Pièces complète 2 euro commémorative et accessoires protection pièces

Direct Montagne. Les risques d'avalanches s'intensifient dans deux massifs haut-alpins – Le Dauphiné Libéré

Suivez ici, tout au long de la semaine, l’actualité liée à nos montagnes.
La carte d’estimation du risque avalanche de Météo-France a repris du service au début du mois. Et les prévisionnistes indiquent que deux massifs haut-alpins vont connaître, mardi 15 novembre, les prémisses d’un risque marqué (soit le niveau 3 sur une échelle de 5) pour la première fois de la saison. Il s’agit du Pelvoux et du Champsaur, en raison de précipitations neigeuses attendues.
À lire : Avalanches : deux massifs haut-alpins évoluent vers un risque “marqué”
 
Les premières neiges sont tombées au col de la Croix de Fer, proche de la frontière avec l’Isère. Photo Le DL/Jean-François CASANOVA
 
Quatre grands cols vont être fermés ce jeudi 17 novembre à partir de 16 heures. Le col de la Croix de Fer, le cormet de Roselend, le col de la Madeleine et celui du Mont-Cenis, tous proches des 2 000 mètres d’altitude, ne seront plus accessibles à la circulation. Ils rejoignent la route du relais du mont Chat ainsi que les cols du Glandon et du Petit Saint-Bernard, eux aussi fermés pour l’hiver.
 
À lire aussi : Ventoux : l’accès au sommet fermé aux véhicules dès le 18 novembre
 
Pour les navettes quotidiennes entre La Rosière et Bourg-Saint-Maurice, la commune de Montvalezan a décidé d’endosser la compétence transports, mais ce sont surtout les conditions salariales pour le recrutement des chauffeurs qui font jaser.  Archives photo Le DL /Jean-Luc TRAINI
 
Passée il y a un mois, l’annonce du recrutement, par la commune de Montvalezan, de deux chauffeurs de bus avec un salaire de 2 700 euros net (plus le logement et le forfait de ski pour la saison à La Rosière), pour cinq mois, du 1er décembre au 30 avril, a fait grand bruit. Et a pour le moins bien fonctionné dans un métier en tension.
Thierry Gaide, premier adjoint du maire de Montvalezan, confirme avoir trouvé non plus deux, mais cinq chauffeurs, et deux autocars pour la future Régie de transports communaux.
 
À lire : 2 700 € nets, un logement et un forfait, comment La Rosière a recruté ses chauffeurs de bus
 
La première télécabine des Sybelles, la Côte du bois, remplace un télésiège et un vieux téléski qui datait de 1962. Pour Laurent Deléglise, directeur général de la Soremet, cette nouvelle remontée apporte confort et sécurité, et révolutionne le front de neige.  Photo Le DL /J.-F.C.
 
Avec la télécabine dix places assises de la Côte du bois, La Toussuire offre aux Sybelles le premier téléporté de la jeune histoire du quatrième domaine skiable français, créé en 2003 en reliant La Toussuire, Les Bottières, Le Corbier, Saint-Jean, Saint-Sorlin-d’Arves, et Saint-Colomban-des-Villards, autour de l’Ouillon.
Ce projet figurait en bonne place lors de la prolongation de la délégation de service public pour la période 2010-2040.
 
À lire : Savoie : découvrez la première télécabine de l’histoire des Sybelles
 
Le sentier du glacier Blanc, accessible depuis le Pré de Madame Carle est l’un des sites surfréquentés ponctuellement dans le Parc national des Écrins.  Photo illustration Le DL /Justin MOUREZ
 
Comment mieux gérer le flux de visiteurs de ses espaces naturels ? Pour le moment, le parc national des Écrins (PNE), à cheval sur les départements des Hautes-Alpes et de l’Isère, a bien du mal à y répondre… Pour cause, celui-ci ne sait pas exactement combien de personnes arpentent ses sentiers !
« Les derniers chiffres ont dix ans », reconnaît Pierre Commenville, le directeur du PNE. À l’époque, 750 000 visiteurs avaient été comptés sur une période allant du 15 juin au 15 septembre, rappelle-t-il.
 
