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– La Russie a accusé dimanche les forces ukrainiennes d’avoir procédé à de nouveaux bombardements contre la centrale nucléaire de Zaporijjia, dans le sud de l’Ukraine, tout en assurant que le niveau de radiation y restait “conforme à la norme”.
– Moscou n’a pas contacté Kiev officiellement pour des négociations de paix et la Russie devrait de toute façon dans un premier temps retirer ses forces de l’Ukraine, a déclaré samedi un haut responsable de la présidence ukrainienne.
– Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a écarté vendredi l’idée d’une “courte trêve” avec la Russie, arguant qu’elle ne ferait qu’empirer les choses. Il a accusé Moscou de vouloir obtenir “un répit pour reprendre des forces”.
– Plus d’une centaine d’Ukrainiens ont été détenus puis ont disparu à Kherson, ville du sud de l’Ukraine, lors de l’occupation russe, dans ce qui apparaît comme une campagne planifiée, selon une étude de l’université américaine Yale publiée vendredi.
Suivi assuré par RTSinfo
12h20
La Russie et l'Ukraine s'accusent mutuellement de bombardements sur la centrale de Zaporijjia
DIMANCHE 20 NOVEMBRE
Pour Kiev, négocier aujourd'hui avec Moscou signifie "capituler"
21h45
Les États-Unis exhortent l'Ukraine à envisager des négociations avec la Russie
19h15
Lloyd Austin: Chine et Russie veulent un monde "où la force fait le droit"
18h00
Pas de démarche officielle de Moscou pour négocier la paix, selon Kiev
16h00
Arrivée du premier train en gare de Kherson
15h00
L'Ukraine vérifie l'authenticité de vidéos d'exécutions de soldats russes
14h30
Le nouveau Premier ministre britannique Sunak en visite surprise à Kiev
13h00
Lavrov persona non grata en Pologne: une décision "provocatrice"
12h00
Plus de 400 enfants tués par la guerre en Ukraine
08h30
La guerre en Ukraine condamnée par la "plupart des membres" de l'APEC
05h30
Volodymyr Zelensky écarte l'idée d'une "courte trêve" avec la Russie
SAMEDI 19 NOVEMBRE
Plus d'une centaine d'Ukrainiens disparus à Kherson, selon une étude américaine
19h30
Washington ne fera pas pression sur l'Ukraine pour négocier
19h00
Risque de coupure totale d'électricité à Kiev
17h30
Les travaux de déminage ont tout juste commencé à Kherson
00h00
Retour sur les événements de vendredi
La Russie et l’Ukraine se sont accusés mutuellement dimanche d’avoir bombardé la centrale nucléaire de Zaporijjia, située dans le sud ukrainien et occupée militairement par l’armée russe.
“Le régime de Kiev ne cesse pas les provocations afin de créer la menace d’une catastrophe à la centrale nucléaire de Zaporijjia”, la plus grande d’Europe et occupée militairement par la Russie, a ainsi affirmé l’armée russe dans un communiqué.
Samedi et dimanche, les forces ukrainiennes ont tiré plus d’une vingtaine d'”obus de grand calibre” sur la centrale, selon le communiqué.
Ceux-ci ont notamment explosé entre les blocs énergétiques numéro 4 et 5 et visé le toit d’un “bâtiment spécial” situé à proximité de ces blocs, selon la même source.
Pour sa part, l’agence nucléaire ukrainienne a accusé la Russie d’avoir bombardé le site de la centrale.
“Ce matin du 20 novembre 2022, à la suite de nombreux bombardements russes, au moins 12 frappes ont été enregistrées sur le site de la centrale nucléaire de Zaporijjia”, a déclaré Energoatom, accusant les Russes d'”organiser une fois de plus un chantage nucléaire et mettre le monde entier en danger”.
L’AIEA signale des explosions
Le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a fait lui état dimanche des “puissantes explosions” qui se sont produites dans ce secteur.
“L’information est extrêmement perturbante. Des explosions sont survenues sur le site de cette grande centrale nucléaire, ce qui est totalement inacceptable”, a déclaré Rafael Grossi dans un communiqué.La Russie accuse l’Ukraine d’avoir bombardé de nouveau la centrale de Zaporijjia. [Hannibal Hanschke – EPA/Keystone]
Les tentatives de l’Occident de pousser l’Ukraine à négocier avec Moscou après une série d’importantes victoires militaires de Kiev sont “bizarres” et relèvent d’une demande de capitulation, a déclaré à l’AFP un conseiller clé de la présidence ukrainienne.
“Quand tu as l’initiative sur le champ de la bataille, c’est un peu bizarre de recevoir des propositions du genre: vous ne pourrez pas de toute façon tout faire par la voie militaire, menez les négociations”, a déclaré Mykhaïlo Podoliak dans un entretien accordé à l’AFP, dans son bureau à la présidence.
