Pièces complète 2 euro commémorative et accessoires protection pièces

Services financiers | Outiller les consommateurs pour accroître leur … – La Presse

Consulter lapresse.ca
Liens utiles
PHOTO FRANÇOIS ROY, ARCHIVES LA PRESSE
« Le numérique est un terreau fertile pour la fraude », prévient l’auteur.
Le Mois de la littératie financière qui s’achève nous a permis de confirmer un changement profond qui s’opère à grande vitesse. La transformation numérique des services financiers se répercute sur nos vies, en procurant une multitude de bénéfices, mais aussi en faisant poindre plusieurs enjeux importants.
Au bout de nos doigts, notre téléphone devient un portail ouvert sur le monde qui inclut notamment une foule de services financiers dont nous avons besoin : des services bancaires, de courtage de valeurs mobilières, de gestion de finances personnelles, d’assurance, et j’en passe… Ces services nous suivent où que nous soyons. Ils sont personnalisés, disponibles de jour comme de nuit et de plus en plus diversifiés.
Les intervenants du secteur financier québécois visent à maintenir de hauts standards d’intégrité et de protection des consommateurs. Toutefois, lorsque ces derniers naviguent sur le web, ils ont accès non seulement aux services en ligne des intervenants d’ici, mais également à ceux de plusieurs autres fournisseurs établis ailleurs dans le monde, dont certains ne se conforment pas à ces mêmes standards, ou sont carrément malintentionnés.
Les activités de vigie que nous conduisons à l’Autorité nous ont amenés à nous intéresser davantage à ce vaste choix de services financiers numériques disponibles sur le web, aux pratiques de marketing utilisées en ligne, et à l’influence de ces pratiques et des médias sociaux sur la prise de décision des consommateurs. Nos constats sont préoccupants.
D’abord, le numérique est un terreau fertile pour la fraude : les fraudeurs profitent de l’anonymat du web et d’un accès privilégié à notre quotidien, qu’ils observent facilement à partir de notre trace numérique, ces données à la fois sensibles et révélatrices de notre vie privée, que nous laissons tout bonnement derrière nous lorsque nous naviguons sur le web.
Ensuite, on observe, notamment sur plusieurs plateformes de négociation en ligne, des techniques de marketing numérique qui visent à influencer la prise de décision des investisseurs.
Ces techniques peuvent amener ceux-ci à faire des gestes qui ne sont pas nécessairement dans leur intérêt, comme s’engager dans des opérations financières incompatibles avec leurs objectifs d’investissement ou leur tolérance au risque.
Finalement, les jeunes consommateurs ainsi que ceux qui investissent de manière autonome et ceux qui investissent dans les cryptoactifs adoptent de façon grandissante les médias sociaux comme source d’information… ou de désinformation. Leurs décisions financières sont ainsi de plus en plus tributaires d’« influenceurs financiers », des individus qui se disent investisseurs aguerris et qui partagent généreusement leurs « secrets » pour faire fortune.
Toutefois, dans la plupart des cas, ces « finfluenceurs » n’ont pas comme réel objectif d’informer adéquatement leur public, mais plutôt de générer le plus grand nombre de vues ou de clics, ou de profiter financièrement d’un buzz qu’ils contribuent à créer pour des titres ou des cryptoactifs, dans lesquels ils ont eux-mêmes investi.
Deux constats principaux se dégagent des réflexions que nous avons rendues publiques en marge de la 17édition de notre Rendez-vous avec l’Autorité, le 22 novembre dernier, devant plus de 400 intervenants du secteur financier.
D’abord, la littératie financière traditionnelle ne suffit plus : les consommateurs doivent aussi apprendre à utiliser les applications mobiles de façon sécuritaire, reconnaître la fraude en ligne, protéger leurs renseignements personnels et consentir à leur partage de façon éclairée.
Ensuite, la prudence des consommateurs revêt aujourd’hui une importance capitale. Le volume sans cesse croissant d’information véhiculée sur le web et les médias sociaux, la désintermédiation de certains marchés — comme celui des cryptoactifs — et l’offre de services financiers numériques d’entreprises établies dans des pays ou territoires ayant un encadrement laxiste ou inexistant constituent des défis de taille pour tous les régulateurs, y compris pour l’Autorité.
La vigilance des consommateurs s’avère ainsi la première ligne de défense face aux enjeux du numérique et doit donc, plus que jamais, se superposer aux efforts que nous déployons comme régulateur, notamment en éducation financière et en sensibilisation.
J’invite ainsi tous les intervenants du secteur financier québécois à agir avec nous, dès maintenant, pour mieux outiller les consommateurs québécois face aux enjeux du numérique. Développer leurs réflexes de vigilance est un investissement rentable pour l’intégrité du secteur financier d’aujourd’hui et de demain.
