La diplomatie américaine reproche à Moscou d’avoir suspendu des inspections et annulé des pourparlers. Le premier ministre ukrainien confirme la tenue d’un sommet Ukraine-UE vendredi à Kiev. Notre suivi
Le suivi en continu de la journée du mardi 31 janvier est terminé.
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Le ministre lituanien des Affaires étrangères a exhorté les pays de l’Union européenne à ne pas accueillir chez eux d’ambassadeurs russes. «Il ne sert à rien d’avoir un ambassadeur, un ambassadeur de Russie, dans une capitale européenne», a déclaré Gabrielius Landsbergis lors d’une conférence de presse organisée à Riga.
«Dans la plupart des cas, ce n’est plus une institution diplomatique, c’est une institution de propagande, dissimulant des crimes de guerre et, en général, promouvant un agenda génocidaire», a-t-il insisté. La Lituanie a dégradé ses relations diplomatiques avec Moscou en expulsant l’ambassadeur russe, en avril 2022, après la découverte du massacre dans la ville ukrainienne de Boutcha.
La semaine dernière, l’Estonie a déclaré qu’elle expulserait l’ambassadeur de Russie par mesure de rétorsion, après que le Kremlin a déclaré persona non grata l’ambassadeur d’Estonie. «Nous respectons le principe de réciprocité dans les relations avec la Russie», a indiqué alors le ministère estonien des Affaires étrangères dans un tweet, ajoutant que l’ambassadeur russe devrait partir en même temps que son homologue estonien, sommé par Moscou de quitter le territoire russe avant le 7 février.
La Lettonie, le troisième Etat balte, a annoncé qu’elle expulsait également l’ambassadeur de Russie par solidarité avec l’Estonie, ajoutant qu’elle retirerait aussi son propre ambassadeur de Moscou.
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Elle est surnommée la «conscience de Saint-Pétersbourg» et s’oppose à toute guerre. Elena Ossipova, artiste peintre de 77 ans, a présenté une exposition de ses pancartes pacifistes dans l’ancienne capitale impériale russe. Inaugurée dans les locaux de l’antenne locale du parti d’opposition Iabloko, en présence d’une trentaine de personnes, l’exposition réunit 15 pancartes créées par ses soins entre 2014 et 2022.
Parmi elles figure celle intitulée «Les yeux de la conscience.» On y voit le visage d’une petite fille aux grands yeux, et une phrase écrite en bas de la pancarte, en russe et en ukrainien: «Maman, j’ai peur de la guerre.» «C’est une exposition antiguerre, elle est tragique, commente devant son public l’artiste, que son âge oblige à s’asseoir rapidement. C’est une repentance, même si personne chez nous ne veut se repentir pour l’instant.»
Selon Alexandre Chichlov, responsable de l’antenne locale du parti Iabloko, toutes les œuvres de l’artiste n’ont pas pu être présentées en raison des lois russes prévoyant de lourdes peines pour ceux qui diffusent de «fausses informations» sur l’armée ou tentent de la «discréditer.» Certaines pancartes «contiennent des mots pour lesquels on pourrait être obligés de payer une amende ou encourir quelque chose de pire», glisse-t-il.
Elena Ossipova est connue depuis plusieurs années comme une farouche opposante à la politique de Vladimir Poutine et surtout à toute sorte de conflit armé. Elle était sortie avec une pancarte pacifiste pour la première fois en 2002 – après la prise d’otages du théâtre Doubrovka de Moscou par des combattants tchétchènes. Depuis, rares sont les actions de protestation à Saint-Pétersbourg qui se déroulent sans elle.
Interpellée à plusieurs reprises par la police, elle voit souvent ses pancartes confisquées. Pour Sergueï, 40 ans, l’un des premiers visiteurs de l’exposition, «tant qu’il y a des gens comme Elena Ossipova, il y a de l’espoir».
