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Barton Hartshorn en acoustique – Rolling Stone Magazine

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Découvrez une nouvelle version acoustique du titre « In a house overlooking the sea » du musicien folk britannique Barton Hartshorn.

Barton Hartshorn n’oublie pas son public pendant les fêtes et dévoile le titre « In a house overlooking the sea » en version acoustique, accompagné par la violoniste Melissa Cox. Découvrez-le via le player ci-dessous :

Ce titre est présent dans Manchester Sun, nouvel album de l’artiste britannique, empreint de folk rock pur et accrocheur. Barton Hartshorn y enregistre d’ailleurs la plupart des instruments : guitares, basse, batterie, percussions et même orgue Hammond. Il explique cette versatilité au cours d’une interview accordée à Rolling Stone : . “A 16 ans, on se partageait nos instruments, c’est comme ça que je suis devenu multi-instrumentiste. » déclare-t-il simplement. « C’est très anglais de procéder ainsi » précise-t-il.
Manchester Sun comprend également « Starter Kiss« , premier single du disque, dans lequel il décrit les sensations liées au « premier baiser » et l’aspect inattendu qui l’accompagne. On y retrouve également « Semaphore Signal », disponible en version acoustique exclusive sur Rolling Stone.

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Ce nouvel album arrive un an après Not What I Expected To Hope For, sorti en 2021.
Retrouvez notre chronique de Manchester Sun de Barton Hartshorn et bien d’autres dans notre numéro 146, disponible sur notre boutique en ligne.
Manchester Sun est disponible
Voici la tracklist :

  1. Starter Kiss
  2. Semaphore Signal
  3. Georgetown
  4. Driving Rain
  5. Commonology
  6. In A House Overlooking The Sea
  7. No Western
  8. Dragon Gone Fly
  9. Louise On A Bridge
  10. Long May The Clouds Reign Over Us

Mathieu David

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Angus Young, le guitariste d’AC/DC évoque l’arrivée d’Axl Rose, le départ de Brian Johnson, l’absence de son frère Malcolm, et nous annonce que la dernière tournée pour bien être… la dernière

Axl Rose est du genre à n’en faire qu’à sa tête. Avez-vous dû lui expliquer que, chez AC/DC, il faut arriver à l’heure ? 
Angus Young – Axl a été très bien. Il se prépare dans son coin, prêt à y aller. On s’assoit et on discute le bout de gras, on définit les chansons qu’on veut jouer avant de se lancer. Cela doit être fun pour lui comme pour nous. Au début, il était confiné (à cause d’une blessure au pied) dans ce fauteuil qu’il avait emprunté à Dave Grohl. Mais dès qu’il a pu, il en est sorti pour bouger.
Comment Axl en est venu à supplanter Brian ?
Un type qui bosse dans la production et qui a travaillé pour nous a dit à Axl : « Je connais ces types-là, ils ont une éthique de travail. Ils veulent honorer leurs dates ». Et Axl s’est porté volontaire. Il est venu à Atlanta, où l’on répétait, et il a fait ses devoirs. Il avait quelques chansons, comme « Touch Too Much », et nous a demandé si on savait la jouer! Et en fait, on ne l’avait jamais apprise parce qu’on n’avait jamais essayé de la jouer en live.

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Axl sonne-t-il plutôt comme Brian ou comme le regretté Bon Scott ?
Il est plus dans le style de Bon, très rock’n’roll dans la personnalité. Il a aussi son propre humour, assez primaire. En fait, il peut attaquer une chanson de Bon, et, l’instant d’après, faire du Brian, dans un registre plus haut.

« Je me verrais bien me poser avec Keith Richards »

« Je me verrais bien me poser avec Keith Richards »
Brian souffrait-il déjà de problème d’audition avant la tournée ?
Il en souffrait déjà quand on répétait pour Coachella (en 2015). Il avait eu des problèmes à une oreille après un accident de voiture, puis sa bonne oreille s’est très vite abîmée. Ensuite, il est allé voir un spécialiste en Australie A chaque concert, il devait la faire ausculter et traiter. Mais c’est devenu trop dur pour lui.