À lire : Parc national des Écrins : « Doit-on parler de surfréquentation ou de mal fréquentation ? »
À voir : Le parc national des Écrins en pleine réflexion sur la fréquentation de ses espaces
 
La fin des forfaits spéciaux pourrait avoir des conséquences directes sur des structures dédiées. Photo Le DL / Rémi MILLERET
 
La section ski, à l’origine de la création de l’association en 1971, pourrait disparaitre avec la fin des forfaits résidents/gens du pays.
Ébranlée par la situation sanitaire, l’ensemble de l’équipe n’a rien perdu de sa motivation et a su s’adapter. Cependant, le bilan financier de cette fin 2022 est négatif de 8 475 euros.
 
À lire : La fin des forfaits spéciaux menace la section ski de l’Association sportive d’Aime
À lire aussi : Forfaits de ski : la fin des tarifs dits spéciaux expliquée aux habitants des Belleville
 
Florian et son chien Thrall ont élaboré un itinéraire qui contourne les réserves naturelles pour réaliser une trace 100 % légale sur le parcours de l’hexatrek.  Photo Florian DUPRILLOT
 
En septembre 2021, Florian Duprillot prend une décision : il va faire l’Hexatrek. Cette randonnée traverse presque tous les massifs français, sur un sentier de 3 034 km, qui relie quatorze parcs naturels, des Vosges aux Pyrénées.
Il se prépare logistiquement et physiquement durant toute la saison d’hiver, et prévoit de réaliser l’intégralité du parcours avec son chien Thrall. « C’est mon binôme dans la vie, je fais tout avec lui, » confie Florian.
 
À lire : Florian et Thrall, pionniers de l’itinéraire de cani-randonnée : avec son chien, il a élaboré un itinéraire canin pour la plus grande randonnée de France !
 
Aux Menuires, comme dans de nombreuses stations, les prévisions de réservations laissent présager d’un bel hiver. Archives photo Le DL /Sylvain MUSCIO
 
Après une saison 2021/2022 des plus prolifiques, l’hiver à venir sera-t-il aussi réussi ? Pour l’heure, les voyants sont clairement au vert dans les montagnes savoyardes et haut-savoyardes. Malgré des problématiques majeures à gérer (hausse des prix de l’énergie, augmentation du prix des forfaits, débat sur les tarifs spéciaux…), les stations affichent un large optimisme.
Les premières neiges de ces derniers jours étaient un premier motif de satisfaction. Les prévisions de réservations en sont un second. « Cette saison s’annonce prometteuse, les tendances sont …
 
À lire : Réservations dans les stations : les voyants sont au vert en Pays de Savoie
À lire aussi : Stations de ski : pic de fréquentation annoncé du 11 au 25 février
 
Alain Robert dans la Tour Areva de la Défense, l’une des plus difficiles gravie en 1998. Photo Collection Alain Robert
 
On l’a vu passer plein gaz, papy. Un reptile sur la paroi. Futal en peau de python, cheveux longs, collier turquoise sur un torse à peine recouvert d’un petit gilet de cow-boy assorti. Alain Robert a replongé dans le Verdon. Pour mieux remonter dans sa panoplie de rock star de la grimpe, si peu prophète en son pays.
Il a troqué les santiags contre les chaussons. 60 ans et toujours une âme de garnement, l’ancien chef de rayon à Sport 2000 Valence. Et un talent à défier les lois de la pesanteur et du temps qui passe.
 