La Sûreté du Québec vient de publier ses statistiques des collisions routières1 et ma foi du bon Dieu, on se croirait dans l’allégorie de la caverne de Platon. Nous sommes encore prisonniers d’une caverne où des marionnettistes tentent de maintenir l’illusion. Seules les connaissances acquises par l’éducation permettent aux prisonniers de sortir de la caverne, de voir la lumière du jour, et de prendre contact avec la réalité.
Je ne sais pas si vous êtes inquiets, mais moi, je le suis grandement, quand je constate la tendance actuelle qui prend de l’ampleur dans notre système de santé : pour avoir accès à des soins nécessaires, autant dans le temps que sur le plan des ressources requises, il faut mettre la main dans sa poche et payer très cher.
À Saint-Pétersbourg pour quelques jours, l’auteur rapporte les critiques de « l’opposition patriotique », des avis qui diffèrent passablement du discours officiel du Kremlin.
Plusieurs rapports dans les médias⁠1 au cours des derniers jours ont fait état de négociations entre l’Arabie saoudite et les houthistes, qui s’affrontent violemment depuis bientôt huit ans au Yémen. Y a-t-il une lueur d’espoir ? Peut-on croire que cette guerre, qui a engendré l’une des pires catastrophes humanitaires au monde, pourrait connaître cette année un dénouement heureux après des années d’efforts de paix infructueux ?
Dans un article publié récemment par La Presse, Joël-Denis Bellavance révèle l’inquiétude des autorités fédérales à l’égard des récentes démarches autonomistes du Québec, de l’Alberta et de la Saskatchewan⁠1. Ces démarches visent essentiellement à apporter des modifications à la Constitution canadienne, à engager une bataille judiciaire en vue de contester des politiques fédérales allant à l’encontre de l’autonomie provinciale, à limiter l’effet unifiant et centralisateur de la Charte canadienne des droits et libertés et, finalement, à limiter l’exercice du pouvoir fédéral de dépenser dans les champs de compétence provinciaux.
Plus de 159 000 Québécois et Québécoises attendent une intervention chirurgicale en ce moment. Le tiers d’entre eux attendent depuis plus de six mois.
Concernant le conflit qui sévit à l’hôpital Maisonneuve-Rosemont (HMR), il semble que l’on ait encore une fois pansé la plaie avec un diachylon et simplement tassé la gestionnaire en guise de règlement.
L’auteure dénonce le traitement du personnel du Centre hospitalier de St. Mary réservé à sa mère dans les derniers moments de sa vie.
Au cours de l’année dernière, de nombreux experts politiques se sont prononcés sur divers aspects de la guerre génocidaire de la Russie contre l’Ukraine, y compris sur la question cruciale de savoir quand elle prendra fin.
Au Québec, les gens ont depuis longtemps tendance à tenir pour acquise notre richesse énergétique collective qu’est l’électricité renouvelable, et ça se comprend. Après tout, nous pouvons être fiers de ce qui a été accompli par l’équipe d’Hydro-Québec. Malgré certains couacs au fil des décennies, le bilan est largement positif.
De mémoire d’observateur attentif du milieu des affaires gouvernementales et entrepreneuriales, jamais une démission aussi soudaine qu’imprévue n’a eu autant d’impact médiatique que l’annonce faite au début janvier par la présidente-directrice générale d’Hydro-Québec.
En réponse à la chronique d’Hugo Dumas, « Les ravages de Raël⁠1 », en lien avec le documentaire Les femmes de Raël d’Érika Reyburn.
L’auteure s’est intéressée au témoignage de Félix Le-Phat-Ho, médecin de famille, sur l’immersion comme moteur de cohésion sociale1.
Le robot conversationnel ChatGPT de l’entreprise OpenAI est sans doute la technologie qui a le plus fait écarquiller les yeux en 2022. Plusieurs tentent d’anticiper les effets que les systèmes d’intelligence artificielle (IA) comme ChatGPT auront sur la vie humaine. Comme c’est toujours le cas lorsque l’IA fait de nouvelles percées, l’emballement et le battage médiatiques rendent une appréhension juste et sobre de ses capacités et de ses impacts presque impossible.
Dans un texte paru d’abord dans le Toronto Star1, et plus récemment traduit dans Le Devoir2, l’ex-leader politique Jean-François Lisée prend un malin plaisir à citer hors contexte des préoccupations de la communauté anglophone sur la nouvelle Charte de la langue française (le fameux projet de loi 96).
L’IRIS publiait la semaine dernière une étude exposant les risques que fait peser le développement de l’industrie privée des soins virtuels sur l’accès équitable aux soins et la pérennité du système public.
Nos applications
Contact
Services
Archives
Suivez La Presse
Légal
© La Presse Inc. Tous droits réservés.
Conditions d’utilisation| Politique de confidentialité| Registre de publicité électorale| Code de conduite

source

https://google-adsense.info/gestion-interculturelle

A propos de l'auteur

Avatar de Backlink pro
Backlink pro

Ajouter un commentaire

Backlink pro

Avatar de Backlink pro

Prenez contact avec nous

Les backlinks sont des liens d'autres sites web vers votre site web. Ils aident les internautes à trouver votre site et leur permettent de trouver plus facilement les informations qu'ils recherchent. Plus votre site Web possède de liens retour, plus les internautes sont susceptibles de le visiter.

Contact

Map for 12 rue lakanal 75015 PARIS FRANCE