“Cela veut dire que le pays qui attaque, qui récupère ses territoires, doit capituler devant le pays qui est en train de perdre”, a-t-il ajouté.
Les Etats-Unis appellent de façon croissante l’Ukraine à être ouverte à des négociations de paix avec la Russie, un haut responsable du Pentagone affirmant qu’il sera difficile pour les forces de Kiev de récupérer les territoires remportés par Moscou au cours de la guerre.
Le chef d’état-major américain, le général Mark Milley a souligné mercredi que le soutien des Etats-Unis n’avait pas diminué, mais a déclaré que Kiev était en bonne position pour entamer des discussions, ses soldats parvenant à tenir tête à la Russie.
20% du territoire ukrainien occupé
Il a précisé que les Russes renforçaient désormais leur emprise sur 20% du territoire ukrainien et que les lignes de front allant de la ville de Kharviv à celle de Kherson se stabilisaient.
“La probabilité d’une victoire militaire ukrainienne, consistant à chasser les Russes de toute l’Ukraine, y compris de la […] Crimée, la probabilité que cela se produise bientôt n’est pas élevée, militairement parlant”, a-t-il déclaré.
“Il peut y avoir une solution politique où, politiquement, les Russes se retirent, c’est possible”, a ajouté Mark Milley.
La Chine et la Russie veulent un monde où la force est utilisée pour résoudre les différends, a averti samedi le secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin. Il a promis que les États-Unis continueraient à défendre le droit international.
“Pékin, comme Moscou, cherche à obtenir un monde où la force fait le droit, où les différends sont résolus par la force et où les autocrates peuvent étouffer la flamme de la liberté”, a-t-il déclaré lors du Forum international sur la sécurité de Halifax, au Canada.
La guerre de Moscou contre Kiev “a mis en évidence le défi auquel nous sommes confrontés dans la région indo-pacifique”, a déclaré Lloyd Austin évoquant les “pressions” de la Chine dans cette zone.
“Aperçu d’un monde”
“Il y a toujours des règles dans la guerre. Et si une grande puissance peut faire fi de ces règles, elle encourage les autres à défier le droit international et les normes internationales”, a-t-il déclaré, dressant un parallèle entre la Chine et la Russie.
“Nous sommes déterminés à défendre ces règles – et en particulier le principe fondamental de l’immunité des non-combattants”, a encore ajouté Lloyd Austin.
Pour ce dernier, les efforts de Moscou pour obtenir le soutien de pays tels que l’Iran et la Corée du Nord créent de nouveaux défis de sécurité pour les États-Unis et leurs alliés.
“L’invasion de la Russie (en Ukraine) offre un aperçu d’un possible monde dominé par la tyrannie et les bouleversements dans lequel aucun d’entre nous ne voudrait vivre”, a encore déclaré Lloyd Austin.
Moscou n’a pas contacté Kiev officiellement pour des négociations de paix et la Russie devrait de toute façon dans un premier temps retirer ses forces de l’Ukraine, a déclaré samedi un haut responsable de la présidence ukrainienne.
“Nous n’avons pas de demande officielle de la part de la partie russe concernant… des négociations”, a déclaré Andriï Yermak, le chef de cabinet du président ukrainien, qui intervenait à distance au Forum international sur la sécurité de Halifax au Canada.
“Fondée sur l’intégrité territoriale”
Toute négociation qui ne serait pas fondée sur la souveraineté et l’intégrité territoriale de l’Ukraine dans les limites de ses frontières internationalement reconnues ne serait “pas acceptable”, a-t-il ajouté.
“Les premières mesures à prendre du côté russe sont de retirer toutes les troupes russes du territoire ukrainien”, a ajouté Andrii Yermak.
Des larmes, des sourires et des tirs d’artillerie sporadiques entourent le retour d’habitants dans le premier train arrivant à Kherson depuis huit mois, où des familles séparées par la guerre et l’occupation russe se sont retrouvées samedi dans cette ville du sud de l’Ukraine. Samedi: la foule pour accueillir le premier train arrivé dans la ville de Kherson, coupée du reste de l’Ukraine depuis le 24 février. [Oleg Petrasyuk – EPA/Keystone]
Les autorités ukrainiennes ont annoncé vendredi la réouverture de la ligne de train entre la capitale Kiev et Kherson, une semaine jour pour jour après le retrait de l’armée russe de la ville.
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L’armée ukrainienne a indiqué samedi qu’elle vérifiait l’authenticité de vidéos, qui selon Moscou prouvent que Kiev a exécuté plusieurs soldats russes qui s’étaient rendus.
“Avant de lancer une enquête, il faut qu’il y ait une base pour cela. Nous sommes en train d’établir si ces vidéos sont des fake”, a déclaré à l’AFP le porte-parole de l’état-major, Bogdan Senyk.
