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Le Premier ministre israélien désigné Benjamin Netanyahu a annoncé tard mercredi soir être en mesure de former le prochain gouvernement avec ses partenaires des partis ultra-orthodoxes et d’extrême droite. Son annonce intervient à quelques minutes d’une échéance clé.
Vainqueur avec ses alliés des élections législatives du 1er novembre, M. Netanyahu avait jusqu’à 23h59 (22h59 en Suisse) mercredi pour annoncer au président Isaac Herzog qu’il avait “réussi” à former le prochain gouvernement, succédant ainsi au Premier ministre sortant Yaïr Lapid.
“Je l’ai”, a tweeté en hébreu M. Netanyahu quelques minutes avant cette échéance, pour annoncer la formation du prochain gouvernement. La présidence israélienne a de son côté confirmé à l’AFP que M. Netanyahu avait “appelé” M. Herzog “pour l’informer” de cette nouvelle dans les délais.
“Cher Président, grâce à l’énorme soutien public que nous avons reçu lors des dernières élections, je vous informe que j’ai pu former un gouvernement qui agira dans l’intérêt de tous les citoyens d’Israël”, a ajouté M. Netanyahu dans un communiqué.
Dans la foulée des élections et en vertu des règles israéliennes, M. Netanyahu avait jusqu’au 11 décembre pour annoncer son gouvernement, mais il avait demandé une prolongation de 14 jours, le maximum prévu par la loi.
Or le président Herzog ne lui avait octroyé que dix jours supplémentaires et la presse israélienne s’attendait à une annonce en journée et ce, même si la composition précise du prochain gouvernement n’était pas encore totalement ficelée.
Les partenaires sont toutefois connus, dans ce qui devrait être, selon les analystes, le gouvernement le plus à droite de l’histoire d’Israël: les deux partis ultra orthodoxes Shass et Judaïsme unifié de la Torah (UJT) ainsi que les trois formations d’extrême droite “Sionisme religieux” de Bezalel Smotrich, Force juive d’Itamar Ben Gvir et Noam d’Avi Maoz.
Au cours des dernières semaines, le parti de M. Netanyahu, le Likoud, a signé des ententes avec les partis d’extrême droite prévoyant une répartition de certains postes comme celui de ministre de la Sécurité nationale à Itamar Ben Gvir, la responsabilité des colonies en Cisjordanie occupée à Bezalel Smotrich, ou un portefeuille à Arié Dery, leader de Shass.
Cependant, les députés israéliens doivent encore voter en seconde et troisième lecture des projets de loi pour permettre à M. Dery d’occuper un poste de ministre après avoir été reconnu coupable de fraude fiscale et à M. Ben Gvir d’étendre ses futurs pouvoirs de ministre sur la police israélienne.
La procureure générale d’Israël, Gali Baharav-Miara, a averti la semaine dernière que des projets de loi du futur gouvernement menaçaient de faire d’Israël une “démocratie qui en a le nom, mais pas l’essence”.
“La politisation des forces de l’ordre portera un coup sérieux aux principes les plus fondamentaux de l’Etat de droit, c’est-à-dire l’égalité, l’absence d’arbitraire et l’impartialité”, a-t-elle ajouté, précisant que “le blitz législatif” actuel pourrait mener à des changements “profonds” et nécessitait “plus de discussions”.
Plus pérenne des chefs de gouvernement de l’histoire d’Israël avec 15 ans dans la fonction (1996 à 1999 et de 2009 à 2021) et donc habitué à former des coalitions, Benjamin Netanyahu doit aussi distribuer les portefeuilles ministériels au sein de sa propre formation.
Avant l’investiture du prochain gouvernement, annoncée le “plus tôt possible” par M. Netanyahu, soit la semaine prochaine ou début janvier selon les analystes, le Premier ministre désigné et ses alliés pourraient tenter de faire adopter ces projets de loi par la Knesset, le Parlement.
M. Netanyahu a en outre annoncer la distribution des postes de ministres au sein de son propre camp, ce qui n’est pas une mince affaire car “il y a plus de demandes de députés du Likoud pour des portefeuilles importants que de postes disponibles à la suite des accords avec les autres partenaires de la coalition”, notait mercredi le quotidien de centre-droit Maariv.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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Le leader mondial des cryptomonnaies Binance pourrait-il s’effondrer à l’instar de la bourse d’échange américaine FTX? Une défaillance risquerait d’être fatale au marché, selon des experts.
Déjà entamée par la chute des cours du bitcoin et consorts, la confiance dans le potentiel des cryptoactifs est au plus bas depuis la chute de FTX, devenu insolvable en novembre.
