dimanche 11 septembre 2022
Posté par Cyrille Souche
Le grand projet, c’est un peu l’histoire de notre monde qui traverse une série de crises sans précédent. Nous n’avons jamais eu autant de connaissances et pourtant… nous sommes dans une impasse ! Avons-nous vu la situation sous tous les angles ? Sommes-nous noyés dans notre inconscience ? Avons-nous envisagé les meilleures options ? Le grand projet c’est notre histoire à tous et c’est aussi l’histoire de nos enfants. Oui nous pouvons dessiner notre futur. Découvrez le Grand projet de Mo.Ci.C.A., Mouvement pour une Civilisation Consciente et Autonome. pour passer d’un système d’échange monétaire à un système de partage équitable et ainsi résoudre les principaux enjeux mondiaux. …
Le Grand Projet est né du travail d’un groupe de réflexion qui cherche à mettre un terme aux dérives écologiques, économiques, sociales et humaines insoutenables que traverse notre société.
En établissant le constat, il apparaît clairement que l’argent (le système marchand) est à la base de toutes les inégalités sociales, la faim dans le monde, l’inaction climatique des gouvernements, la concentration des richesses qui atteint des sommets ainsi que de nombreuses autres dérives.
A ceux qui pensent que “Ce n’est pas l’argent le problème ! Ça n’est qu’un outil, il suffit de bien l’utiliser.”
Il est important de savoir que “L’argent n’est pas comparable à un outil, il n’est pas maitrisable, il oblige à faire des bénéfices, il nous confronte dans une guerre commerciale et engendre des inégalités”.
« Afin de résoudre les grands enjeux de notre société moderne, le MOCICA (Association loi 1901) présente le Grand Projet. Le Grand Projet est une proposition de système de partage au lieu du système d’échange.
Découvrez la plus formidable proposition de changement possible pour l’humanité et participez à la création d’un environnement meilleur, d’une gestion ajustée de nos ressources, d’une société plus juste et équitable.
Vous pourrez enfin vous sentir épanoui et en accord dans un monde libéré des contraintes de l’argent et basé sur l’entraide, la démocratie citoyenne et le partage des ressources disponibles.
À tous ceux qui souhaitent non pas un changement dans la société, mais un changement de société, découvrez comment votre choix d’aujourd’hui peut créer le monde de demain. Rejoignez le Grand Projet dès maintenant. »
Mo.Ci.C.A., Mouvement pour une Civilisation Consciente et Autonome.
Un monde sans argent.
Pourquoi ? Comment ? Découvrez les motivations et les 3 étapes du Projet MOCICA.
Dès qu’un nombre suffisant de personnes dans le monde aura rejoint le mouvement, nous déterminerons ensemble les modalités de fonctionnement et le jour de la transition.
Lorsque nous serons majoritaires, nous pourrons valider officiellement notre engagement au travers d’un consentement global qui permettra d’organiser la transition entre la société marchande et la société de partage.
Passé ce jour, chacun exercera sa vocation aux autres, sans utiliser d’argent. Les ressources seront partagées dans le respect de la planète et de ses habitants. Les efforts dans les secteurs qui ne trouvent pas de volontaires seront partagés également.
Enfin, la démocratie citoyenne prendra place au sein de l’organisation démocratique globale. (O.D.G.) Elle permettra à chacun de prendre part aux décisions qui le concernent. C’est-à-dire du niveau local (son quartier) jusqu’à l’échelon global (le monde).
Le Grand Projet propose un modèle de société qui permettrait de résoudre la majorité des problèmes actuels en supprimant l’argent.
L’argent est la cause de trop nombreuses dérives (Voir le Constat). Et, qu’elles soient écologiques, économiques, sociales ou humaines elles ne sont plus supportables. C’est pourquoi le Grand Projet du MOCICA propose de passer à un monde meilleur, sans argent. Découvrez ci-dessous le Grand Projet…
En premier lieu, voici les points clefs qui confortent l’idée qu’une organisation sans argent peut sauver le monde. En effet, ces dernières constituent la base du Grand Projet. Elles correspondent aux domaines : Environnement / Economie / Politique / Social / Humain. Enfin, vous trouverez de nombreuses réponses à vos questions dans : F.A.Q. et plus d’informations sur ces sujets dans : Dossiers.
