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Nervosité et volatilité sont toujours de mode à Paris. Le CAC40 a bien tenté de se reprendre pour atterrir autour des 5.780 points. En vain ! L’indice phare parisien a glissé dans le dernier quart d’heure de cotation, et finit par abandonner -0,27% à 5.753 points au plus bas de la journée. En inter-séance, le CAC40 a pointé sur un plus haut de 5.852,61 pts, soit une variation intraday de plus de 1,7%.
Les craintes de récession mondiales se précisent alors que les grandes Banques centrales remontent allègrement leurs taux dans leur lutte contre l’inflation.
Aujourd’hui, le marché des changes a d’ailleurs connu des secousses comme rarement observé au cours des dernières années, notamment du côté de la livre sterling. La Banque d’Angleterre a calmé le jeu en expliquant hier surveiller de très près les marchés financiers, ajoutant qu’elle n’hésiterait pas à agir en conséquence. Certains espéraient toutefois plus de la part de la BoE. La livre se reprend face au billet vert, après être tombée lundi sur un plancher historique à 1,032$. Selon l’économiste en chef de la BoE, Huw Pill, l’institution devrait exprimer une réaction “significative” aux allègements massifs de taxes et d’impôts annoncés la semaine dernière par le gouvernement de Liz Truss, mais elle devrait attendre sa prochaine réunion, en novembre. Ce renvoi aux calendes grecques est assez mal acceptée de certains investisseurs et économistes qui considèrent que la banque centrale britannique devrait se réunir en urgence pour annoncer une nouvelle hausse marquée des taux d’intérêt et ainsi, contrer l’impact inflationniste de la chute de la livre.
Pour sa part, la Banque centrale hongroise a relevé ses taux directeurs de 125 points de base pour les porter à 13%. Ce resserrement est plus fort que prévu dans la mesure où les économistes tablaient sur une hausse de 100 pb. En froid avec Bruxelles, qui a gelé le versement de 7,5 MdsE d’aides européennes, le gouvernement de Budapest doit également faire face à la crise énergétique qui secoue l’Europe et à une inflation proche des 20%.
Aux Etats-Unis, Charles Evans, de la Fed de Chicago a estimé que la Réserve fédérale devrait relever ses taux d’intérêt dans une fourchette comprise entre 4,5% et 4,75%, posture plus agressive que celle adoptée précédemment, soulignant la détermination sans faille de la Fed à maîtriser une inflation excessivement élevée. Charles Evans a également déclaré qu’il ne prévoit pas de taux de chômage ‘de type récession’, même si les actions de la Fed se traduisent par une croissance économique inférieure à la tendance et un ralentissement du marché du travail pour ramener l’inflation vers l’objectif de 2%. “Mon propre point de vue est à peu près conforme à l’évaluation médiane”, a déclaré Charles Evans à Londres devant le Forum officiel des institutions monétaires et financières. Rappelons que plus tôt dans ce mois, Evans préconisait que les taux culminent à 4%. Son changement d’avis a été influencé par l’ampleur croissante des pressions sur les prix, observées dans les données économiques récentes.
Jerome Powell, le patron de la Fed, qui intervenait ce mardi, avant l’ouverture de la place financière américaine n’a donné aucune indication quant à son action future sur les taux, le 2 novembre. L’intervention du jour était virtuelle, à l’occasion d’une discussion sur la finance digitale à Paris (“Conference on Opportunities and challenges of the tokenisation of finance, which role for Central Banks ?”). Jerome Powell a notamment indiqué que les banques centrales resteraient la principale source de confiance dans la monnaie. Il s’est aussi exprimé en faveur d’une régulation des ‘stablecoins’. Le leader de la Fed a donc disserté sur l’avenir des monnaies numériques, sans fournir plus de détails sur la politique monétaire.
Le ralentissement économique est toutefois palpable aux Etats-Unis, par des commandes de biens durables pour le mois d’août 2022 en retrait de -0,2% en comparaison du mois antérieur, contre -0,3% de consensus de place et -0,1% pour sa lecture révisée du mois antérieur. Hors transport, ces commandes de biens durables ont progressé de +0,2% par rapport au mois précédent, en ligne avec le consensus FactSet et la hausse du mois précédent.
Néanmoins, Wall Street reste ferme… A 18h,le S&P 500 gagne +0,44% à 3.671 points. Le Dow Jones prend +0,22% à 29.325 points. Le Nasdaq est ferme puisque l’indice technologique américain gagne +0,77% à 10.885 pts.
Pétrole et devises
Le baril de pétrole remonte rapidement, ce mardi. Il bénéficie à la fois d’un rebond technique après la franche baisse de ces derniers jours, de l’arrivée de l’ouragan Ian dans le golfe du Mexique et de la pause du dollar après son rallye. Ainsi, le WTI grimpe de +3,08% à 78,69$. Le baril de Brent de la mer du Nord prend +2,82% à 86,31$.