À lire : À 60 ans, le Spiderman drômois continue de grimper… sans corde
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs.
En cliquant sur « J’accepte », les cookies et autres traceurs seront déposés et vous pourrez visualiser les contenus Acast (plus d’informations).
En cliquant sur « J’accepte tous les cookies », vous autorisez des dépôts de cookies et autres traceurs pour le stockage de vos données sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
Vous gardez la possibilité de retirer votre consentement à tout moment en consultant notre politique de protection des données.
Gérer mes choix
Ancelin tombe dans les bras de son frère après avoir gravi le mont Blanc, en 2021. Photo Bruno PEYRONNET
 
C’est la dernière ligne droite pour Ancelin Margerie, qui doit impérativement clôturer le budget de “Rêve de Mont-Blanc” avant fin décembre et trouver le reste du financement, soit environ 25 990 €, pour voir son rêve ultime se réaliser : la projection d’un film réalisé par Bruno Peyronnet sur ses exploits d’ascension des sommets alpins. Mais pas que.
Ancelin Margerie n’est pas un alpiniste comme les autres. Dernier d’une famille de sportifs, à sa naissance, sa maman apprend que son fils est infirme moteur cérébral.
À lire : Jeune handicapé, il a gravi le mont Blanc : dernière ligne droite pour Ancelin Margerie
 
Photo de la webcam installée au sommet de Bellevarde a 7h30 ce mardi 15 novembre. L’enneigement reste faible en altitude et ne permet pas pour l’instant d’envisager une ouverture du domaine dans de bonnes conditions.  Photo Le DL /Valentin DIZIER
 
Après l’annonce de Val Thorens dimanche, c’est au tour du domaine skiable Val d’Isère d’annoncer un décalage de l’ouverture. « Au regard des conditions météorologiques et de l’automne particulièrement doux, l’ouverture du domaine skiable à Val d’Isère initialement prévue le 26 novembre est reportée au 3 décembre 2022 », annonce Val d’Isère Tourisme.
En revanche, la station de Tignes ouvre bien une piste, sur son glacier, dès vendredi.
 
À lire : Manque de neige : le domaine skiable Val d’Isère obligé de décaler son ouverture d’une semaine
À lire aussi : Neige annoncée en altitude : y en aura-t-il assez pour les stations ?
 
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs.
En cliquant sur « J’accepte », les cookies et autres traceurs seront déposés et vous pourrez visualiser les contenus (plus d’informations).
En cliquant sur « J’accepte tous les cookies », vous autorisez des dépôts de cookies et autres traceurs pour le stockage de vos données sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
Vous gardez la possibilité de retirer votre consentement à tout moment en consultant notre politique de protection des données.
Gérer mes choix
Nouvel aménagement des remontées mécaniques au sommet de Bellecôte. A gauche l’éboulement sous ce qui reste du glacier de Bellecôte, et à droite la gare d’arrivée du télésiège de la Traversée. Photo Le DL /Thierry GUILLOT
 
À basse altitude, c’est le manque de neige qui contraint les stations. Mais en Tarentaise, paradis de l’or blanc, le déglacement des versants engage les prospères sites de la Compagnie des Alpes sur les rails d’une transition d’un autre genre.
Au point de descendre de leur piédestal, perdre de la hauteur et réduire ce kilométrage de pistes qui fait tourner les têtes.
« Là où d’autres veulent agrandir leur domaine, nous sommes l’une des premières stations à dire consciemment qu’on abandonne 55 hectares, rendus à la nature », clame Luc Nicolino, directeur des pistes de la société d’aménagement de la Plagne (SAP).
 
À lire : La Plagne contrainte de rabaisser son sommet
À voir : Face au climat, La Plagne descend de son piédestal
 
Initialement prévue le samedi 19 novembre, l’ouverture de la station de Val Thorens, a été reportée au samedi 26 novembre. Photo Le DL/Thierry GUILLOT
 