En premier lieu, un système économique sans argent protège des crises financières, dépôts de bilan, licenciements, etc.
De plus, il permettrait une productivité qualitative, durable et nous libèrerait d’une énorme charge de travail.
En outre, sortir de la compétitivité et du bénéfice obligatoire facilitera la flexibilité, l’automatisation et la collaboration.
Enfin, sans frein financier, l’organisation sera plus libre, fluide et efficace.
Tout d’abord, des solutions environnementales existent. En revanche, les mécanismes du système financier freinent voir empêchent leur développement.
Pourtant, dans un monde sans argent, nous pourrons réduire l’activité humaine librement, sans répercussions économiques.
Ainsi, la fin de l’argent permettrait un changement de société de grande ampleur, tel que l’urgence climatique le nécessite.
Des systèmes d’organisation comme la sociocratie [1] montrent qu’une organisation comme l’O.D.G. est tout à fait apte à gérer la société entière.
Un monde sans argent permet une organisation de société harmonieuse, équilibrée, soudée et collaborative. En plus, il n’engendre pas d’arnaques, de trafics mafieux, de marchés nuisibles.
L’humain est un être sociable. Il tend fortement à réagir à son environnement, et est conditionné par des mécanismes réflexes à des stimulus. Comportementalisme [2] et Cognitivisme [3].
Dans un monde sans argent, il serait soulagé des nombreux troubles accompagnant l’usage de l’argent. (Voir “Vidéos”, partie “Sciences”
Avant tout, être utile aux autres est considéré comme un besoin fondamental (Abraham Maslow, Virginia Henderson, etc.). D’ailleurs, depuis toujours, nous cherchons à nous organiser car nous sommes interdépendants et devons répondre à nos besoins. De plus, dans un monde où l’argent n’existe pas, il n’est plus possible de payer pour obtenir quelque chose. C’est pourquoi chacun a intérêt à s’intégrer à la vie en société, à un niveau équivalent des autres (selon ses possibilités physiques et intellectuelles)
Tout d’abord, sans argent, nous n’avons plus à nous battre contre la concurrence pour attirer le client. Alors, chaque secteur (alimentation, santé, recherche, etc.) peut coopérer pour assurer son rôle pour les autres. De plus, pas d’obsolescence programmée, pas d’incitation à la consommation, pas de licenciements, pas de crises financières, etc.
De même, en contribuant gratuitement à la société, nous obtiendrions tous en contrepartie un retour différé, multiplié et généralisé.
Ainsi, nous ne travaillerons plus pour un salaire, mais par conscience d‘être acteur de la société qui en contrepartie, nous offre ce dont nous avons besoin.
Seule la liberté de choisir son secteur d’activité permet à chacun d’exercer sa vocation, de libérer sa créativité. Mais aussi d’être maître de ses conditions de travail, d’avancer dans la coopération et non la hiérarchie. De plus, choisir son activité, permet d’obtenir une satisfaction personnelle entière et d’évoluer dans une entente générale.
En outre, si certaines tâches ne créent pas d’engouement, nous pourrons en améliorer les conditions, sans restriction budgétaire et humaine comme aujourd’hui. Du confort aux horaires, en passant par l’automatisation et la répartition par une main d’œuvre gigantesque, notre potentiel humain et technique devrait pouvoir y répondre dans une satisfaction générale.
Pour finir, si un lieu de production est trop éloigné de la demande, sa relocalisation devrait se faire naturellement quand elle n’est plus motivée par une main d’œuvre bon marché.
Ceux qui auront la même vocation pourront former les pôles d’activités (alimentation, santé, recherche, éducation, etc.).