L’euro est à peine plus ferme face au dollar mais se reprend de 0,11% à 0,9621$.
L’once d’or cède -0,53% à 1.635$. Le bitcoin gagne 4,85%, recollant 20.032$.
Valeurs en hausse
* Bic (+5,57% à 63,5%). Le groupe confirme son impressionnante résistance des derniers jours. Imperméable à la forte baisse du marché au cours des dernières séances, et fort d’une bonne orientation graphique, le titre du fabricant d’articles de papeterie, de briquets et de rasoirs aligne une quatrième séance consécutive de progression et porte ses gains depuis le début de l’année à plus de 27%. Vendredi, UBS a débuté le suivi de la valeur avec un avis ‘achat’ et un objectif de 82 euros. Si l’action se négocie encore à un niveau historiquement bas, l’analyste voit le soleil à l’horizon : “nous pensons que BIC offre un profil de chiffre d’affaires et de résultat convaincant, ainsi que des niveaux de retour en cash attrayants et constants”.
* Transgene (+4,8% à 2,07 euros). Le groupe accueille ce 27 septembre à Paris un événement R&D destiné aux investisseurs et analystes. Hedi Ben Brahim, Directeur général de Transgene, commente : “L’événement d’aujourd’hui mettra en évidence notre expertise scientifique et translationnelle qui nous a permis de concevoir la prochaine génération d’immunothérapies contre le cancer reposant sur des virus.
* CGG (+2,91% à 0,744 euro). La division Earth Data du groupe poursuit le développement de sa nouvelle base de données GeoVerse pour le stockage de gaz carbonique. Les études associées à ce projet fournissent une évaluation précise, unique et indépendante pour l’identification des sites potentiels de stockage de CO2 couplée à une base de données prêtes à l’emploi pour une prise de décision rapide et éclairée. TotalEnergies a acheté une licence d’accès à la dernière étude ajoutée à cette suite de produits CGG.
* TotalEnergies (+1,74% à 47,84 euros). Le titre se reprend avec la remontée des prix de l’or noir. Le groupe de Patrick Pouyanné a par ailleurs estimé dans ses perspectives sur l’énergie, que des investissements dans de nouveaux développements pétroliers et gaziers seront encore nécessaires au moins jusqu’au milieu des années 2030. TotalEnergies considère notamment que l’hydrogène et les carburants liquides durables basés sur les écocarburants ne seront pas utilisés à grande échelle avant 2030. Le gaz naturel conserverait un rôle clé d’énergie de transition. Le groupe pétrolier considère toutefois que les investissements dans les énergies bas carbone doivent doubler d’ici à 2030 pour atteindre 1.500 Mds$.
* Worldline (+1,68% à 42,65 euros). Le groupe français grimpe dans le sillage du spécialiste italien des paiements, Nexi, qui a annoncé prévoir une génération de trésorerie excédentaire d’environ 2,8 MdsE sur la période 2023-2025. Une manne qu’il prévoit d’utiliser pour des fusions et acquisitions ou pour restituer de l’argent aux actionnaires. Dans le cadre d’un nouveau plan stratégique, la société milanaise table sur une croissance annuelle moyenne des revenus de 9% entre 2021 et 2025, à environ 4,2 MdsE, avec une augmentation annuelle de 14% du bénéfice de base sur la même période. “Les objectifs sont supérieurs au consensus et impliquent un profil de croissance solide pour le chiffre d’affaires et le résultat net, couplé à un fort désendettement”, affirme l’analyste d’Equita, Gianmarco Bonacina.
* Roctool (+3,42% à 3,62 euros). Au 1er semestre, Roctool a amélioré son taux de marge brute à 76% (69% au 1er semestre 2021). L’Ebitda s’établit à son point d’équilibre (-0,9 ME au 1er semestre 2021). Cette amélioration continue des performances opérationnelles permet à l’ensemble des résultats de continuer à s’apprécier. Le résultat net ressort bénéficiaire à +0,1 ME (-1,2 ME en 2021). La trésorerie de la société s’établit à 1 ME au 30 juin (2 ME au 31 décembre 2021), avec des encours clients significatifs compte tenu d’une concentration des ventes en fin de période. Les capitaux propres consolidés à fin juin 2022 s’élèvent à 2,7 ME stables par rapport au 31 décembre 2021. Roctool est confiant quant à sa capacité à poursuivre sa feuille de route et délivrer une croissance rentable, avec un changement de dimension à l’échelle internationale, boostée par les besoins en éco-responsabilités pour de nombreuses applications. La société poursuit par ailleurs ses discussions avec de potentiels partenaires stratégiques de premier plan.
