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Crise énergétique: l'UE cherche à sortir de l'impasse sur le plafond … – Arabnews fr

https://arab.news/j4akv
BRUXELLES: Les ministres européens de l’Energie ont échoué mardi à s’entendre sur un plafonnement des prix du gaz et se sont donnés une semaine pour arracher un accord et permettre ainsi l’adoption d’autres mesures d’urgence pour amortir la crise énergétique.
“J’espérais déboucher le champagne aujourd’hui. Les bouteilles resteront au frigo (…) Mais je pense qu’on y est presque”, a assuré à l’issue de la rencontre le ministre tchèque de l’Industrie Jozef Sikela, dont le pays exerce la présidence tournante de l’UE.
Les discussions ont été renvoyées à une nouvelle réunion ministérielle le 19 décembre. Entretemps, les chefs d’Etat et de gouvernement pourraient s’emparer du sujet lors de leur sommet jeudi.
Les Vingt-Sept se déchirent depuis trois semaines autour d’une proposition de la Commission européenne visant à plafonner temporairement les prix de certains contrats à terme sur le marché gazier de référence TTF afin d’empêcher toute nouvelle flambée des cours.
Cette division persistante paralyse deux autres textes agréés, mais dont l’adoption formelle est suspendue à une décision sur le plafonnement des prix gaziers.
Le premier prévoit des achats groupés de gaz, auxquels participeraient des consortiums d’entreprises, afin d’obtenir ensemble de meilleurs prix, et un mécanisme de solidarité assurant automatiquement l’approvisionnement énergétique des pays menacés de pénuries.
Le second simplifie les procédures d’autorisations pour les infrastructures d’énergies renouvelables.
“Ces solutions ne sont pas parfaites, mais elle sont prêtes et elles permettraient de faire baisser les prix”, a rappelé la ministre autrichienne Leonore Gewessler.
“L’objectif reste d’adopter ces trois textes ensemble, un seul paquet, lundi prochain”, a affirmé Jozef Sikela.
Garde-fous
La Commission avait initialement proposé de plafonner les prix des contrats mensuels sur le TTF dès lors qu’ils dépassent 275 euros/MWh pendant deux semaines consécutives, à condition qu’ils soient supérieurs d’au moins 58 euros à un “prix mondial moyen de référence” du gaz naturel liquéfié (GNL).
Des conditions draconiennes jamais réunies, même lors de la flambée des cours en août dernier, rendant extrêmement improbable tout déclenchement: une partie des Etats (France, Espagne, Pologne, Grèce…) avaient fustigé une “mauvaise blague” et réclamé d’assouplir fortement les conditions requises.
Au contraire, rétifs à toute intervention, plusieurs Etats (Allemagne, Pays-Bas, Autriche…) exigent des “garde-fous” drastiques pour éviter qu’un plafonnement menace les approvisionnements gaziers de l’Europe.
Certains fournisseurs-clés comme la Norvège s’alarment d’un plafonnement décidé unilatéralement, qui pourrait également encourager certains fournisseurs de GNL à délaisser l’Europe au profit de clients asiatiques payant des prix plus attractifs.
La présidence tchèque s’est efforcée de “donner des gages aux deux camps”.
Selon Jozef Sikela, un “accord de principe” a été trouvé mardi pour étendre le plafonnement à d’autres marchés que le TTF, mais il exclura les contrats passés de gré-à-gré (“OTC”) hors de tout marché régulé.
Autres points d’entente: une évaluation du dispositif sera menée “fin février”, et les possibilités de désactivation automatique en cas de perturbations imprévues “seront renforcées”.
Équilibre
“Nous avons fait de gros progrès: 90% du texte est +stabilisé+, avec un nombre restreint de points à conclure le 19 décembre, notamment la question du prix auquel le mécanisme se déclencherait”, confirme la ministre française de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher.
Un point crucial: plusieurs pays – Grèce, Italie, Belgique – avaient proposé de descendre le seuil à 160 euros/MWh, une ligne rouge pour d’autres. Prague a tenté de fixer la barre à 220 euros/MWh.
“L’affaire est extrêmement délicate: il est judicieux de prendre encore du recul, de vérifier si nous ne faisons pas d’erreurs”, a insisté le ministre allemand de l’Economie Robert Habeck.
La Banque centrale européenne elle-même estime qu’un plafonnement mal conçu pourrait exacerber la volatilité et compromettre la “stabilité financière en zone euro”.
“Nous avons trois objectifs, dont aucun ne prend le pas sur l’autre: protéger nos industriels en cas de prix du gaz irrationnels, préserver la stabilité des marchés financiers, et garantir la sécurité d’approvisionnement en gaz en vue de l’hiver 2023-2024”, abonde Mme Pannier-Runacher.
Le temps presse: alors qu’avec l’hiver citoyens et entreprises pâtissent de l’explosion des prix, “nous devons prendre nos responsabilités et agir sans délai”, a jugé le ministre grec Konstantinos Skrekas.
https://arab.news/5htpa
RIYAD: Les prix du pétrole ont diminué sur le marché asiatique jeudi en raison du raffermissement du dollar, tandis que la possibilité de nouvelles hausses des taux d’intérêt par les banques centrales mondiales a également renforcé les préoccupations relatives à la demande.
Les contrats à terme sur le Brent ont enregistré une baisse de 67 centimes à 82,03 dollars le baril (1 dollar = 0,94 euro)  à 08h10 (heure d’Arabie saoudite), tandis que les contrats à terme sur le brut américain ont perdu 78 centimes à 76,50 dollars.
Trudeau veut rétablir les sanctions contre les parties du gazoduc Nord Stream
Le gouvernement du Premier ministre canadien, Justin Trudeau, va révoquer la dérogation qui exemptait les turbines du gazoduc Nord Stream des sanctions canadiennes contre l’industrie pétrolière et gazière russe, a rapporté Bloomberg News mercredi, citant un haut fonctionnaire du gouvernement.
La décision a été communiquée aux gouvernements allemand et ukrainien et devrait être annoncée par le Canada dans la journée, selon le rapport.
La Russie discute de la stabilité énergétique avec le Venezuela
Mercredi, le vice-Premier ministre russe, Alexander Novak, a rencontré le ministre vénézuélien du Pétrole à Caracas, où ils ont discuté de la volatilité du marché pétrolier et de l’état des dettes impayées du Venezuela envers la Russie.
Novak, qui est également chargé des relations de Moscou avec l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), s’est rendu sur place dans le cadre d’une commission intergouvernementale qui se tient régulièrement, avait indiqué auparavant un porte-parole de Novak.
«Nous insistons sur l’importance de continuer à travailler ensemble pour stabiliser le marché international de l’énergie dans le cadre de l’Opep+ et du Forum des pays exportateurs de gaz», a déclaré Novak par l’intermédiaire d’un interprète dans un discours diffusé à la suite de sa rencontre avec le ministre vénézuélien du Pétrole, Tareck el-Aissami.
«Les pays producteurs de pétrole et de gaz constituent la pierre angulaire de notre coopération commerciale et financière, qui continue de prouver sa résilience malgré les sanctions et les pressions exercées sur la Russie et le Venezuela», a souligné Novak.
Moscou négocie actuellement un accord de restructuration de la dette avec le Venezuela, a précisé mercredi l’agence russe Interfax, citant un responsable du ministère russe des Finances. Selon l’agence de presse Tass, l’adoption éventuelle du système de paiement par carte Mir de la Russie au Venezuela a également été discutée.
(Avec Reuters)
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
 