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Les Etats-Unis ont affirmé que la Russie ne respectait pas le traité New Start, dernier accord de désarmement nucléaire les liant. La diplomatie américaine a reproché à Moscou d’avoir suspendu des inspections et annulé des pourparlers prévus dans le cadre de cet accord, sans pour autant l’accuser d’avoir étendu son arsenal nucléaire au-delà des limites convenues.
Forts de leur nouvelle majorité à la Chambre des représentants, les républicains avaient demandé au chef de la diplomatie américaine Antony Blinken de leur signaler d’ici mardi si la Russie violait ce traité. «La Russie ne respecte pas l’obligation que lui impose le traité New Start de faciliter les activités d’inspection sur son territoire», a estimé un porte-parole du département d’Etat. Il a assuré que le pays «disposait d’une voie toute tracée pour revenir à une conformité totale.»
L’an dernier, Moscou avait annoncé reporter une réunion prévue fin novembre entre Russes et Américains sur les inspections dans le cadre du traité, accusant Washington d’«hostilité» et de «toxicité.» Les relations entre les deux puissances nucléaires sont au plus bas depuis le début de la guerre en Ukraine. La dernière réunion de cette commission consultative remonte à octobre 2021.
Dans une lettre publiée la semaine dernière, les chefs de plusieurs puissantes commissions du Congrès américain avaient affirmé que les actions et les déclarations de la Russie «soulevaient au minimum de sérieuses inquiétudes quant à leur conformité» avec New Start. Ce traité est le dernier accord bilatéral du genre liant les deux puissances. Juste après son élection en janvier 2021, le président américain Joe Biden l’avait prolongé de cinq ans, jusqu’en 2026.
Signé en 2010, il limite les arsenaux des deux pays à un maximum de 1550 ogives déployées de part et d’autre, soit une réduction de près de 30% par rapport à la limite précédente fixée en 2002. Il fixe aussi le nombre maximum de lanceurs et bombardiers lourds à 800.
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Le premier ministre Denys Chmygal a confirmé la tenue d’un sommet Ukraine-Union européenne vendredi prochain à Kiev, soit un jour après des «consultations intergouvernementales» entre Kiev et la Commission européenne qui auront lieu «pour la première fois de notre histoire.»
«Le fait que ce sommet se tienne à Kiev est un signal fort adressé tant aux partenaires qu’aux ennemis», a déclaré Denys Chmygal lors d’une réunion gouvernementale, disant «attendre du sommet une évaluation intermédiaire positive de nos efforts pour l’intégration européenne.»
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Le président américain Joe Biden a déclaré qu’il allait discuter à son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky des demandes d’aide militaire supplémentaire que ce dernier a formulées. «Nous allons parler», a-t-il dit à un groupe de journalistes à la Maison Blanche. Lundi, Joe Biden avait sèchement exclu de fournir à l’Ukraine des avions américains. A la question «Les Etats-Unis vont-ils fournir des F-16 à l’Ukraine?», il avait répondu: «Non.»
Les Occidentaux viennent de franchir un palier dans l’aide militaire apportée à l’Ukraine, après que l’Allemagne et les Etats-Unis ont annoncé l’envoi de chars, au terme de discussions difficiles. L’armée ukrainienne va ainsi recevoir «entre 120 et 140» chars occidentaux, a affirmé le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Dmytro Kouleba.
Volodymyr Zelensky réclame une assistance encore plus poussée, passant par la livraison de missiles à longue portée et d’avions de combat. Berlin a déjà rejeté catégoriquement cette idée, tandis que le président français Emmanuel Macron a estimé prudemment que «par définition, rien [n’était] exclu», tout en assurant que les Ukrainiens ne lui avaient pas fait à ce jour de demande en ce sens.
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L’ONG Human Rights Watch (HRW) a mis en garde l’Ukraine contre «l’usage apparent» par ses forces armées de mines antipersonnel interdites, lors de la bataille pour libérer Izioum – occupée pendant près de six mois par les Russes et reprise par Kiev en septembre. «L’Ukraine devrait enquêter sur l’usage apparent par son armée de milliers de mines antipersonnel disséminées par des roquettes dans et autour de la ville d’Izioum lorsque les forces russes occupaient la zone», a écrit HRW. L’ONG rappelle que les forces russes de leur côté ont utilisé des mines antipersonnel dans de nombreuses régions d’Ukraine depuis le début de la guerre.