* Ekinops (+2,08% à 6,39 euros). La société dirigée par Didier Brédy a été choisie par le fournisseur américain Stratus Networks pour implémenter des tests d’activation de service à ses clients sur son réseau de collecte de données mobile 5G. Ekinops a ainsi fourni sa plateforme d’accès Ethernet 1651 10G à Stratus Networks, l’un des principaux fournisseurs de capacité et de réseaux de fibre optique privés, basé à Peoria Heights (Illinois). Bryan Garnier confirme sa postion à ‘achat’, suite à cet accord qui souligne le dynamisme du groupe en Amérique du Nord, sa capacité à se diversifier hors des produits optiques purs dans la région et le succès de sa stratégie pour répondre à la demande malgré les pénuries de composants. Au 1er semestre, l’Amérique du Nord représentait 20% du chiffre d’affaires d’Ekinops, en croissance de+ 33% à taux de change constant.
* Quadient (+2,69% à 14,149 euros). L’ex-Neopost a vu sa rentabilité se contracter au premier semestre mais a malgré tout confirmé ses objectifs annuels, à savoir une croissance organique de plus de 2% et une progression interne de l’EBIT courant à un niveau ‘low to mid-single digit’ avec un second semestre qui devrait être marqué par une nette amélioration de la profitabilité par rapport au premier semestre. Anticipant une forte dynamique au second semestre, Oddo BHF ajuste la mire de 31 à 30 euros et réitère son avis ‘surperformer’. Portzamparc reste à ‘achat’ et revalorise le titre de 34 à 36 euros.
* SES-imagotag (+2,03% à 90,30 euros) et Fnac Darty (+1,79% à 28,50 euros) sont bien orientés. Le spécialiste des étiquettes électroniques et des solutions digitales pour le commerce physique a été choisi par le leader européen de la distribution de biens technologiques et culturels pour déployer sa plateforme VUSION Retail IoT dans plus de 200 magasins en France, Belgique, Espagne et Portugal. Après avoir équipé ces dernières années une quarantaine de magasins en Espagne en étiquettes électroniques et solutions digitales, la Fnac accélère ainsi sa transformation digitale grâce à la technologie SES-imagotag. En France, plus de 110 magasins Fnac et Darty vont adopter la plateforme VUSION, avant fin 2022, connectant dans le cloud l’ensemble de leurs étiquettes électroniques. Plus de 70 magasins Fnac et Vanden Borre seront aussi équipés courant 2022 au Portugal et en Belgique. Si le montant de l’accord et la vitesse de déploiement n’ont pas été dévoilés, Portzamparc l’estime en première approche autour de 18/20 ME. L’analyste financier est à ‘renforcer’ sur SES-imagotag avec un cours cible de 104 euros.
* EDF (stable à 11,89 euros). L’énergéticien français a trouvé le nouveau patron qui doit succéder à Jean-Bernard Lévy. Son nom n’a pas encore filtré mais le gouvernement français l’a choisi et sa nomination est “imminente”. “Tout ça est une affaire de procédures (…) Nous avons la personne”, a déclaré Bruno Le Maire sur ‘France Inter’ en réponse à une question sur le sujet. Le ministre de l’Economie et des Finances a également laissé entendre que les postes de président du conseil d’administration et de directeur général pourraient être séparés. “Nous avons toujours eu comme doctrine avec le président de la République de séparer le poste de président du poste de directeur général. Je ne vois pas pourquoi cela ne serait pas le cas pour EDF”, a indiqué Bruno Le Maire.
En terme d’activité d’entreprise, EDF a indiqué avoir conclu un accord pour vendre sa participation dans la centrale CCGT de Sloe (870 MW) aux Pays-Bas. EDF détient et exploite 50% de la centrale, conjointement avec son partenaire Pzem. Cette transaction s’inscrit dans le cadre du programme de cession d’actifs d’EDF d’un montant de 3 milliards d’euros et la finalisation de la transaction est soumise aux autorisations réglementaires habituelles.
Hier soir après Bourse, le groupe français d’électricité a indiqué que dans le cadre du consortium avec Kepco et Kyushu Electric Power Co, les trois leaders mondiaux du secteur de l’énergie ont finalisé le financement d’un projet de transport d’électricité aux Emirats Arabes Unis aux côtés des entreprises émiriennes ADNOC (Abu Dhabi National Oil Company) et TAQA (Abu Dhabi National Electricity Company) pour un montant global de 3,8 milliards de dollars. Ce projet vise à construire et exploiter un système de transmission sous-marin haute tension en courant continu (HVDC-VSC), une première dans la région du Moyen-Orient et de l’Afrique. Le démarrage des travaux est prévu en 2022, tandis que l’exploitation commerciale est envisagée pour 2025.