Pour le géant Binance, qui avait annoncé un rachat de la plateforme avant de renoncer, cette inquiétude a provoqué un bond des retraits la semaine dernière, jusqu’à 6 milliards de dollars en trois jours à peine.
Le cabinet d’audit Mazars qui devait livrer une “preuve des réserves” du site a brusquement arrêté ce type de rapport avec l’ensemble des entreprises de cryptomonnaies, en raison d’une “incompréhension publique”: ce document ne donne notamment aucune information sur le passif (les dettes).
Enfin, des médias affirment que les procureurs américains enquêtent toujours sur des accusations de blanchiment d’argent et des violations de sanctions internationales envers la société et son charismatique patron Changpeng Zhao, surnommé “CZ”.
“Il est absolument vital que Binance survive. Une disparition serait un coup dévastateur pour la crypto et entraînerait probablement une grande partie du secteur dans sa chute”, a affirmé Dan Ashmore, analyste chez Invezz, une société d’investissement spécialisé.
Ce serait l'”Armageddon”, le rejoint l’investisseur Leigh Drogen, dirigeant du fond Starkiller Capital.
Les apparitions publiques de CZ n’ont pour le moment guère réussi à calmer la nervosité ambiante.
Interrogé sur la chaîne CNBC, le multi-milliardaire sino-canadien a récemment affirmé avoir “oublié” une partie importante d’un paiement de 2,1 milliards de dollars reçu l’année dernière de FTX, sous forme de “jetons” désormais sans valeur. Et le remboursement de cette somme est susceptible d’être demandé par les liquidateurs.
“Est-ce que le fait d’oublier plus d’un demi-milliard de dollars est censé me rendre plus confiant dans la capacité de Binance à gérer correctement une bourse d’échange ?”, a écrit Genevieve Roch-Decter de Grit Capital, dans une tribune pour le site d’actualités cryptographiques Coindesk.
Le fonctionnement de la plateforme, dont on ignore la localisation du siège social, et le rôle réel joué par son patron, hyper-actif sur Twitter, restent de plus opaques.
“Qui est à la manoeuvre ? Est-ce la même chose que FTX ?”, dont l’ancien dirigeant de 30 ans, Sam Bankman-Fried, est désormais inculpé de fraude et de détournement de fonds par un procureur aux Etats-Unis, s’interroge Leigh Drogen.
“Nous sommes favorables à une transparence accrue et nous étudions la meilleure façon de la fournir dans les mois à venir”, a déclaré à l’AFP un porte-parole de Binance, interrogé sur la structure de l’entreprise.
“Bien qu’il y ait des parallèles évidents avec FTX, les différences sont nombreuses, la plus notable étant que Binance ne possède pas un fond spéculatif géant”, nuance Charlie Erith, dirigeant du fonds ByteTree.
La plupart des accusations contre FTX reposent sur l’utilisation présumée par la plateforme des fonds des clients pour les paris risqués du fonds Alameda Research.
Binance dispose également d’environ 10 fois plus de dépôts que FTX avant la faillite, ce qui lui donne plus de marge pour absorber une hausse soudaine des retraits.
Pour Leigh Drogen, les fonds de capital-risque exposés aux cryptomonnaies ont pour l’instant besoin de Binance, et de ses multiples services financiers, pour assurer leurs positions.
Mais à plus long terme, le gouvernement américain pourrait estimer qu’aucun acteur dans la crypto “n’est trop gros pour faire faillite”, affirme l’analyste.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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Fanny Smith (30 ans) est à nouveau monté sur le podium lors de la deuxième course à Innichen. La Vaudoise, 2e mercredi, a cette fois terminé 3e malgré une chute.
Smith semblait devoir finir à nouveau juste derrière la Suédoise Sandra Näslund, qui a poursuivi son incroyable série en signant un 13e succès consécutif en Coupe du monde, le 33e au total. Mais la Suissesse a commis une petite erreur qui lui a fait perdre de la vitesse.
Elle est alors entrée en collision avec l’Autrichienne Sonja Gigler et toutes deux ont chuté, avant de se relever et de passer la ligne d’arrivée. Fanny Smith l’a fait avant sa rivale, mais elles ont toutes deux été classées au 3e rang ex-aequo, n’ayant pas correctement franchi toutes les portes. L’Autrichienne Andrea Limbacher a ainsi hérité de la 2e place.
La Vaudoise a semblé avoir été touchée au bras gauche durant sa chute. Deux autres Suissesses se sont mises en évidence. Sixtine Cousin a terminé 5e juste devant Talina Gantenbein.
Côté masculin, aucun Suisse n’a réussi à se qualifier pour la finale. Marc Bischofberger et Joos Berry ont respectivement fini 5e et 6e.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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L’Argentine a progressé au 2e rang du classement FIFA après son titre mondial au Qatar. Le Brésil, malgré son élimination en quarts de finale, reste en tête alors que la Suisse est 12e.