La décision était attendue et elle est arrivée dimanche matin. Initialement prévue le samedi 19 novembre, l’ouverture de la station de Val Thorens, a été reportée au samedi 26 novembre.
Malgré des températures plus fraîches et des premières chutes de neige qui sont venues blanchir les sommets de Val Thorens depuis dix jours, les conditions n’étaient pas réunies pour ouvrir de manière optimale dans une semaine.
De nouvelles chutes sont annoncées jeudi prochain et devraient se poursuivre tout le week-end. Combinées au froid qui va s’installer, elles vont permettre de compléter le manteau neigeux créé par les différentes chutes grâce à la production complémentaire de neige de culture par le service des pistes.
La Grande Première ainsi que les animations prévues sont donc annulées pour le week-end du 19 et 20 novembre et c’est donc à l’occasion du High Test by Décathlon que la station ouvrira ses portes au grand public avec un week-end riche en animations et en test de ski le week-end des 26 et 27 novembre.
Les moniteurs à la rencontre des Parisiens, de la gare de Lyon à l’esplanade du Trocadéro. Photo Nils LOUNA/Ski Chrono
 
Aux abords de la gare de Lyon, à Paris, les voyageurs sont pressés, tendus à cause des métros en grève et de la météo en berne. Au milieu de cette grisaille, une troupe rouge d’une dizaine de moniteurs, skis sur l’épaule ou planche de snowboard sous le bras, émerge de la foule. Mais que font ces représentants de l’ESF aussi loin de la blanche neige ?
Ils viennent participer à une opération de promotion de la montagne française à destination des Parisiens. Du 10 au 12 novembre, pendant trois jours, sous l’égide de France Montagnes, l’organisme de promotion des stations hexagonales, la montagne s’invite à la ville.
 
À lire : Comment la montagne part à l’assaut de la capitale
À lire aussi : « Non le ski n’est pas mort »
 
La neige ne s’est pas encore présentée cette année au Grand Puy où l’on espère une ouverture pour les vacances de Noël.  Photo Le DL /Jean Baptiste GUIEU
 
« Fermer le Grand Puy cette année, c’est l’enterrer. » Laurent Pascal, le maire de Seyne, a mis fin à toute rumeur. En compagnie de sa première adjointe Nathalie Esclapez en charge des finances, ils ont néanmoins soulevé la nécessité de faire des efforts, de trouver des solutions pour économiser.
« Nous avons l’obligation de faire au moins 10 % d’économie d’énergie en kWh comme toutes les stations de France », rappellent les élus.
 
À lire : Seyne : la station du Grand Puy, ouverte et économe cet hiver
 
Le projet avait été présenté à Albertville, il y a un an. Archives Photo Le DL /Jérémy PENA
 
Tout semblait réuni pour que la Ville d’Albertville et Marc Batard vivent une année 2022 inoubliable. Célébration des 30 ans des JO de 1992 pour la cité olympique, ascension de l’Everest sans oxygène à l’occasion de ses 70 ans pour l’alpiniste et organisation du premier Sommet international de la sécurité en haute altitude pour les deux.
En septembre 2021, une présentation du projet avait même rassemblé une centaine de personnes à la Halle olympique d’Albertville. Depuis, les informations ont été rares, voire inexistantes. Et pour cause, le projet a été abandonné.
 
À lire : Projet abandonné : pourquoi le premier Sommet international de la sécurité en haute altitude n’aura pas lieu ?
 
Commenter cet article
Vous devez être connecté pour pouvoir commenter
Se connecter
Pour accéder à votre espace personnel, vous devez fournir un identifiant et un mot de passe.
Vous ne possédez pas encore de compte ? Créer un compte
Partagez
Le 18/11/2022 à 09:11
mis à jour il y a environ 1 heure

Thèmes
Notez
Sur le même thème
Vos conditions météo


Bulletin d’enneigement
Météo et hauteurs de neige dans vos stations
En kiosque
N°84 Disponible
à la vente
Service de presse en ligne, n° CPPAP : 0215 W 90260,
validité : 28/02/2015.
Copyright 2011 © SkiChrono

source

A propos de l'auteur

Backlink pro

Ajouter un commentaire

Backlink pro

Prenez contact avec nous

Les backlinks sont des liens d'autres sites web vers votre site web. Ils aident les internautes à trouver votre site et leur permettent de trouver plus facilement les informations qu'ils recherchent. Plus votre site Web possède de liens retour, plus les internautes sont susceptibles de le visiter.

Contact

Map for 12 rue lakanal 75015 PARIS FRANCE