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Pensez-vous que la décision de Cliff Williams est liée au départ de Brian ?
Cliff a fait savoir qu’il voulait se retirer avant la tournée. Il est dans le groupe depuis 1977. Lui et Brian sont de la même tranche d’âge, ils aimaient sortir, faire la tournée des pubs. Ça les liait.
Tourner sans Malcolm à la guitare, ça vous fait quoi? Votre neveu Stevie comble-t-il le manque à vos yeux ?
Parfois, j’y regarde à deux fois. J’entends un son derrière moi et je me dis : « Ca sonne tellement comme Malcolm… » Quand Stevie était plus jeune, il s’était focalisé à fond sur ce que faisait Malcolm. Ca a l’air simple, mais c’est tout le contraire. Il faut être solide, sûr de soi.
Le jeu de guitare de Malcolm était à son image, franc et déterminé.

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Oui. En studio, je bidouillais des sons de guitare, de manière à bien taper dans le mille (rires) ! Puis Malcolm me montrait un bon gros son, et là, ouah!
Vous demandez-vous aujourd’hui s’il n’aurait pas fallu arrêter plus tôt? Si vous n’avez pas poussé le groupe trop loin ?
C’est bien possible. Mais Malcolm était toujours près à se battre. Il me disait parfois, dans les moments de crise : « On va s’y mettre, allons bosser un peu. On va écrire quelques chansons. » Il avait cette force et je me suis senti obligé de continuer peut-être parce que j’étais là depuis le début avec lui.
Et vous, quel sera votre avenir ?  Vous n’avez jamais joué dans un autre groupe…
C’est vrai. Pour l’instant, je n’en sais rien. On s’était engagés à finir la tournée, qui sait dans quel état d’esprit je serai après ça? Quand tu signes quelque chose en disant « je vais faire ci et ça », il est toujours bon de pouvoir dire en bout de course : « J’ai fait tout ce que j’ai dit que je ferais. » Ca a toujours été l’idée de base, encore plus quand on était jeunes, avec Bon et Malcolm. Il fallait se pointer à l’heure : on jouait dans un pub l’après-midi, puis le soir on était dans un autre club. On avait intégré le principe : « Si tu ne joues pas tu ne manges pas ».

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Avec qui d’autre rêvez-vous de jouer ? 
Disons qu’il faudrait en réveiller un paquet parmi les morts (rires) ! Je me verrais bien me poser avec Keith Richards. C’est un type de rythmique, comme Malcolm.

Par David Fricke. Traduction et adaptation de Xavier Bonnet
Site officiel d’AC/DC

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En trois soirées d’une densité stupéfiante, le festival Iceland Airwaves de Reykjavik aura montré toute l’étendue de sa richesse et de sa vitalité.

Comme beaucoup de festivals et de manifestations culturelles régulières au sens large, Iceland Airwaves a failli ne pas survivre aux multiples épisodes Covid-confinement, manquant ainsi de rayer de la carte une événement vieux de vingt ans. L’édition 2022 a beau avoir décidé de réduire la voilure, limitant la présence de cadors d’envergure internationales à sa plus simple expression (Metronomy), là où il n’était pas rare, jadis, que Björk ou Kraftwerk viennent… y passer une tête.
Une édition également ramassée dans le temps : trois soirs et pas un de plus pour la programmation officielle, déclinés en quelque six lieux de capacité moyenne : des bars ou clubs majeurs pour le Reykjavik nocturne où hipsters et une certaine élite culturelle locaux ont à leur tour élu pour refuge (Hurra, Gaukurinn) les couloirs plus bétonnés du Musée des Arts, un ancien cinéma datant du début du XXe siècle qui n’hésite pas à “vendre” son complexe voisin Petersen Suitan et son rooftop en guise d’attraction fatale aux heures et jours de l’année qui s’y prêtent (Gamla Bio), une église luthérienne à peine plus jeune (Frikirkjan), tout comme cet autre ancien théâtre devenu salle et café au bord du Tjörnin, le lac qui paraît comme “planté” au beau milieu de la capitale islandaise (Idno).

