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Le média parrainé par l’État iranien, l’Agence de presse de la République islamique (IRNA), a délaissé la propagande d’État pour se concentrer sur l’icône américaine Britney Spears. Après que Spears a tweeté son soutien aux citoyennes iraniennes qui protestent actuellement contre la police des mœurs du pays, l’IRNA a répliqué sur Twitter en mentionnant la mise sous tutelle de Spears. « La chanteuse américaine Britney Spears a été placée sous la tutelle de son père en 2008 en raison de ses problèmes de santé mentale, a tweeté l’organisation. Cela a permis au père de Britney de contrôler ses finances et même les aspects de sa vie personnelle comme la grossesse, le remariage et les visites à ses fils adolescents. » Le tweet de l’IRNA, et la réponse des médias, s’inscrivent dans le cadre d’une stratégie permanente visant à noyer le soutien généralisé aux manifestations en Iran.
Les protestations actuelles ont été déclenchée par la mort, en septembre, de Mahsa Amini, une militante de 22 ans. Mahsa Amini avait été arrêtée par la police des mœurs à Téhéran au motif qu’elle n’était pas correctement vêtue du foulard religieux et de la tenue exigés. Elle est morte en garde à vue. À la suite de l’annonce de son arrestation et de son décès, la famille d’Amini s’est exprimée, affirmant que la jeune fille avait été battue à mort par la police. L’IRNA continue de nier cette affirmation et affirme que la jeune fille a eu une crise cardiaque, alors même que la mort d’Amini a suscité les plus grandes manifestations nationales depuis des années.
Au début de l’année, Britney Spears a épousé l’acteur et mannequin irano-américain Sam Asghari. Depuis le début des manifestations, le couple n’a cessé d’exprimer ses convictions politiques, notamment son soutien aux manifestants iraniens. « Moi et mon mari sommes aux côtés du peuple iranien qui se bat pour la liberté », a tweeté Spears dimanche.
Une publication partagée par Sam Asghari (@samasghari)
L’IRNA semble s’inspirer de la récente popularité des comptes de gouvernement humoristiques. Depuis le début du conflit actuel entre l’Ukraine et la Russie, le compte twitter officiel de l’Ukraine a adopté une approche confortable des réseaux sociaux, en tweetant des mèmes et des réponses entre les vidéos et les articles sérieux concernant le conflit. Et ce n’est pas la première fois que l’IRNA s’oppose au soutien des grands noms aux manifestants. La semaine dernière, l’organisation a publié un mème affirmant que la superstar internationale Shakira ignorait les violences policières à l’encontre des femmes aux États-Unis et en Arabie saoudite, tout en continuant à affirmer qu’Amini est mort d’une crise cardiaque et non de brutalités policières.
Does @shakira know anything about deplorable conditions of women in the US and Saudi Arabia? #MahsaAmini pic.twitter.com/nKdLXSEEfp
— IRNA News Agency (@IrnaEnglish) October 12, 2022
Mais leur tentative de réponse médiatique n’a pas réussi à briser une vague de soutien aux protestations iraniennes. Des stars comme Bella Hadid, Justin Bieber, Olivia Coleman, Angelina Jolie et Jake Paul se sont exprimées sur les récits de brutalité policière contre les manifestantes et ont appelé à une plus grande sensibilisation au mouvement iranien. Et dans le pays, les protestations iraniennes continuent de prendre de l’ampleur. La semaine dernière, des centaines d’enfants ont rejoint les rangs des manifestants et les cris de « Femmes, vie, liberté » ont inspiré des sanctions potentielles de la part de l’Union européenne. Ce qui prouve que, malgré les commentaires lapidaires de l’organisation sur les pop stars, le soutien international et les voix des centaines de milliers de manifestants iraniens continuent de résonner plus fort.