A Izioum, l’ONG a documenté de nombreux cas de «mines papillon», de fabrication soviétique, déployées à partir de tirs de roquettes. Elles ont été trouvées dans neuf zones où se trouvaient des positions russes, suggérant que ces dernières étaient «les cibles.» «Les forces ukrainiennes semblent avoir déployé des mines de façon intensive dans la région d’Izioum, entraînant des victimes civiles et posant un risque continu», a déclaré Steve Goose, directeur du département armes à HRW, cité dans le rapport. «Les forces russes ont fait un usage répété des mines antipersonnel et commis des atrocités à travers le pays, mais cela ne justifie pas l’utilisation par l’Ukraine de ces armes interdites», a-t-il ajouté.
Lire aussi: Les équipes ukrainiennes d’extraction des corps sont hantées par une «guerre sans fin»
Les mines papillon (PFM-1S), de couleur verte ou marron, sont remplies de 37 grammes de liquide explosif. Elles sont normalement équipées d’un système d’autodestruction après 40 heures, mais le mécanisme est souvent défaillant, rappelle HRW. La ville d’Izioum a été reprise mi-septembre par les forces ukrainiennes. HRW a mené une enquête dans la région du 19 septembre au 9 octobre, interrogeant plus de 100 témoins, et a identifié onze victimes de mines. Mais selon les services de santé interrogés par HRW, une cinquantaine de civils, dont au moins 5 enfants, ont été vraisemblablement blessés par ces mines pendant, ou après, l’occupation russe, la moitié ayant subi des amputations du pied ou de la jambe.
L’Ukraine est Etat partie au traité international de 1997 sur l’interdiction des mines antipersonnel, qu’elle a ratifié en 2005, rappelle HRW. L’ONG demande à Kiev d’ouvrir une enquête et de détruire ses stocks.
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La France va fournir à l’Ukraine en guerre contre la Russie 12 canons Caesar de 155 mm supplémentaires, en plus des 18 pièces déjà livrées, a annoncé le ministre français des Armées Sébastien Lecornu.
Ces 12 canons de moyenne portée seront «financés dans le cadre du fonds de soutien de 200 millions d’euros» mis en place par la France, a précisé le ministre lors d’une conférence de presse commune avec son homologue ukrainien Oleksiï Reznikov.
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L’Ukraine va recevoir «entre 120 et 140» chars lourds occidentaux, déclare le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Dmytro Kouleba.
«Lors de la première vague de contributions, les forces armées ukrainiennes recevront entre 120 et 140 chars modernes de modèles occidentaux», a indiqué le ministre dans une vidéo sur Facebook, rappelant qu’il s’agissait de Leopard 2 de conception allemande, de Challenger 2 britanniques et d’Abrams américains.
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Les sportifs russes doivent pouvoir participer aux Jeux olympiques sans restrictions, affirme le patron du comité olympique russe, alors que le CIO envisagerait d’organiser le retour des sportifs bannis sous drapeau neutre pour les JO-2024, une position qui a provoqué l’ire de l’Ukraine.
«Les Russes doivent participer exactement dans les mêmes conditions que tous les autres athlètes. Toutes les conditions et critères supplémentaires ne sont pas les bienvenus, en particulier ceux qui ont une composante politique absolument inacceptable pour le Mouvement olympique», a déclaré Stanislav Pozdniakov, cité par les agences de presse russes.
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La Russie revendique la prise du village de Blagodatné, situé au nord de la ville de Bakhmout, dans l’est de l’Ukraine, où l’armée russe a intensifié son offensive et progresse lentement depuis plusieurs semaines. Le ministère de la Défense a indiqué dans son communiqué quotidien que «la localité de Blagodatné avait été libérée» après une offensive d’«unités d’assaut de volontaires» appuyées par l’aviation et l’artillerie.