Les partenaires de Lionel Messi ont gagné un place dans le classement, comme la France de Kylian Mbappé, désormais sur la troisième marche du podium. Les deux nations finalistes sont passées devant la Belgique (4e), éliminée dès la phase de groupes. Le Brésil se maintient au premier rang qu’il occupe depuis le 31 mars.
La plus belle remontée du top 10 mondial est à l’actif de la Croatie, qui passe du 12e au 7e rang après sa troisième place au Qatar. Surprise du tournoi, le Maroc gagne onze places et figure au 11e rang, comme première nation africaine, juste devant l’équipe de Suisse. Celle-ci a gagné trois rangs par rapport au dernier classement.
Parfois décrié pour son mode de calcul, le classement FIFA est utilisé pour définir les têtes de série des grandes compétitions. L’Allemagne, 12e avant le tirage au sort du Mondial au Qatar, avait par exemple été reversée dans le chapeau no 2 et n’avait pu éviter l’Espagne en poule.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Le Kremlin a estimé jeudi que la visite du président ukrainien Volodymyr Zelensky aux Etats-Unis n’a illustré aucune “volonté d’écouter la Russie”. Il estime également que Washington mène en Ukraine “de facto une guerre indirecte” contre Moscou.
“Jusqu’à présent, nous pouvons constater avec regret que ni le président (américain) Joe Biden ni le président Zelensky n’ont dit quoi que ce soit qui puisse être perçu comme une volonté potentielle d’écouter les préoccupations de la Russie”, a déclaré aux journalistes le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.
Selon M. Peskov, il n’y a pas eu lors de cette visite “de véritables appels à la paix” ou de “mises en garde” américaines à M. Zelensky contre “la poursuite du bombardement des immeubles résidentiels dans les zones peuplées du Donbass”, région de l’est de l’Ukraine en partie contrôlée par des séparatistes prorusses et régulièrement visée par les forces ukrainiennes.
“Cela montre que les Etats-Unis poursuivent leur ligne de guerre de facto et indirecte avec la Russie, jusqu’au dernier Ukrainien”, a ajouté le porte-parole du Kremlin.
Volodymyr Zelensky s’est rendu mercredi à Washington pour son premier voyage à l’étranger depuis le début de l’offensive russe en Ukraine en février.
Il a reçu lors de cette visite de nouvelles promesses d’aide financière et militaire, dont, pour la première fois, la fourniture du système de défense anti-aérienne Patriot.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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Le produit intérieur brut (PIB) britannique a reculé de 0,3% au troisième trimestre, un chiffre révisé en légère hausse après une première estimation qui faisait état d’un recul de 0,2%, a annoncé l’Office national des statistiques (ONS) britannique jeudi.
Les nouvelles données “montrent que l’économie a légèrement moins bien fonctionné au cours de l’année écoulée que ce que nous avions estimé”, pénalisée notamment par l’industrie manufacturière et la production d’électricité, a noté sur Twitter Darren Morgan, directeur des statistiques économiques de l’ONS.
La croissance en début d’année a elle aussi été révisée légèrement à la baisse et le niveau du PIB britannique n’a toujours pas retrouvé son niveau pré-pandémie, selon l’ONS. Le retard est désormais estimé à 0,8% au troisième trimestre (davantage que la précédente estimation de -0,4%).
“Les revenus des ménages ont continué de baisser en termes réels”, c’est-à-dire ajusté après les hausses de prix, au cours du troisième trimestre “bien qu’à un rythme plus lent” qu’en début d’année, a noté M. Morgan.
L’économie britannique est plombée par une inflation qui frôle 11%, tirée notamment par l’envolée des prix de l’énergie dans la foulée de la guerre en Ukraine, et cause une sévère crise du coût de la vie dans le pays, poussant les Britanniques à rogner sur leurs dépenses.
“Le Royaume-Uni est la seule économie du G7 dans laquelle le PIB du troisième trimestre est toujours inférieur à son niveau d’avant Covid”, relève Gabriella Dickens, économiste à Pantheon Macro, reflétant en grande partie selon elle la faiblesse des dépenses des ménages.
Ces faibles dépenses s’expliquent par “la reprise relativement modérée de l’emploi, des hausses de prix plus importantes et le fait que les ménages britanniques ont moins réduit leur taux d’épargne” qu’ailleurs dans le monde, poursuit l’analyste.
Selon de nombreuses prévisions, notamment de la Banque d’Angleterre, le pays est déjà entré dans une récession qui se prolongera en 2023, voire au-delà – d’après l’une des définitions techniques classiques, il faut deux trimestres consécutifs de recul pour parler de récession.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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