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Ce qu'il faut négocier en dehors de la rémunération ( Crédits: © Andrey Popov – stock.adobe.com)
Ce qu'il faut négocier en dehors de la rémunération ( Crédits: © Andrey Popov – stock.adobe.com)
Par MoneyVox,
Le salaire n’est pas le seul et unique point à négocier avec son employeur ou son responsable des ressources humaines. En matière de conditions de travail, d’autres éléments entrent en jeu et peuvent permettre d’améliorer le bien-être au travail et/ou la rémunération globale lorsque l’on est salarié. Des facteurs à prendre en compte avant d’entrer en entretien d’embauche ou en entretien annuel. Le résumé des 6 principaux éléments à négocier, en dehors du salaire.
Si votre entreprise emploie plus de 50 salariés, un accord de participation est obligatoirement en place. Un dispositif qui peut être complété de façon facultative par de l’intéressement. En complément, il est aussi possible de négocier une prime Macron, ou prime PEPA, dont le montant médian a été de 600 euros en 2021 selon Franck Chéron, expert RH chez Deloitte. Un avantage qu’il faut négocier rapidement, la date limite de versement étant fixée au 31 mars 2022.
Selon Luc Mathieu, secrétaire national de la CFDT, ” Le salaire, c’est aussi la rémunération variable”. Courante dans certaines professions, cette pratique peut en réalité être transposée à de multiples métiers, et permet d’obtenir une rémunération en fonction de sa performance et de l’atteinte d’objectifs. Pour les entreprises rencontrant des difficultés économiques, et ne pouvant pas augmenter la part fixe des salaires, il peut s’agir d’une bonne alternative.
Les tickets resto peuvent représenter un bel avantage financier. Utilisables pour manger au restaurant ou pour faire certaines courses alimentaires, ces titres sont pris en charge en partie par l’employeur, à hauteur de 50 à 60 %. Le reste à charge pour le salarié n’est donc que de 40 à 50 % de la valeur du ticket. Selon la Commission nationale des titres restaurants (CNTR), les salariés qui profitent de cet avantage salarial ont des tickets resto d’une valeur moyenne de 7,70 euros.
Sur le même principe que le ticket restaurant, il existe un titre-mobilité, qui permet une prise en charge partielle des frais de transport du salarié. Ceci est toutefois conditionné à l’utilisation d’un mode de déplacement respectueux de l’environnement : vélo, vélo à assistance électrique, voiture électrique… Un joli bonus qui peut atteindre jusqu’à 600 euros par an et par salarié. Et si votre entreprise ne le propose par encore, il est important de savoir qu’une prise en charge par l’employeur des frais pour les transports en commun à hauteur de 50 % est obligatoire.
Depuis le début de la crise sanitaire du Covid-19, les habitudes en matière de conditions de travail ont évolué. Le télétravail fait partie de ces nouvelles pratiques plébiscitées par de nombreux employeurs et par les salariés. Si cela vous tient à cœur, il ne faut pas hésiter à en parler : maintenant que la pratique est devenue courante, il est tout à fait possible d’obtenir un accord permettant de travailler de façon régulière depuis chez soi un ou plusieurs jours par semaine. En revanche, une indemnisation des frais associés (électricité, chauffage, internet, fournitures de bureau…) n’est pas encore inscrite dans la loi, et dépend donc de la bonne volonté de chaque société.
Mutuelle santé, horaires de travail, flexibilité des heures d’arrivée et de départ, formations, congés… bien d’autres points peuvent aussi être négociés par un salarié. Les discussions annuelles, ou à l’embauche, ne doivent donc pas se limiter au seul salaire fixe, bien qu’il s’agisse toujours d’un élément essentiel pour rétribuer un travail à sa juste valeur. Franck Chéron insiste sur ceci : “Au-delà du chiffre [de l’augmentation annuelle], qu’est-ce que l’on apporte en plus pour que les gens aient une vie meilleure ? L’organisation du travail est longtemps passée à la trappe. Ce n’est plus le cas face à la crise sanitaire !”
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