CT Jones
Traduit par la rédaction
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« Cette chanson m’a effrayé quand je l’ai écrite, » a dit Tom Petty. « Il n’y a aucune métaphore. Elle est extrêmement directe. » « I Won’t Back Down » a été écrite en studio pendant le mixage de « Free Fallin ». George Harrison, qui joue la ligne harmonique, avait précisé à Tom Petty que la phrase « standing on the edge of the world » (être au bord du précipice en VF) était idiote – Petty l’a promptement remplacée par « there ain’t no easy way out ». « J’ai beaucoup hésité avec cette chanson. Mais tout mon entourage l’a appréciée et il semblerait qu’ils avaient raison. »
Tom Petty était en prises avec les affres de la dépression causée par son divorce avec sa première épouse, Jane, quand il s’assied au piano et déverse son chagrin dans cette chanson. « I wish I could feel you, little one » chante-t-il. « You’re so far away. I want to reach out and touch your heart. » L’émotion sincère qui se dégage de ce titre propulse Echo, sélection de titres inspiré par la rupture du couple. « ‘Room at the Top’ est la chanson la plus déprimante que j’aie pu écrire, » affirme Petty, qui ne l’a plus jamais jouée depuis la fin de la tournée d’Echo. « Je n’ai même jamais voulu l’entendre. La dernière fois que j’ai écouté Echo, je me suis dit que j’avais mis bien plus dans cet album que je ne me souvenais. »
« Nous étions des enfants passionnés, » a dit Tom Petty, invité à parler de l’ambiance dans le groupe lors de l’enregistrement de « Breakdown ». Tom Petty a eu cette idée d’une chanson influencée par le R&B, séduisante et étrangement simple, en prenant une pause tardive dans les Hollywood’s Shelter Studios lors de l’enregistrement de son premier album. « Il devait être une ou deux heures du matin, et j’ai appelé les Heartbreakers pour qu’ils reviennent tous, » se souvient-il. « Ils étaient tous rentrés chez eux. Il sont revenus à deux ou trois heures, et on a enregistré la chanson. » Le titre dure initialement plus de sept minutes, mais a finalement été raccourci de moitié à sa sortie en tant que single principal de l’album. Conduite par une ligne de batterie inspirée du « All I’ve Got to Do » des Beatles et comprenant l’une des parties de guitare les plus emblématiques signées Mike Campbell, la chanson est entrée au Top 40. Comme Tom Petty le dira fièrement plus tard, « C’est vraiment un disque parfait. »
« The Waiting » est peut-être le meilleur exemple de la capacité des Heartbreakers à assembler harmonieusement les pièces de leurs références musicales. La dynamique questions-réponses rappelle « It’s My Life » des Animals, et le refrain évoque tellement les Byrds que leur leader a longtemps été persuadé de l’avoir inspiré. « [Roger] McGuinn jure qu’il me l’a dit » affirme Petty en référence à la phrase « the waiting is the hardest part », ajoutant « Peut-être que c’est vrai. » Tom Petty se souvient quant à lui s’être inspiré de la célèbre citation de Janis Joplin « J’aime être sur scène, et tout est en attente » (I love being onstage and everything else is waiting). Le single de Hard Promises marquera le point culminant de ce que le journaliste David Fricke appellera « l’ère vibrante » des Heartbreakers, arrivant en tête du classement Billboard pendant six semaines. « Cela évoque le fait d’attendre vos rêves et de ne jamais savoir s’ils vont un jour se réaliser. J’ai toujours eu la sensation qu’il s’agissait d’une chanson plutôt optimiste. »
Full Moon Fever fait partie des albums solos de Tom Petty, mais chaque Heartbreaker (hormis le batteur Stan Lynch) a joué dessus. « Runnin’ Down a Dream », morceau le plus entraînant de l’album, s’est construit autour d’un riff de Mike Campbell, initialement écrit à un autre rythme. Petty l’a arrangé avant de le donner au producteur Jeff Lynne. Campbell réalise aussi les solos de guitare de la chanson. Tom Petty a écrit les paroles revendicatrices du morceau où il parle de la liberté d’aller à contre-courant, façon d’évoquer ses sentiments les plus profonds sur ce que signifie pour lui le rock ’n’roll.