Metronomy

Yael BC

Yael BC
Une édition plus ramassée donc, avec, au total, la bagatelle de 80 groupes ou artistes solo, mais l’occasion d’observer au plus près l’état de santé de la scène locale. Certes, la programmation internationale n’a pas été complètement laissée de côté, à l’instar, dès le premier soir, d’un set incandescent des Australiens d’Amyl & the Sniffers, en droite ligne de ce qu’ils avaient pu montrer il y a quelques mois en ouverture de la triple affiche Green Day-Weezer-Fall Out Boy à Paris. Le lendemain, Metronomy sera, de son côté, tout aussi fidèle à son habitude de mettre le feu partout où il passe – et surtout de faire danser un parterre qui ne demandait que ça.
Le troisième, ce sont les chaloupes délicieusement groovy d’Arlo Parks qui feront un tant soit peu suinter l’Art Museum. Ce sont néanmoins désormais les pérégrinations de Nation of Language, trio de Brooklyn, que l’on suivra de près après un set aux tonalités synth-pop qui aura tout de suite pris plus de corps dès que son chanteur aura attrapé une guitare rythmique. La représentation… luxembourgeoise aura pris soin de placer trois de ses groupes, entre l’indie-pop minimaliste de Klein, les consonances plus pop-rock de Tuys et les plus “énervés” du lot, Francis of Delirium via un indie-rock dont l’influence “seatllienne” remonte parfois à la surface, même s’il n’oublie pas toutefois de rester mélodique, notamment grâce à la voix de sa chanteuse-guitariste Jana Barish désormais domiciliée à Vancouver. On citera encore les Irlandais de Thumper déjà vus à Europavox à Vilnius, toujours aussi haletants, la New-Yorkaise d’origine pakistanaise Aroof Aftab aussi étonnante qu’inclassable (jazz ? néosoufisme ?).

Nation Of Language

Florian Trykowski

Florian Trykowski
Xavier Bonnet
Retrouvez ce live report complet du festival Iceland Airwaves dans notre numéro 148, disponible en kiosque et sur notre boutique en ligne.

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Julia Holcomb affirme que Steven Tyler, le chanteur d’Aerosmith, a eu une relation sexuelle avec elle au milieu des années 1970, alors qu’elle avait 16 ans.

Une femme qui affirme avoir eu une relation illicite avec Steven Tyler dans les années 1970, alors qu’elle était mineure, a intenté un procès au chanteur d’Aerosmith, l’accusant d’agression sexuelle et d’infliction intentionnelle de détresse émotionnelle. La plainte a été déposée à la suite d’une loi californienne qui a temporairement supprimé les délais de prescription pour les allégations d’abus sexuels dans l’enfance.
Dans la plainte déposée à Los Angeles et obtenue par Rolling Stone, la plaignante Julia Holcomb affirme que Tyler a convaincu la mère de Holcomb de lui accorder la tutelle sur elle lorsqu’elle avait 16 ans, ce qui lui a permis de vivre avec lui et d’avoir des relations sexuelles. Elle affirme qu’ils ont été ensemble de 1973 à environ 1976. L’acte d’accusation lui-même ne nomme pas Tyler, désignant les accusés comme l’accusé Doe 1 et les Does 2 à 50. Mais Holcomb (que Rolling Stone a mentionnée dans un portrait du groupe en 1976) a parlé publiquement de son expérience avec Tyler dans le passé, et le dossier cite directement les mémoires de Tyler. Dans son livre, sans la nommer, Tyler dit qu’il a « failli prendre une épouse qui n’était pas majeure » et que « ses parents sont tombés amoureux de moi, ont signé un papier pour que je puisse avoir la garde, afin que je ne sois pas arrêté si je l’emmenais hors de l’État. Je l’ai emmenée en tournée avec moi. »
Dans le procès, Holcomb prétend qu’elle « était impuissante à résister » au « pouvoir, à la célébrité et à l’importante capacité financière » de Tyler, et que ce dernier « a contraint et persuadé la plaignante de croire qu’il s’agissait d’une “histoire d’amour romantique” ». Holcomb prétend avoir rencontré Tyler (qui aurait eu 25 ans au moment de leur rencontre) juste après son 16ème anniversaire, lors d’un concert d’Aerosmith à Portland, Oregon, en 1973. Tyler, selon la plainte, a ramené Holcomb dans sa chambre d’hôtel, où ils ont discuté de l’âge de Holcomb. Après qu’il lui a demandé pourquoi elle était sortie seule toute la nuit, Tyler et Holcomb ont parlé de ses problèmes à la maison. Il a ensuite « commis divers actes de comportement sexuel criminel sur elle » avant de la renvoyer chez elle en taxi le lendemain matin, selon le procès.
Tyler aurait également acheté à Holcomb son propre billet d’avion pour le prochain concert d’Aerosmith à Seattle, car elle était mineure et ne pouvait pas légalement voyager avec lui au-delà des frontières de l’État. Après le spectacle de Seattle, Tyler aurait commis d’autres actes sexuels sur elle, et Holcomb aurait repris l’avion pour Portland le lendemain matin.