https://arab.news/gfcfv
RIYAD: L’Arabie saoudite et les pays de la région ont relevé leurs taux d’intérêt à la suite de la décision de la Réserve fédérale américaine (FED) de relever son niveau de référence de 50 points de base, comme attendu, alors que le monde continue de lutter contre la hausse de l’inflation.
La Banque centrale saoudienne, connue sous le nom de «Sama», a relevé les taux du Repo (accord de mise en pension) et du Reverse Repo (contrat de prise en pension inversée) de 50 points de base, respectivement à 5 % et 4,50 %. Elle a déclaré que cette décision était conforme à ses objectifs consistant à maintenir la stabilité monétaire et à soutenir la stabilité financière.
La FED a relevé mercredi son taux d’intérêt d’un demi-point de pourcentage pour atteindre une fourchette cible comprise entre 4,25% et 4,5%, soit le plus haut niveau en quinze ans.
Le responsable fédéral a indiqué que la FED maintiendra les taux plus élevés jusqu’à l’année prochaine, sans réduction avant 2024.
La hausse de la Fed «est une évolution en partie bienvenue après avoir assisté à un total de sept hausses de taux, avec quatre hausses consécutives de 75 points de base cette année»,  précise Albara’a al-Wazir, économiste au Conseil des affaires américano-saoudien, à Arab News.
Il a affirmé qu’il semblait que la phase la plus aiguë du resserrement quantitatif soit «derrière nous». Mais il a également souligné qu’il «existe encore des inquiétudes importantes, le taux d’inflation américain s’élevant toujours à 7,1%», ajoutant que des forces concurrentes, comme un marché du travail serré associé à une augmentation des salaires, entraînaient de futures augmentations des taux d’intérêt, à un rythme toutefois plus lent en 2023.
Le taux des mises en pension est principalement utilisé comme un outil de contrôle de l’inflation, facturé lorsque les banques commerciales empruntent des fonds en mobilisant des titres, tandis que la prise en pension inversée – le taux auquel les banques gagnent des intérêts lorsqu’elles stockent des fonds excédentaires – est utilisée pour augmenter les liquidités.
Alwazir a indiqué que la hausse des taux d’intérêt entraînera une baisse de la demande de crédit, ce qui aura des effets négatifs sur les actifs financiers, comme on l’a vu tout au long de l’année.
«Cela exercera une pression à la baisse supplémentaire sur les résultats de Tadawul, l’indice Tadawul All Share étant déjà en baisse de 9% depuis le début de l’année.»
Les hausses des pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG), dont les monnaies sont indexées sur le dollar depuis plus de trente-cinq ans, sont les suivantes:
La Banque centrale d’Oman a relevé jeudi son taux Repo de 50 points de base à 5% et a annoncé qu’elle continuait de surveiller de près les marchés mondiaux et locaux pour prendre les mesures nécessaires.
La Banque centrale du Qatar a également augmenté les taux de dépôt, de pension et de prêt, de 50 points de base pour atteindre respectivement 5, 5,25 et 5,5 %.
La Banque centrale de Bahreïn a relevé son taux d’intérêt directeur, son taux de dépôt au jour le jour, son taux de dépôt à quatre semaines et ses taux de prêt de 50 points de base chacun, à 5,25 %, 5 %, 6 % et 6,5 %.
La banque centrale des Émirats arabes unis (EAU) a relevé le taux de base applicable à la facilité de dépôt au jour le jour de 50 points de base, de 3,9 % à 4,4 %.
L’Arabie saoudite, les EAU, Bahreïn et le Qatar ont réagi aux hausses de la Fed en augmentant leurs principaux taux directeurs simultanément et largement du même montant en 2022.
Les pays du Golfe ont relevé leurs taux en mars, mai, juin, juillet, septembre et novembre, conformément à la décision de la Fed de relever les taux d’intérêt.
Le Koweït, qui diffère de ses homologues du Golfe par son rattachement à un panier de devises, a adopté une approche différente reflétant des perspectives plutôt haussières sur l’inflation.
Au cours des mois de mai et juin, alors que d’autres États du Golfe augmentaient leurs taux de 50 points de base, le Koweït n’a relevé le sien que de 25 points de base.
En novembre, le Koweït s’est abstenu de relever ses taux, tandis que l’Arabie saoudite, les EAU et Bahreïn avaient alors augmenté leurs taux de 75 points de base, tandis que le Qatar relevait ses taux de 50 points de base.
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
 