Il a ajouté que ces vidéos avaient été “confiées à des spécialistes”, notant que la publication de fausses vidéos s’était “intensifiée récemment”.
La Russie a accusé vendredi l’Ukraine d’avoir exécuté “brutalement” plus de dix de ses militaires qui avaient déposé les armes, dénonçant un “crime de guerre”.
Le nouveau Premier ministre britannique Rishi Sunak s’est rendu en visite surprise à Kiev samedi pour “confirmer le soutien” du Royaume-Uni à l’Ukraine, a annoncé Downing Street. “Nous serons à vos côtés” jusqu’à ce que “l’Ukraine gagne la paix”, a-t-il dit.
La Grande Bretagne continuera à soutenir Kiev dans sa guerre avec la Russie, a déclaré Rishi Sunak, arrivé pour une visite surprise dans ce pays.
“Grande leçon d’humilité”
C’est une grande leçon d’humilité d’être avec vous dans votre pays aujourd’hui”, a-t-il également dit. “Le courage du peuple ukrainien est une inspiration pour le monde”.
“Nous raconterons à nos petits-enfants votre histoire, comment un peuple fier et souverain s’est dressé face à une attaque épouvantable, comment vous vous êtes battus, comment vous vous êtes sacrifiés, comment vous avez vaincu”, a fait remarquer Rishi Sunak.
“Depuis les premiers jours de la guerre, l’Ukraine et le Royaume-Uni sont les alliés les plus puissants”, a écrit de son côté le président ukrainien sur Telegram en publiant une vidéo de sa rencontre avec Rishi Sunak.
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La Russie a dénoncé samedi une décision “provocatrice” de Varsovie, après le refus de la Pologne d’autoriser l’entrée sur son territoire au ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov pour une réunion ministérielle de l’OSCE.
“La décision de la Pologne (…) est provocatrice et sans précédent”, a déclaré la diplomatie russe dans un communiqué. “Non seulement Varsovie s’est discréditée de cette manière, mais elle a porté un préjudice irréparable à l’autorité de toute l’Organisation” pour la sécurité et la coopération en Europe, estime le communiqué.
Réunion de l’OSCE
La Pologne, qui organise début décembre la réunion ministérielle de l’OSCE, a annoncé vendredi avoir refusé l’entrée sur son territoire à Sergeï Lavrov.
“Nous attendons de la Fédération de Russie qu’elle choisisse les membres de sa délégation conformément à la réglementation en vigueur”, a expliqué à l’AFP une source au sein de cette présidence annuelle tournante, assurée actuellement par Varsovie.
Selon elle, la délégation russe ne doit pas “inclure les personnes sanctionnées par l’Union européenne (UE)” à la suite de l’offensive russe en Ukraine déclenchée le 24 février, y compris Sergueï Lavrov.
Au moins 437 enfants ont péri à cause de la guerre en Ukraine depuis le début de l’invasion russe, a annoncé samedi le procureur général du pays.
Selon ce bilan, plus de 837 enfants ont également été blessés. Le nombre total d’enfants blessés et tués pourrait toutefois s’avérer plus élevé car des vérifications sont encore en cours dans les zones où les combats se poursuivent, dans celles qui ont été récemment libérées et dans celles qui sont encore sous occupation russe.
La région de Donetsk, dans l’est du pays, est de loin la plus affectée puisque 423 enfants y ont été tués et blessés, dit le procureur général.
Selon les Nations unies, au moins 16.295 civils ont été tués depuis le 24 février dernier, date du début de l’offensive russe.
Les dirigeants de la région Asie-Pacifique ont affirmé qu’il condamnaient “pour la plupart” la guerre en Ukraine, dans la déclaration finale du sommet de l’Apec publiée samedi, ajoutant leur voix à la pression internationale sur la Russie.
Après une journée et demie de discussions à Bangkok, les 21 membres du forum de coopération économique Asie-Pacifique se sont accordés sur une déclaration commune critiquant le conflit et les bouleversements économiques mondiaux déclenchés par l’invasion russe de l’Ukraine.
Cette déclaration finale a été approuvée par tous les membres, y compris la Russie et la Chine qui s’est abstenue de critiquer publiquement Moscou pour l’invasion.
La déclaration de l’Apec déplore l’impact du conflit ukrainien sur la croissance économique, l’inflation, les chaînes d’approvisionnement et la sécurité énergétique et alimentaire.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a écarté vendredi l’idée d’une “courte trêve” avec la Russie, arguant qu’elle ne ferait qu’empirer les choses. Il a accusé Moscou de vouloir obtenir “un répit pour reprendre des forces”.