Quand l’automatisation n’est pas possible, ce principe permet de réduire équitablement l’effort à son minimum.
Utilisation et partage des ressources suivant le respect de la planète et de ses habitants.
Chaque citoyen peut prendre part aux décisions qui le concernent. Chaque assemblée est autonome.
Pour commencer, le recensement des ressources permettra la répartition équitable et le juste usage dans le respect de notre écosystème. Afin de ne pas prélever plus que ce que la planète peut produire, et éviter le gaspillage.
Ensuite, l’informatique permettra de gérer facilement les ressources, les besoins de chaque commune, région, nation. Il en est de même avec la répartition de l’activité commune pour un monde plus qualitatif que quantitatif.
Par ailleurs, dans une société du partage, il n’y a pas de concurrence commerciale. Ainsi, ceux qui partagent le même secteur d’activité sont libres de coopérer. La fin de la concurrence permettra l’organisation, la collaboration et l’évolution de chaque secteur d’activité.
De plus, l’un des plus grands avantages économiques sera sans doute la fin du gaspillage. En effet, avec la fin de la surconsommation de masse engendrée par le système marchand, il y aura une baisse très importante de la consommation des ressources.
D’autre part, la fin de l’obsolescence programmée permettra de générer beaucoup moins de déchets. Et la conception des objets sera repensée pour qu’ils soient recyclables, adaptables ou à longue durée de vie.
Enfin, le partage des ressources veillera à l’équilibre et l’équité globale.
Voici des exemples au travers d’un tableau.
Liste non exhaustive…
L’environnement dans le Grand Projet.
Premièrement, passer à une société du partage induit une baisse radicale de la pollution et de l’épuisement des ressources.
En effet, entre autres facteurs, on peut noter :
Or, ces facteurs sont autant de paramètres qui ont un fort impact climatique.
De plus, les centres de recherche, libérés de l’argent, pourront mutualiser les connaissances. En conséquence, cela permettra une évolution importante de tous les secteurs.
Pour finir, ils pourront concevoir des objets recyclables et/ou ayant une durée de vie qui n’a jusqu’alors jamais été atteinte. Sans compter que le tout sera distribué en circuits courts.
Liste non exhaustive…
Le Grand Projet propose l’O.D.G. : Organisation Démocratique Globale.
En premier lieu, elle s’organise suivant 5 niveaux de prise de décision (Quartier, Ville/Village, Zone de ressources, Culture/Nation, Monde).
Ensuite, cette organisation permet à chacun de prendre part aux décisions qui le concernent.
Enfin, elle permet de mettre en place les accords de communauté (ou règlements intérieurs) sans l’intermédiaire de dirigeants.
Les relations sociales dans le Grand Projet.
Pour commencer, dans une société sans argent, nous sommes libres de nous organiser en coopération.
De surcroît, la faim dans le monde pourrait être éradiquée rapidement et sans difficultés majeures. Nous assisterons également à la fin de nombreux comportements déviants de la société actuelle (les arnaques, les guerres motivées par les enjeux de pouvoir et financiers prendraient fin).
En plus, nous n’aurions plus à nous battre pour attirer le client et battre la concurrence.
Enfin, le chacun pour soi, qui devient de plus en plus pesant, céderait sa place à une organisation de groupe.
Si bien qu’elle serait un terrain beaucoup plus propice à la collaboration et l’esprit d’équipe.
Liste non exhaustive…
Dans ce nouveau système, l’individu sera libre de s’investir dans le ou les domaines de son choix. Ainsi, il pourra contribuer, avec plaisir et efficacité, au collectif qui subvient à l’ensemble de ses besoins.
En plus, il serait libéré du stress, de la pression hiérarchique et du chiffre. De ce fait, le choix de l’activité est le terrain propice à être créatif et qualitatif.
D’autre part, la finalité du système éducatif aura plusieurs objectifs. C’est-à-dire notamment, améliorer l’entraide, le partage, la coopération et l’intelligence collective.