Les volontaires sont l’euphémisme utilisé par l’armée russe s’agissant des groupes paramilitaires, comme Wagner, combattant en Ukraine. D’ailleurs, le patron de Wagner, le sulfureux Evguéni Prigojine, avait revendiqué la prise du village par ses hommes dès samedi, ce que Kiev avait démenti.
L’armée russe et Wagner tentent depuis l’été de prendre Bakhmout, ville de 70 000 habitants avant le conflit. Depuis plusieurs semaines, ils ont intensifié leur offensive pour encercler la localité, prenant en janvier la ville de Soledar, au prix de lourdes pertes, et des villages avoisinants.
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Le président russe Vladimir Poutine a demandé mardi à son gouvernement de négocier la création de centres d’entraînement militaire communs avec la Biélorussie, rare allié à soutenir l’offensive contre l’Ukraine. Il a signé un décret qui ne donne pas plus de précision.
Allié de la Russie, la Biélorussie a servi de base arrière aux troupes russes pour leur offensive contre l’Ukraine depuis le 24 février dernier, mais l’armée biélorusse s’est gardée jusqu’ici d’aller au combat sur le territoire ukrainien. Mi-octobre, les deux pays avaient annoncé la création d’une force militaire commune, qui selon Minsk avait une mission purement «défensive».
Les deux pays mènent en permanence des exercices militaires d’ampleur, nourrissant régulièrement les spéculations selon lesquelles, l’armée biélorusse pourra se lancer elle aussi à l’assaut de l’Ukraine.
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Le sujet du transfert éventuel des avions de combat F-16 de l’armée de l’air polonaise à l’Ukraine ne fait l’objet d’aucune «discussion officielle», a déclaré mardi un vice-ministre de la Défense, au lendemain du refus des Etats-Unis de livrer ces machines à Kiev. «Le sujet n’existe pas» a déclaré à l’AFP Wojciech Skurkiewicz.
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La Russie a revendiqué mardi la prise du village de Blagodatné, au nord de la ville de Bakhmout, dans l’est de l’Ukraine, où l’armée russe a intensifié son offensive et progresse lentement depuis plusieurs semaines. Le ministère de la Défense a indiqué dans son communiqué quotidien que «la localité de Blagodatné avait été libérée» après une offensive d’«unités d’assaut de volontaires» appuyées par l’aviation et l’artillerie.
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Du chef de l’OTAN au président ukrainien, bon nombre des candidatures proposées au Nobel de la paix 2023 avant la date-butoir, ce mardi, sont teintées par la guerre en Ukraine – sans que cela en fasse nécessairement des favoris.
Parmi les individus et organisations suggérés au comité Nobel norvégien, les quelques noms rendus publics ont généralement trait à des acteurs du conflit qui déchire l’Ukraine depuis près d’un an ou à l’opposition au président russe Vladimir Poutine.
Selon les statuts Nobel, la liste des candidatures est tenue secrète pendant au moins 50 ans. Mais les milliers de parrains (parlementaires et ministres de tous les pays, anciens lauréats, certains professeurs d’université…) sont libres de révéler l’identité de leur «poulain».
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Pour remplir les réserves hivernales, l’Allemagne et ses voisins européens se sont arrachés des cargaisons de gaz naturel liquéfié (GNL) du Qatar ou des Etats-Unis, bien plus cher que le gaz russe, convoyées par bateau. Les importations GNL en Europe ont bondi de 60% en 2022 par rapport à 2021, selon le groupe de réflexion Institute for Energy Economics and Financial Analysis.
Grâce à cette stratégie, «les pires scénarios pour l’hiver 2022/2023», qui prédisaient coupures et pénuries, «ne se sont pas produits», constate Fabian Skarboe Ronningen, analyste au cabinet de veille sur l’énergie Rystad Energy. Les stocks européens de gaz sont encore bien remplis, à 72%, deux fois plus qu’en janvier 2022. Avec des températures douces cet automne, les Européens ont décalé l’allumage du chauffage. Et ils ont fait de gros efforts, par solidarité ou contraints par les prix, en baissant fortement leur consommation d’énergie.
