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Le maire de Toulouse quitte LR, grève des labos, tueur de Christchurch : les 3 infos de la nuit – Marianne

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Le maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc a annoncé lundi 7 novembre qu’il quittait les Républicains (LR), regrettant la « droitisation » du parti, et souligné qu’il ne comptait pas adhérer à un autre mouvement. « Je me retire sans polémiquer », a déclaré à l’AFP Jean-Luc Moudenc, confirmant une information du Figaro. Dans l’entretien à ce journal, le maire de la quatrième ville de France, où la majorité municipale rassemble Marcheurs et Républicains, estime que sa formation politique « est dans une impasse ».
« Le parti s’est recroquevillé sur un positionnement très droitier. (…) Cela a poussé beaucoup d’électeurs de centre droit à rejoindre le camp macroniste et cela n’a nullement empêché la dynamique du vote d’extrême droite », analyse-t-il. Tout en saluant les qualités des trois candidats à la présidence de LR – Éric Ciotti, Bruno Retailleau, Aurélien Pradié —, l’élu toulousain considère qu’ils « ont en commun de vouloir que les Républicains restent seuls, sans conclure d’alliance. Je considère que cette stratégie de l’isolement ne mène à rien ».
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Pour lui, au nom de l’intérêt national, la droite doit « dialoguer avec la majorité, sinon on assistera à un blocage permanent de nos institutions, à coups de 49-3, de foire d’empoigne permanente, voire de dissolution de l’Assemblée ». « Les trois candidats ne veulent ancrer le mouvement qu’à droite. Quel que soit le futur président des Républicains, le centre est donc abandonné », estime Jean-Luc Moudenc, qui se définit comme un centriste démocrate-chrétien et européen. Jean-Luc Moudenc, 62 ans, réélu en 2020, a successivement été membre du CDS (Centre des démocrates sociaux), de l’UMP, puis des Républicains.
Engagés depuis plus d’un mois dans un bras de fer avec le gouvernement, qui veut leur imposer des baisses de tarifs via le budget de la Sécu, les biologistes ont appelé lundi soir à la « grève reconductible » à partir du 14 novembre. Le rendez-vous de la dernière chance a tourné court. Reçus en fin de journée au siège de l’Assurance maladie, les représentants des biologistes libéraux « se sont heurtés à un mur », affirment leurs quatre syndicats dans une déclaration transmise à l’AFP.
Venus négocier une ponction limitée à 250 millions d’euros, comme prévu dans le budget de la Sécu, mais « sur la seule année 2023 », ils expliquent avoir au contraire reçu « une nouvelle proposition de rabot plus salée encore que celle envisagée initialement » : 280 millions l’an prochain, puis 322 millions par an jusqu’en 2026. Dénonçant « la folie austéritaire » de l’assurance-maladie, ils appellent à l’entrée en grève reconductible de tous les laboratoires de biologie médicale et espèrent être suivis par les grands réseaux privés, membres comme eux de l’Alliance de la biologie médicale (Biogroup, Cerba, Eurofins, Inovie, Synlab).
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« Cette politique de rabot aveugle provoquera la fermeture de laboratoires de proximité, particulièrement dans les zones rurales et les déserts médicaux », ajoutent-ils, mettant en garde les ministres François Braun à la Santé et Gabriel Attal aux Comptes publics contre « le risque d’une mobilisation générale des libéraux de santé ». L’exécutif semble toutefois peu enclin à changer d’avis. Le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran, a en effet déclaré dimanche qu’il n’y aurait « pas de retour en arrière » sur les économies inscrites dans le budget de la Sécu et qu’il n’y avait « pas lieu de réviser cette position ».
Le suprémaciste blanc australien qui a assassiné 51 personnes dans deux mosquées néo-zélandaises en 2019 a fait appel de sa condamnation à une peine de prison à perpétuité, a indiqué mardi à l’AFP une responsable judiciaire. En mars 2019, Brenton Tarrant a utilisé tout un arsenal d’armes semi-automatiques pour abattre de sang-froid des fidèles assistant à la prière du vendredi dans deux mosquées de Christchurch, au sud de la Nouvelle-Zélande, diffusant des images de son attaque en direct sur les réseaux sociaux. Ses victimes étaient toutes musulmanes et comprenaient des enfants, des femmes et des personnes âgées.
Il a été condamné en août 2020 à la prison à perpétuité sans possibilité de libération conditionnelle – une première en Nouvelle-Zélande – après avoir plaidé coupable des 51 meurtres, de 40 tentatives de meurtre et d’un acte terroriste. « Un appel contre les condamnations et la sentence a été déposé », a annoncé mardi Liz Kennedy, une porte-parole du bureau du juge. Tony Ellis, avocat de Brenton Tarrant à l’époque, avait expliqué en 2021 que son client avait cru que « la solution la plus simple pour lui était de plaider coupable », ce qui équivalait à une plaidoirie faite sous la contrainte.
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Tony Ellis a indiqué mardi à l’AFP avoir été congédié et par conséquent ne plus être en mesure de commenter cette affaire. Lors de l’énoncé de la sentence, le juge Cameron Mander avait dit prononcer à l’encontre du tueur « la punition la plus sévère possible » pour ses actes « inhumains »« Vos crimes sont si cruels que même si vous êtes détenu jusqu’à votre mort, cela ne satisfera pas les besoins de sanctions », avait alors affirmé Cameron Mander.
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