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En 1974, Tyler aurait convaincu la mère de Holcomb de lui permettre de devenir son tuteur, ce qui lui permettrait de voyager plus facilement avec elle sans être poursuivi pénalement : une chronologie qui correspond aux commentaires de Tyler lui-même dans ses mémoires de 2011. Tyler aurait dit à la mère d’Holcomb qu’il lui apporterait un meilleur soutien qu’elle ne recevait à la maison, promettant de l’inscrire à l’école et de lui fournir des soins médicaux. Tyler « n’a pas donné suite à ces promesses et a plutôt continué à voyager avec la plaignante, à l’agresser et à lui fournir de l’alcool et des drogues », affirme la plainte.
Holcomb affirme en outre qu’elle était enceinte du fils de Tyler en 1975, alors qu’elle avait 17 ans, mais qu’elle s’est fait avorter après que Steven Tyler a insisté pour qu’elle interrompe sa grossesse à la suite de l’incendie d’un appartement. Selon lui, l’inhalation de fumée aurait provoqué un manque d’oxygène pour le bébé. Pourtant, selon la plainte, un professionnel de la santé lui a dit que le bébé à naître n’avait pas été impacté par l’incendie.
Selon le procès, Holcomb hésitait à avorter, mais Tyler avait menacé de ne plus la soutenir dans le cas contraire. Après l’avortement, elle aurait quitté Tyler et serait retournée à Portland pour changer de vie. Elle est devenue une catholique fervente, a rencontré son mari et a oublié ses expériences passées avec Tyler jusqu’à ce qu’il en parle dans son livre.
Holcomb affirme dans sa plainte que sa vie a été perturbée par la publication des mémoires de Tyler, qui, sans le consentement de Holcomb, a fait référence à ses relations avec une mineure et l’a soumise à une « infamie involontaire » tout en présentant les abus présumés comme une « relation romantique et amoureuse ». Tyler a également parlé d’une relation avec une mineure dans l’autobiographie d’Aerosmith, publiée en 1997, mais Tyler appelle la fille Diana et dit qu’elle avait 14 ans au moment où ils se sont rencontrés.
Ce n’est n’est pas la première fois que Holcomb partage ces détails sur son expérience avec Tyler. Avant la plainte, en 2011, elle en a parlé au site d’extrême droite anti-avortement Lifesitenews, et elle a participé à des programmes comme l’émission de Tucker Carlson. Elle a également parlé de son expérience dans le documentaire Look Away de 2021, qui portait sur les abus sexuels dans la culture de la musique rock.

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« Je me suis perdue dans une culture rock and roll. Dans le monde de Steven, c’était sexe, drogue et rock and roll, mais ça ne semblait pas moins chaotique que le monde que j’avais laissé derrière moi. Je ne le savais pas encore, mais j’allais à peine m’en sortir vivante, a écrit Holcomb en 2011. Je ne pouvais pas croire qu’il me demandait d’avorter à ce stade. Il a passé plus d’une heure à me pousser à avorter. Il a dit que j’étais trop jeune pour avoir un bébé et qu’il aurait des lésions cérébrales parce que j’avais été dans un incendie et pris des drogues. »
 
Ethan Millman
Traduit par la rédaction

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Musicien lui aussi, Jo Mersa Marley avait sorti deux EP et cherchait à « faire quelque chose de nouveau avec mes racines », comme il l’a dit un jour à Rolling Stone.

Joseph “Jo Mersa” Marley, petit-fils de Bob Marley et fils de Stephen Marley, est décédé à l’âge de 31 ans le 26 décembre dans le comté de Miami-Dade. Un représentant de Marley a confirmé sa mort à Rolling Stone. La cause de la mort n’a pas été précisée.
Mark J. Golding, homme politique jamaïcain, chef de l’opposition et président du People’s National Party, a pleuré la mort de Marley sur Twitter, écrivant : « Je viens d’apprendre la perte tragique de Joseph “Jo Mersa” Marley. Un jeune artiste reggae talentueux, fils de Stephen Marley et petit-fils de Bob Marley, à seulement 31 ans. La perte d’un enfant est un coup dévastateur auquel aucun parent ne devrait faire face, mes condoléances à Stephen et à toute la famille ».
Marley est né en Jamaïque en 1992 avant de déménager à Miami à l’âge de 11 ans. Enfant, il était entouré de musique et est même monté sur scène avec son père, ainsi que Ziggy Marley and the Melody Makers (le groupe comprenant son oncle Ziggy et ses tantes Sharon et Cedella). Souvent, comme Marley l’a raconté à Rolling Stone dans une interview de 2014, lui et son cousin Daniel Bambaata Marley (le fils de Ziggy) ont été chargés de chanter la chanson de 1989 des Melody Makers, « Look Who’s Dancing ».
Marley a commencé à écrire sa propre musique au collège et a sorti sa première chanson officielle « My Girl » (une collaboration avec Daniel Bambaata) en 2010. Quatre ans plus tard, Marley a sorti son premier EP solo, Comfortable, et en 2016, il a rejoint son père sur « Revelation Party », une chanson de l’album Revelation Part 2 : The Fruit of Life de Stephen. Son projet le plus récent, Eternal (qui comprend des collaborations avec des artistes reggae et dancehall comme Busy Signal, Black-Am-I et Kabaka Pyramid) est sorti en 2021.