Enfin, se libérer de l’argent permettra à certains comportements actuels (égocentrisme, individualisme, compétition) d’évoluer vers des comportements adaptés à cette nouvelle société.
Liste non exhaustive…
Tout d’abord, vous pourrez choisir de soutenir l’idée de ce nouveau système en adhérant au Grand Projet. Ensuite, vous pouvez devenir acteur de ce changement. Dans ce cas, vous participez avec les autres citoyens à la mise en place de cette nouvelle société. D’ailleurs, n’hésitez pas à rejoindre votre assemblée la plus proche sur l’application (réservé aux adhérents).
Deuxièmement, l’objectif de cette étape est de fédérer et de se retrouver toujours plus nombreux dans des assemblées locales. À propos, les assemblées peuvent être citoyennes ou thématiques lorsqu’elles représentent une entreprise ou un secteur d’activité (agriculture, enseignement, santé, recherche etc.).
En somme, les objectifs des assemblées sont :
En effet, présenter et discuter de cette nouvelle société avec son réseau est essentiel. C’est pour cela qu’il est important de répondre aux objections. En effet, concevoir un monde sans argent est difficile à la 1ère discussion. En revanche, il est important de ne pas imposer son choix à son interlocuteur. Enfin, il faut rendre viral le sujet car la situation nécessite un grand changement.
De surcroît, toutes les actions vers l’autonomie et la gratuité sont les bienvenues. Par contre, il sera probablement difficile de créer le changement avant de sortir de ce système. À cause de notre actuel manque de temps, d’énergie, de moyens, et tout simplement de liberté. Ce qui est d’autant plus le cas dans des pays pauvres ou particulièrement asservis.
Enfin, nous ne devrons pas réorganiser la société pour sortir du système, mais bien sortir du système pour la réorganiser.
Par la suite, avec le rassemblement massif et l’O.D.G. structurée, nous pourrons décider de notre organisation future. En outre, nous pourrons anticiper la sortie du système monétaire.
Enfin, nous pourrons décider ensemble du moment adéquat pour la transition, qui pourrait se faire simultanément au niveau mondial après référendum.
Il reste envisageable, en fonction de l’évolution du Projet et de la conjoncture mondiale, que cela commence d’abord par un niveau géographique suffisamment vaste, comme un continent par exemple.
Tout d’abord, cette étape sera probablement courte, de l’ordre de quelques jours à quelques semaines. De plus, elle peut être facultative suivant ce qui a été décidé lors de la phase de préparation.
D’autre part, le jour J, nous proposons à chacun de continuer son activité habituelle sans utiliser d’argent et sans contrepartie.
Par exemple, les professionnels des activités de la finance et administratives pourront venir en soutien à d’autres secteurs ou mettre en place de nouveaux réseaux. Ensuite, les logements vides pourront s’ouvrir aux sans-abris, etc.
Le Grand Projet est une action pacifiste dont la proposition universelle est équitable pour chaque citoyen du monde.
Ensuite, il dépend uniquement du choix de l’humanité et non de la volonté de ses dirigeants.
En plus, le Grand Projet ne nécessite aucun préalable structurel, ni coût financier.
Enfin, il permet une réponse rapide et adéquate en cas d’effondrement économique.
Par ailleurs, le Grand Projet du MOCICA peut sembler vague et comporter une grande part d’inconnu. En effet, c’est le cas. Puisque l’inconnu est invariablement lié au changement de paradigme. Effectivement, nous ne pouvons exiger le second sans plonger dans le premier.
De plus, nous ne pouvons pas non plus, d’un côté proposer un système où les potentiels humains peuvent s’exprimer librement, et de l’autre imposer un cadre précis et formel.
En revanche, il est néanmoins possible d’établir les lignes et principes nécessaires à une véritable logistique.
De même qu’à la mise en place d’un nouveau modèle qui apporte liberté, sécurité, équité et protection de l’environnement.