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PARIS: Le secteur du numérique (éditeurs logiciels, entreprises de services numériques, conseil en technologie) continue de connaître une croissance soutenue en France malgré les tensions économiques, selon le bilan annuel de Numeum, l’organisation professionnelle du secteur.
Les ventes cumulées des entreprises du secteur devraient croître de 7,5% en 2022 à 60,9 milliards d’euros, puis de 5,9% l’année suivante, selon ses dernières prévisions publiées jeudi.
“Nous sommes revenus à des niveaux de croissance d’avant le Covid, qui sont incroyablement bons”, a indiqué à l’AFP Geoffroy de Bentzmann, le co-président de Numeum.
La croissance est portée notamment par la mutation vers le “cloud”, ces infrastructures informatiques mutualisées qui permettent aux entreprises de ne plus entretenir elles-même de coûteux parcs informatiques.
La croissance est également tirée par le e-commerce, la dématérialisation, la collecte et l’analyse de données, les objets connectés, la sécurité informatique.
Pour Numeum, la croissance, bien qu’en léger ralentissement, restera forte en 2023 (+5,9%), en raison du caractère incontournable des investissements numériques.
“En 2023, quelque soit l’impact de la prime énergie, de l’inflation, nos clients n’auront pas le choix”, a indiqué M. de Bentzmann.
Pour eux, “le numérique est devenu un enjeu de performance de leur modèle d’affaires, quand il ne devient pas le modèle d’affaires lui-même”, a-t-il indiqué.
Selon Numeum, 55% des directions informatiques des entreprises (DSI) prévoient une hausse de leur budget en 2023, 15% entrevoyant une hausse de plus de 10%.
En 2022, ce sont les  éditeurs de logiciels qui connaissent la performance la plus forte, avec une croissance estimée de 11,3% (+9,5% en 2021).
Les entreprises d’ingénierie et de conseil en technologie, qui retrouvent des couleurs après le violent trou d’air au moment des confinements, affichent une croissance de 7,4%, contre 5,9% l’an dernier.
Les entreprises de services numériques (ESN), du géant Capgemini aux petites sociétés locales, croissent de leur côté de 5,1%, contre 4,4% l’an dernier.
Le vrai point noir du secteur reste les difficultés de recrutement, du fait d’un vivier de personnes qualifiées trop étroit.
“On n’est pas au bout de nos peines” sur ce point là, avec “une inflation des salaires, et des jeunes qui restent quelques mois et partent ensuite” vers un nouveau travail, “avec une hausse de 10% de leur salaire”, a indiqué M. de Bentzmann.
Les effectifs salariés du numérique représentaient 572.126 personnes en 2021, avec 34.000 créations nettes d’emplois salariés sur l’année.
M. de Bentzmann s’inquiète également de la proposition de loi sur les cabinets de conseil privés, qui vise à mieux contrôler le recours de l’Etat aux consultants extérieurs comme ceux de l’américain McKinsey.
Numeum souhaite que les entreprises de services informatiques soient sorties du champ d’application de cette proposition de loi, adoptée en première lecture par le Sénat.
“On voit très bien que des projets (numériques) sont arrêtés dans les ministères en ce moment”, par peur de recourir aux services d’entreprises de conseil informatique, a-t-il indiqué.

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https://seo-consult.fr/page/communiquer-en-exprimant-ses-besoins-et-en-controlant-ses-emotions

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