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Dans l’interview accordée à Rolling Stone, Marley parlait du fait qu’il avait grandi dans un environnement musical. « C’était une chose magique de voir ces gens venir à la maison, et voir tout le processus de travail, racontait-il. Je rentrais à la maison et j’essayais de faire mes devoirs, mais je finissais par jeter un coup d’œil dans le studio. On avait toujours envie d’entrer et de sortir rapidement pour voir ce qui se passait. »
Mais malgré toute l’histoire dont il était imprégné, il tenait absolument à tracer sa propre voie : « Je fais partie de la nouvelle génération de Marley, mais je continue à expérimenter en même temps. Mon projet est de faire quelque chose de nouveau avec mes racines. »
 
Jon Blistein
Traduit par la rédaction

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L’homme accusé du meurtre du rappeur Takeoff avait demandé à ce que sa caution, fixée à un million de dollars, soit réduite.

Patrick Clark, l’homme accusé du meurtre du rappeur de Migos Takeoff, s’est vu refuser une nouvelle réduction de sa caution, un juge ayant ordonné qu’elle reste fixée à un million de dollars.
La caution de Patrick Clark, qui a été inculpé de meurtre lors de son arrestation au début du mois, avait d’abord été fixée à 2 millions de dollars, mais ses avocats se sont battus pour la faire baisser, jugeant qu’elle était « excessive et de nature pénale ». Lors d’une audience le 14 décembre, le juge Josh Hill a accepté de baisser la caution de Clark à 1 million de dollars. Les avocats de Clark ont tenté de faire baisser ce chiffre encore plus bas, à 300 000 $, et semblaient optimistes quant à leur réussite après une audience hier.
Mais mercredi 28 décembre, Hill a maintenu la caution à 1 million de dollars (bien que Clark puisse encore faire appel). Selon NBC 2 à Houston, Hill a déclaré qu’il craignait que Clark ne prenne la fuite parce qu’il avait son passeport sur lui (ainsi qu’un itinéraire pour le Mexique) lorsqu’il a été arrêté.
De plus, Hill a déclaré que certaines des déclarations précédentes de Clark suggéraient qu’il pouvait payer la caution d’un million de dollars, malgré les affirmations de son avocat selon lesquelles il en était incapable. Clark aurait été enregistré lors d’un appel téléphonique en prison disant qu’il pouvait couvrir la caution originale de 2 millions de dollars. Les procureurs ont également fait valoir que Clark (qui travaille comme DJ) a plus d’argent et d’actifs disponibles, citant certaines photos Instagram dans lesquelles il a posé avec de grandes quantités d’argent liquide.

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Clark, 33 ans, a plaidé non coupable aux accusations de meurtre portées contre lui. Si le juge a fixé une caution aussi élevée, c’est en partie parce que, au moment de son arrestation, les procureurs pensaient que Clark tentait de partir pour le Mexique après avoir obtenu un passeport et acquis une « grosse somme » d’argent. Cependant, l’avocat de Clark, Letitia Quinones, a déclaré que son client « n’essayait pas d’aller où que ce soit ».
Clark a été arrêté sur la base de preuves vidéo examinées qui ont montré qu’il était la seule personne dont le positionnement physique correspondait à l’angle duquel Takeoff a été frappé avant de s’effondrer au sol. Clark tenait une bouteille de vin au moment de l’incident et l’a laissée sur la scène du crime, ce qui a permis aux autorités de faire correspondre ses empreintes digitales.
Un autre individu, Cameron Joshua, 22 ans, a été arrêté fin novembre et accusé de port illégal d’une arme, bien qu’il ne soit pas soupçonné d’avoir tiré.
 
Daniel Kreps, Jon Blistein

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Traduit par la rédaction

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