C’est en effet ce à quoi nous espérons modestement répondre ici.
En conclusion, il est toujours temps de changer de direction. En effet, chaque crise est une opportunité pour changer de cap. Enfin, nous avons des capacités technologiques et intellectuelles sans précédent. Ainsi, nous pourrons rééquilibrer la situation, par un modèle de vie en harmonie avec la planète et les ressources disponibles.
L’équipe MOCICA.
– Rejoindre le Grand Projet
Prenons l’exemple de deux des enjeux majeurs de l’humanité :
Le dérèglement climatique :
La puissance de ces leviers d’action garantit que les résultats seront largement supérieurs à ceux de tous les dossiers (financiers) liés à la lutte contre le dérèglement climatique.
Le problème de l’énergie (la fin des énergies fossiles) :
« En premier lieu, nous sommes des citoyens ordinaires et nous n’appartenons à aucun parti politique.
En outre, nous pensons que l’argent est inutile, voire contraire à un monde meilleur.
De plus, une société de partage mettrait fin à nos problèmes les plus profonds, de notre vie quotidienne jusqu’à la préservation de la Planète.
Cela en engendrerait-il de nouveaux ? Certainement pas.
Pour le MOCICA, nous n’y voyons que des solutions ».
“Dans une situation de crise je m’impose 2 règles :
Premièrement, analyser toutes les options.
Ensuite, n’en écarter aucune en me basant sur des a priori.
Pourtant, de toutes, supprimer l’argent me paraissait la plus folle au début, et la plus incontournable au final.
En fait, ma démarche n’était pas de trouver une porte de sortie.
Mais l’analyse approfondie de cette option faisait apparaître un plan d’action à la hauteur, selon moi, de tous les enjeux de notre époque.”
Jean Philippe HUBER, Fondateur du MOCICA.
“D’abord, je ne sais pas comment dire que ce projet tombe sous le sens. En effet, se libérer des dérives de l’argent, du poids mental qu’il représente et résoudre de nombreux problèmes de la société actuelle, juste en adhérant au projet… En fait, il y a bien longtemps que je n’en ai pas eu autant pour si peu.
De surcroît, une fois évacuées les questions qui semblent bloquer le chemin d’un monde sans argent, on découvre un univers riche de nouvelles possibilités, pour le bien être de tous.
Pour terminer, contribuer à la co-création est fort stimulant.”
Hugo, Co-organisateur.
“D’abord quand mon frère JP m’a parlé de son projet Mocica, il n’a pas eu besoin d’argumenter. En fait, j’étais tout de suite d’accord, ça m’est apparu comme une évidence ! Et ça tombait bien, car en plus il avait besoin d’un informaticien.”
Jean Baptiste, Webmaster.
“Ce projet m’a redonné espoir. J’ai la certitude absolue qu’ensemble nous pourrions changer, cesser d’être les esclaves d’un système écrasant. Maintenant je vois la lumière dans un tunnel qui était auparavant sombre.”
Stéphanie, Traductrice.
“La relation marchande tout d’abord, quelles que soient ses modalités (utilisation d’une monnaie, troc, système d’échange local, jardin d’échange universel, etc.), a inévitablement un effet délétère sur la justesse de ce que je donne et reçois.
Inappropriée à la santé du vivant et en plus, basée sur le chantage et le mérite pour vivre, elle est manifestement rabat-joie !
Construction humaine, elle est interrogeable et révocable.
En conclusion, je contribue au MOCICA, pour remédier à cette calamité.”
Sonia, Relations membres.
“Dès cette crise du COVID, beaucoup de personnes (y compris Emmanuel Macron, à sa manière) se sont mises à parler du “Monde d’Après”. Quelques vidéos TedX plus tard, arrivent deux vidéos de Jean-Philippe Huber. J’ai d’abord été sensible à sa conviction, aux arguments qu’il avançait de façon très posée, avec humilité et humanisme.
