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Si on vous a déjà lancé cette insulte, vous vous reconnaitrez peut-être dans ce portrait-robot réalisé par une équipe de chercheurs américains.
Tout le monde, ou presque, connaît une personne insupportable. Celle qui vous rend folle et dont vous auriez préféré ne jamais faire la connaissance. Si vous êtes dans ce cas de figure, vous avez peut-être croisé le chemin d’un connard (ou d’une connasse). C’est bien le terme utilisé par les chercheurs de l’université de Géorgie, qui ont voulu comprendre qui se cachait vraiment derrière cette insulte. Et si c’était vous ?
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Les personnes les plus susceptibles de répondre à cette insulte sont globalement des hommes d’âge moyen, mais attention, ce ne sont pas les seuls ! Pour avoir une meilleure idée du portrait-robot du « parfait connard » – et non de l’homme idéal, les chercheurs ont interrogé près de 400 personnes et leur ont demandé de réfléchir au « plus gros connard » qu’ils aient jamais croisé. En recoupant les traits de personnalité les plus rapportés, ils ont pu déterminer un profil type du gros relou. Le plus souvent, ces personnes apparaissent comme manipulatrices, agressives et se croient tout permis. Ressort aussi une tendance à l’irresponsabilité. Des traits que l’on retrouve beaucoup chez les personnalités psychopathes, antisociales et narcissiques. Aïe. « Les gens n’ont pas vraiment eu beaucoup de mal à déterminer qui était le “plus gros connard de leur vie” », déclare le Dr. Sharpe, à la tête de l’étude, dans un communiqué de presse. Souvent, ce sont des proches dont les participants se sont éloignés à cause de leur comportement aversif : un ex toxique, un cousin éloigné ou un patron abusif. Mais pour une personne sur trois, malheureusement, ce type de personnes partagent encore leur vie, par exemple des collègues, des amis et même leur partenaire amoureux actuel.
Les chercheurs ont aussi observé les trois principaux comportements qui font de vous un connard. Pour les déterminer, le groupe devait répondre à ces trois questions : pensez-vous que cette personne sait que son comportement dérange les autres ? Pensez-vous que cette personne se soucie du fait que son comportement dérange les autres ? Pensez-vous que cette personne pourrait changer son comportement si elle le voulait vraiment ? Globalement, le con typique sait qu’il dérange mais s’en fiche royalement et n’a pas pour projet de changer de comportement. C’est le point commun que tous les participants ont noté. Souvent considéré comme colérique et prompt aux opinions sectaires, il n’est « pas nécessairement antagoniste envers les gens, mais ne se soucie tout simplement pas vraiment de ce que les autres pensent ou de la façon dont il est perçu. »
Notons tout de même que l’usage de cette insulte dépend aussi de la vision du monde de chaque individu. Les chercheurs remarquent que la politique, le respect des règles, le fait d’être vacciné par exemple, jouent beaucoup dans la perception de l’autre.
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