Valeurs en baisse
* Technicolor Creative Studios (-4,53% à 1,86 euro). Technicolor, qui devient Vantiva (+0,6% à 1 euro), espérait sans doute mieux pour les débuts boursiers de TCS sur Euronext Paris. Technicolor a distribué 65% des actions du groupe spécialisé dans les arts visuels à ses actionnaires. TCS chute s’effondre par rapport au prix de référence technique fixé à 1,9539 euro. “Aujourd’hui est un jour historique, car un nouveau chapitre passionnant s’ouvre pour Technicolor Creative Studios. En tant que société indépendante, nous bénéficierons d’une plus grande flexibilité stratégique et financière pour étendre notre leadership et capitaliser sur des opportunités majeures d’un marché du contenu visuel en pleine croissance. Mon ambition est de construire la société d’arts visuels la plus performante au monde. Notre longue histoire en matière d’innovation et de créativité constitue notre socle pour bâtir l’avenir, et nous sommes convaincus que le succès de nos studios reposera sur nos investissements continus dans les technologies de pointe, les meilleurs talents mondiaux et sur nos relations pérennes avec les principaux studios et les plus grandes marques. En devenant une société indépendante, nous ouvrons un nouveau chapitre déterminant pour notre croissance et notre évolution”, commente Christian Roberton, Directeur général de TCS.
* Kering (-3,1% à 458,4 euros). Le groupe de luxe pâtit d’une dégradation de Barclays à ‘pondération en ligne’, avec un objectif coupé de 800 à 555 euros. Le courtier se dit surpris par “l’ampleur” de la faiblesse de Gucci en Chine.
* Largo (-4,07% à 5,65 euros). L’acteur français éco-responsable expert du reconditionnement a annoncé la signature de deux conventions associatives, Sea Shepherd France et Toit à moi. L’entreprise confirme une politique de responsabilité sociale et écologique engagée et de premier plan.
* MBWS (-2,49% à 2,35 euros). Le groupe a publié un Ebitda semestriel de 7,6 ME, en croissance de +27,2% pour des revenus de 86,4 ME, en hausse de 5,9% (hors effet change). La marge opérationnelle augmente de 140 pb à 8,8%. Les tendances évoquées lors de l’Assemblée Générale du 30 juin, à savoir les hausses des matières premières et de l’énergie ainsi que la disponibilité variable des productions des fournisseurs, se sont poursuivies au cours de l’été comme anticipé et semblent devoir persister sur les mois à venir, précise le management. Dans ce contexte, même si les efforts déployés dans le cadre du plan stratégique produisent leurs effets comme escompté, le groupe maintient sa position prudente pour les prévisions concernant l’activité commerciale pour la fin d’année 2022.
* Elior (-0,94% à 1,99 euros). Le groupe de restauration collective reste sous pression à la Bourse de Paris, au lendemain de son décrochage de -25,2% après plusieurs recommandations défavorables d’analystes. L’environnement inflationniste, la pénurie de main-d’oeuvre, la hausse des coûts et des taux d’intérêt incitent les investisseurs à la méfiance.
* Cabasse (-2,66% à 2,56 euros). Au 1er semestre 2022, le chiffre d’affaires du groupe s’est inscrit en repli de -9%, à 12,4 ME, rapport au 1er semestre 2021 qui constituait un effet de base très exigeant. Cabasse Group a enregistré un EBITDA semestriel de -0,6 ME, impacté par le recul du chiffre d’affaires, la hausse des coûts de transport sur la marge brute et l’évolution défavorable de la parité euro/dollar. Le résultat d’exploitation ressort à -1,4 ME. Le résultat net s’établit à -0,8 ME au 1er semestre 2022, en amélioration de +0,3 ME par rapport au 1er semestre 2021. Compte tenu des tensions tarifaires sur les prix d’achat et du niveau élevé des coûts du transport au 1er semestre 2022, l’ambition de tendre vers le niveau cible de 10% de marge d’Ebitda devrait plutôt être atteint en 2023 plutôt qu’au 2e semestre 2022.
* Elis (-0,28% à 10,61 euros). Après un décrochage de -8,8% sur les 5 dernières séances, Elis cède encore un peu de terrain. Moody’s a relevé la note de crédit long terme (CFR) du groupe de ‘Ba2’ à ‘Ba1’. La perspective associée passe de ‘positive’ à ‘stable’. L’agence de notation s’attend à une poursuite de la reprise sur le marché final de l’hôtellerie et se base sur les solides antécédents de la société en matière de compensation de l’inflation des coûts. Eric Kang, analyste senior chez Moody’s, explique : “Bien que nous nous attendions à ce que l’entreprise soit confrontée à des conditions de marché plus difficiles au cours des 12 à 18 prochains mois, Elis peut réduire ses coûts, ses dépenses d’investissement et ses dividendes, si nécessaire, pour limiter une détérioration de ses paramètres financiers et assurer une future génération de cash-flow libre positive”.
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