J’ai donc lu, écouté et regardé tout ce qui se trouve sur le site du MOCICA. En fait, cela correspondait complètement à la façon dont j’imaginais le monde sans argent. À la suite de quoi j’ai adhéré sans hésiter. C’est la raison pour laquelle à ma mesure, je fais de mon mieux pour contribuer à accélérer le mouvement vers une civilisation post monétaire.”
Laurent, Communication.
“Lorsque l’on discute entre amis et que l’on refait le monde, l’un des sujets récurrents est l’argent. Et bien souvent on en vient à la conclusion que c’est la source de presque tous les problèmes de notre société. En lisant ce projet j’ai pu apercevoir à quel point ce serait simple de s’en passer et de devenir ainsi de meilleurs êtres humains.”
Alexandre, Acteur du changement.
“Il me semble que nous sommes à une période charnière de l’histoire de l’humanité : la crise est globale, elle se situe à tous niveaux. Ce qui me touche personnellement, c’est la destruction du Vivant. Le mot “crise”, en chinois, est composé de deux caractères qui signifient respectivement “danger” et “opportunité”. Avec le MOCICA, nous pouvons, tous ensemble, saisir cette opportunité de changer radicalement de système : passer d’un système délétère où on ne pose finalement que des rustines sur les problèmes, à un système sain et harmonieux où la racine de ces mêmes problèmes est éliminée. C’est la raison pour laquelle j’adhère et œuvre pour ce mouvement.”
Sophia, Relations membres.
“Pour commencer, l’idée est présente depuis mon plus jeune âge ! En fait, mes parents étaient déjà convaincus qu’une organisation collective non monétaire, était l’avenir de notre société mondiale. Jusqu’alors j’en étais à attendre ce monde. De ce fait, depuis un an maintenant, j’agis en « éduquant » sur les problèmes du système actuel et la solution que représente une économie non monétaire. L’objectif pour moi, est en fait que la transition se fasse en connaissance de cause aux yeux de tous, que l’on soit
Gianni, Communication.
“Pour commencer, j’ai compris très vite que le problème de ce monde n’était pas tant un problème de personne qu’un problème de système.
En fait, les gens changent, le système reste. Il faut le réinitialiser. L’argent n’incite pas à la corruption, en effet, l’argent est la corruption.”
Didier, Consultant communication.
Le MOCICA (Association loi 1901) propose un projet de transition vers une société du partage (un monde sans argent.). En somme, notre groupe de réflexion a pour mission d’éclairer le débat public sur la transition mondiale. Ceci en effet, au travers de sujets majeurs tels que l’environnement, l’économie, l’humain, la société et son organisation.
Notre action s’organise de ce fait autour de 3 axes :
[1] La sociocratie est un mode de gouvernance partagée qui permet à une organisation, quelle que soit sa taille, de fonctionner efficacement selon un mode auto-organisé caractérisé par des prises de décision distribuées sur l’ensemble de la structure. Son fondement moderne est issu des théories systémiques et date de 1970. La sociocratie s’appuie sur la liberté et la co-responsabilisation des acteurs. Dans une logique d’auto-organisation faisant confiance à l’humain, elle va mettre le pouvoir de l’intelligence collective au service du succès d’objectifs communs.
[2] Le comportementalisme, est un paradigme de la psychologie scientifique selon lequel le comportement observable1 est essentiellement conditionné soit par les mécanismes de réponse réflexe à un stimulus donné, soit par l’histoire des interactions de l’individu avec son environnement, notamment les punitions et renforcements par le passé. L’approche béhavioriste vise à mettre au jour des relations statistiquement significatives entre les variables de l’environnement et les mesures du comportement étudié sans faire appel au psychisme comme mécanisme explicatif
[3] Le cognitivisme est le courant de recherche scientifique endossant l’hypothèse selon laquelle la pensée est analogue à un processus de traitement de l’information, cadre théorique qui s’est opposé, dans les années 1950, au comportementalisme sur certaines questions mais sont tout à fait compatibles l’une et l’autre.
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