En gaz naturel, la demande a reculé de 12% en 2022 par rapport à la moyenne de la période 2019-2021, estime le centre de réflexion Bruegel à Bruxelles. En outre, le redémarrage progressif depuis fin 2022 de nombreux réacteurs nucléaires français arrêtés redonne désormais du baume au système électrique du Vieux continent, très dépendant de la France.
Signe de cette détente, les cours de l’énergie dégringolent depuis décembre: après avoir dépassé 300 euros le mégawattheure à son record d’août, le prix de référence du gaz naturel sur le marché européen évolue actuellement autour de 55 euros/MWh – soit toujours plus du double d’avant la pandémie de Covid-19. Mais cette baisse ne se traduit pas encore sur les factures, car les énergéticiens achètent le gaz ou l’électricité sur les marchés à terme, plusieurs mois à l’avance.
Certains analystes estiment qu’il faudra des années pour retrouver des prix plus abordables. En attendant, «tous les yeux sont déjà tournés sur l’hiver 2023/2024», où il ne faudra pas compter sur les gazoducs russes, souligne Fabian Skarboe Ronningen. L’Europe va devoir encore «plus se reposer sur le GNL en 2023», or «la compétition pourrait devenir plus rude entre l’Europe et l’Asie», anticipe l’analyste. «Le pire sera peut-être à venir», si la demande asiatique de GNL rebondit combinée à un «hiver 2023-2024 froid».
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Ce mardi, Emmanuel Macron va recevoir à l’Elysée le ministre de la Défense ukrainien Oleksiy Reznikov, a annoncé la présidence française dans un communiqué. Il va aussi rencontrer le président de la Rada, le parlement de l’Ukraine, Rouslan Stefantchouk, qui doit s’exprimer devant l’Assemblée nationale à 15h, puis mercredi devant les sénateurs.
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La Russie et l’Iran ont poursuivi leurs efforts pour approfondir leurs liens économiques. Selon les médias d’État iraniens, cités par le think tank américain Institute for the Study of War (ISW), l’Iran et la Russie ont établi des canaux de communication financière directe entre les banques iraniennes et plus de 800 banques russes. Le vice-gouverneur de la Banque centrale iranienne, a ainsi annoncé que les banques iraniennes et russes ont signé un protocole d’entente. Les responsables iraniens ont présenté cet accord «comme un moyen de contourner les sanctions occidentales contre l’Iran et la Russie» le comparant au système SWIFT duquel ont été exclues les banques russes, ajoute l’ISW.
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Le Brésil, qui accueille le chancelier allemand Olaf Scholz en tournée sur le continent, n’enverra pas de munitions à l’Ukraine, a affirmé le président Luiz Inacio Lula da Silva. «Ma suggestion est de créer un groupe de pays (qui se réuniront) autour de la table avec l’Ukraine et la Russie pour essayer» d’atteindre la paix, a-t-il déclaré. Lula a également souligné que le rôle de la Chine était fondamental pour trouver une issue à la guerre. «Il est temps que la Chine mette les mains dans le cambouis», a-t-il dit.
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Joe Biden a annoncé lundi qu’il n’enverrait pas de F-16 à l’Ukraine. «Non», a simplement répondu le président américain lorsqu’un journaliste l’a interrogé à la Maison-Blanche sur sa volonté de fournir les avions de combat, que réclameraient les dirigeants ukrainiens. Le président américain a par ailleurs annoncé qu’il se rendrait prochainement en Pologne, sans pour autant préciser de date.
Reporter: “Will the United States provide F-16s to Ukraine”?
Biden: “No.” pic.twitter.com/FtSq2EP099
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https://netsolution.fr/piece-de-monnaie-commemorative-lettone-de-2-euros