“On pourrait y voir la fin de la guerre, mais un tel répit ne fera qu’empirer la situation”, a affirmé le dirigeant ukrainien lors de remarques diffusées au forum international sur la sécurité d’Halifax, au Canada. “Une paix vraiment réelle, durable et honnête ne peut venir que de la destruction complète de l’agression russe”, a-t-il ajouté.
La Maison Blanche avait réitéré plus tôt vendredi que seul Volodymyr Zelensky était en mesure d’approuver l’ouverture de négociations entre l’Ukraine et la Russie, rejetant toute notion de pressions américaines en ce sens sur Kiev.
Le chef d’état-major américain, le général Mark Milley, a déclaré à deux reprises récemment que les victoires ukrainiennes sur le champ de bataille pourraient ouvrir une fenêtre d’opportunité pour entamer des discussions en vue d’une solution politique au conflit.
Il a toutefois noté mercredi qu’il était peu probable au moins à court terme que l’Ukraine puisse déloger militairement la Russie de l’ensemble des territoires qu’elle occupe dans le pays, y compris la Crimée.
Deux avions de chasse russes “ont approché dangereusement et de façon non professionnelle” en début de semaine des navires de l’OTAN qui croisaient en mer Baltique, a affirmé vendredi l’alliance atlantique. Les bateaux menaient une opération de routine.
L’incident s’est produit mardi matin lorsque les deux appareils russes se sont approchés de ces navires jusqu’à “une altitude de 300 pieds (91 mètres) et une distance de 80 yards (73 mètres)” sans que leurs pilotes ne répondent aux communications, a indiqué le commandement naval de l’OTAN.
Plus d’une centaine d’Ukrainiens ont été détenus puis ont disparu à Kherson, ville du sud de l’Ukraine, lors de l’occupation russe, dans ce qui apparaît comme une campagne planifiée, selon une étude de l’université américaine Yale publiée vendredi.
Le Conflict Observatory, un groupe de recherche du département de santé publique de l’université Yale dont le travail est soutenu par le département d’Etat américain, a recensé 226 détentions extrajudiciaires et disparitions forcées à Kherson.
La moitié des personnes emprisonnées “ne semblent pas avoir été libérées”, selon le rapport, qui souligne que leur sort est peu clair depuis le retrait des forces russes de Kherson le 11 novembre.
La Maison Blanche a réitéré vendredi que seul le président ukrainien Volodymyr Zelensky était en mesure d’approuver l’ouverture de négociations entre l’Ukraine et la Russie, rejetant toute notion de pressions américaines sur Kiev.
“Nous sommes tous d’accord qu’une solution diplomatique négociée est la meilleure des issues possibles, excepté une décision par (le président russe Vladimir) Poutine de retirer ses troupes” d’Ukraine, a déclaré vendredi à des journalistes le porte-parole du Conseil de sécurité nationale, John Kirby.
Des médias américains ont récemment rapporté que certains hauts responsables commençaient à encourager l’Ukraine à envisager des pourparlers, ce que le président Zelensky a refusé jusqu’ici.
Au G20 mardi, le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov avait jugé “irréalistes” les conditions ukrainiennes pour entamer des pourparlers pour mettre fin à la guerre.
L’Ukraine réclame le retrait des troupes russes de son territoire et le retour de son intégrité territoriale, alors que Moscou a revendiqué l’annexion de quatre régions ukrainiennes fin septembre, en plus de la péninsule de Crimée annexée en 2014.
Les autorités de Kiev ont averti vendredi du risque d’une “coupure totale” du réseau électrique de la ville frappée par les missiles russes.
Le Premier ministre ukrainien, Denys Chmyhal, a quant à lui déclaré que près de la moitié des systèmes énergétiques de l’Ukraine était hors service en raison des attaques de Moscou.
“Nous nous préparons à différents scénarios, y compris celui d’une coupure totale”, a déclaré à la télévision ukrainienne Mikola Povoroznyk, le chef adjoint de l’administration municipale.
Face aux fréquentes coupures de courant, les autorités ont exhorté les Ukrainiens à économiser de l’énergie en réduisant l’utilisation d’appareils électriques domestiques.
Dans les régions dont les Russes se sont retirés, comme Kherson, les démineurs mettent leur vie en danger pour nettoyer des zones entières.
Les mines russes sont largement répandues et tuent des personnes presque quotidiennement. L’équipe de démineurs travaille pour débarrasser les zones des mines mortelles et des munitions non explosées, par exemple le long des routes qui mènent aux villages. Ils s’efforcent de rétablir la sécurité des citoyens des villes et des campagnes qui ont passé des mois sous occupation russe.
>> Voir les images d’une équipe de déminage à Kheron:
>> Retrouvez le détail des événements de jeudi: La Russie accuse l’Ukraine d’avoir exécuté dix militaires qui avaient déposé les armes