la minimisation de l’Holocauste et de théories du complot antisémites qui ont davantage circulé pendant la pandémie de Covid-19. Dans un entretien de conseil sur trois, les centres d’accueil ont en outre constaté une discrimination multiple en raison du statut juridique, du sexe ou de la position sociale.
Comme l’ont encore indiqué les trois organisations, la propension à s’adresser à un centre de conseil contre le racisme ne cesse d’augmenter. Ainsi, les centres ont enregistré une augmentation d’environ 180 annonces entre 2019 et 2021.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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L’UDC exige la publication des procès-verbaux d’audition d’Alain Berset dans l’affaire des fuites dans son département. La population a droit à la transparence, a déclaré le président du parti Marco Chiesa.
L’UDC exige du président de la Confédération des explications complètes, a ajouté M. Chiesa dans une interview samedi aux journaux alémaniques du groupe Tamedia. Le chef du Département fédéral de l’intérieur (DFI) aurait pu s’expliquer depuis longtemps. Selon le Tessinois, Alain Berset est “seul responsable”.
Apparemment, il y a eu “un pacte entre l’éditeur Ringier et le DFI”, a précisé le conseiller aux Etats UDC dans l’interview: “L’objectif était qu’en fin de compte Berset soit le meilleur dans les médias. C’est pourquoi nous avons maintenant une crise institutionnelle”.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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5,6 milliards de francs: c’est le montant des avoirs non réclamés que détient la caisse supplétive LPP. Les bénéficiaires sont connus de l’institution mais pas leur adresse. Ces fonds ne sont pas pour autant oubliés ou perdus.
Sur les 1,4 million de comptes de libre passage que gère la caisse supplétive LPP, 62% étaient sans adresse à la fin 2022. Cela représente un montant de 5,6 milliards de francs, soit 34% de l’ensemble des capitaux administrés par cette caisse (16,2 milliards).
Sans adresse ne signifie pas pour autant qu’un compte tombe dans l’oubli, explique Séverine Jagmetti, porte-parole de la Fondation institution supplétive LPP, interrogée par Keystone-ATS. La plupart du temps, les propriétaires des fonds finissent par être retrouvés.
Car la fondation connaît en principe le numéro d’assurance sociale, le nom et la date de naissance des propriétaires. Seule l’adresse manque ou n’est plus actuelle. Mais cela ne signifie pas que les personnes ayant cotisé ne savent rien de leur capital.
L’argent du 2e pilier peut se retrouver en “déshérence” lorsque des personnes quittent un emploi et n’en reprennent pas immédiatement un autre. Leur capital est alors transféré sur un compte de libre passage auprès de la Fondation institution supplétive LPP, au plus tôt six mois après la fin du contrat de travail.
Lors de ce transfert, la fondation ne reçoit souvent pas l’adresse du détenteur, poursuit Mme Jagmetti. Il arrive aussi que des personnes oublient d’annoncer un déménagement.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Christian Constantin repartira-t-il pour un tour ? Dans une interview au “Nouvelliste”, le boss du FC Sion affirme que sa décision de quitter le football professionnel en 2024 n’est pas irrévocable.
Christian Constantin est prêt, en effet, à demeurer à la tête du FC Sion si un projet de nouveau stade à Tourbillon et d’un centre d’entraînement estimé à 150 millions de francs voit le jour. Il est prêt à le financer à la hauteur de 50 millions de francs. “Avec 50 millions de francs de fonds propres, on peut débloquer 50 millions de crédits bancaires et les différents soutiens étatiques peuvent générer 50 autres millions”, précise Christian Constantin.
Dans cette interview, Christian Constantin rend public ce projet “pour mettre toutes les cartes sur la table avant 2024.” “Ce projet ne pourra pas se réaliser avant 2030. Mais s’il y a une volonté de le faire, je serais fou de ne pas demander de licence en Super League pour la saison 2024/2025”, explique-t-il. Pour lui désormais, la balle est dans le camp des autorités politiques valaisannes.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Les Etats-Unis ont annoncé vendredi avoir inculpé deux hommes soupçonnés d’avoir aidé l’oligarque russe Viktor Vekselberg, visé par des sanctions américaines, à éviter la saisie de son superyacht. L’un d’eux possède la double nationalité russe et suisse.
Le Russo-Suisse de 51 ans est en fuite tandis que l’autre homme inculpé, un Britannique de 52 ans, a été interpellé en Espagne, a précisé le ministère de la Justice dans un communiqué.
Les deux hommes sont accusés d’avoir aidé Viktor Vekselberg, un proche allié du président Vladimir Poutine, à dissimuler qu’il était le propriétaire du yacht “Tango”, dont la valeur est estimée à 90 millions de dollars.
Dirigeant du groupe Renova, un conglomérat basé à Moscou, et actionnaire de référence notamment du groupe industriel zurichois Sulzer, il avait été placé en 2018 sur la liste des oligarques visés par des sanctions américaines à la suite de l’invasion de la Crimée par la Russie.
La justice américaine reproche au Britannique, qui gère une compagnie de navigation à Palma de Majorque, d’avoir rebaptisé le navire “Fanta”, afin de continuer à travailler avec des fournisseurs américains. Les sanctions américaines empêchent les entreprises américaines, et leurs filiales, de faire des affaires avec les entités visées.
Les deux hommes “ont conseillé et ont permis aux employés du Tango de continuer à faire des affaires avec des entreprises américaines, en utilisant plusieurs stratagèmes pour contourner les sanctions, notamment en payant en d’autres monnaies (que le dollar) et via des intermédiaires”, selon le communiqué.
Le Tango, un bateau de 78 mètres de long, a finalement été saisi en avril par l’Espagne à la demande des Etats-Unis. Les Etats-Unis avaient annoncé en mars, après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, la création d’une cellule dédiée à la poursuite des “oligarques russes corrompus” et de tous ceux qui violeraient les sanctions adoptées par Washington contre Moscou.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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Le directeur général de la SSR Gilles Marchand lance le combat contre l’initiative populaire “200 francs, ça suffit” qui veut réduire le montant de la redevance. Si le texte est approuvé, la surface et le budget de la SSR seraient divisés par deux, alerte-t-il.
“Il y aurait aussi des pertes d’emplois très importantes”, prévient-il samedi dans une interview accordée au Temps.
Lancée l’année dernière par l’UDC, l’Union suisse des arts et métiers (USAM) et les Jeunes PLR, l’initiative veut abaisser la redevance Serafe de la radio et de la télévision de 335 à 200 francs par an.
Si le texte se veut moins total que l’initiative “No Billag”, nettement rejetée en 2018, il s’avère quand même “brutal et radical”, avance Gilles Marchand. En cas de oui, la SSR verrait son budget divisé par deux. Celui-ci tomberait dans une fourchette de 700 à 750 millions.
Pour tourner, le groupe se verrait donc obligé de sacrifier l’un de ses deux sites romands situés à Genève et Lausanne. Et les programmes, notamment sportifs, musicaux et de fiction, seraient fortement limités.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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