Tom Petty s’est inspiré d’un histoire racontée par sa femme pour écrire « Listen to Her Heart ». Peu après le déménagement du couple à Los Angeles, Jane s’est retrouvé en plein coeur d’une fête organisée par la légende du R&B Ike Turner. Alors que les festivités battaient leur plein, Turner a verrouillé les portes de son domicile pour que personne ne puisse partir. Tom Petty a transformé cet incident un peu étrange en un morceau adressé à un homme qui ne respecte pas les sentiments d’une femme. La chanson constitue le second single de You’re Gonna Get It !. La chanson n’atteindra que la 59ème position des charts, sans doute à cause de la mention explicite de la cocaïne par Petty. Mention que le label lui avait pourtant demandé de changer le mot en ‘Champagne’. « Quelle femme voudrait quitter son mec pour de l’argent et du champagne ? » avait-il demandé à l’époque. « Enfin, le champagne ne coûte que 4$ la bouteille. »
Excepté « Stop Draggin’ My Heart Around », en duo avec Stevie Nicks, « Free Fallin’ » reste l’un des plus grands succès de la carrière de Tom Petty. Cependant, quand il montra Full Moon Fever à MCA Records pour la première fois, non seulement le label n’a pas détecté de single, mais il a même rechigné à sortir l’album. « J’étais abasourdi, » affirme Petty. « C’est la seule fois de ma vie qu’un de mes albums a été refusé. » Comme pour la majorité des titres de Full Moon Fever, « Free Fallin’ » a vu le jour rapidement. Tom Petty a écrit le riff dansant sur un petit clavier électrique et l’idée des paroles lui est venue en improvisant en studio avec son producteur Jeff Lynne. Par chance, la direction du label changea, les plus réticents furent virés, et « Free Fallin’ » devint un tube du Top 10, restant au classement Billboard pendant sept mois. « Il n’y a pas un jour qui passe sans que quelqu’un ne me fredonne « Free Fallin’ », ou que je l’entende quelque part. Mais en réalité, cette chanson ne m’a pris vraiment que 30 minutes. »
« Je voulais faire un single qui ne ressemblerait à rien de ce qui a déjà été fait, » a expliqué Petty de « Don’t Come Around Here No More ». Psychédélique et synthé, classique mais aussi moderne, la chanson est une réinvention radicale concoctée par le producteur britannique Dave Stewart de Eurythmics. Les Heartbreakers étaient sceptiques sur l’intrusion d’un tiers dans leur chanson, surtout quand cet étranger a proposé d’ajouter une sitar. « Je pense que beaucoup dans le groupe – et je ne leur en veux pas – ce demandaient ce que c’était que ce bordel » se souvient Stewart. « Le disque s’appelait Southern Accents et donnait l’impression d’être en Inde. » Les paroles de Tom Petty se basent sur une phrase dite par Stevie Nicks à Joe Walsh lors d’un after de Eurythmics, et Stewart proposa la thématique Alice au Pays des Merveilles de la vidéo. « Dave et moi avons travaillé sur ce single pendant des mois, » se remémore Petty. « Elle aurait pu éclore de 10 façons différentes. »
« On nous souffle que nous sommes le futur du rock & roll » avait déclaré Tom Petty à la sortie du troisième disque des Heartbreakers. « Je ne veux pas être le futur – je veux en être le présent. » Le lead single de Damn the Torpedoes affirme cette intention. Produit par Jimmy Iovine, « Refugee » est l’un des morceaux les plus combatifs du groupe, l’affirmation qu’ils ne suivaient aucune tendance New Wave ou punk-rock, mais qu’ils étaient bel et bien une nouvelle génération de traditionalistes amateur de rock old-school. Comme souvent dans le processus de création du groupe, Mike Campbell a composé la musique, l’a enregistrée sur une cassette et l’a passée à ses partenaires. « Les paroles sont venues rapidement, » dit Petty. L’enregistrement, pas tellement. Campbell se souvient de 100 prises ; Petty dit 200. « Je me souviens avoir été si frustré que j’ai simplement quitté le studio et j’ai quitté la ville pendant deux jours. » Quand il est revenu, le groupe réussit l’enregistrement et tourna un clip sans fioritures. Et soudain, le rock américain renaquit.
« Ce titre est juste un énième exemple de ce personnage sur lequel j’écris souvent. L’enfant de cette petite ville qui sait qu’il existe quelque chose d’autre ailleurs, mais qui se fait avoir en essayant d’aller à sa recherche. J’ai toujours ressenti de la sympathie à son égard. » Sur cette chanson, Tom Petty a traduit son empathie en un classique de la musique américaine. La chanson combine des décennies de rock & roll en un hymne intense : le rythme à-la-Bo Diddley de Stan Lynch fait écho aux années cinquante ; le son clair de la guitare évoque les Byrds (tellement que Roger McGuinn reprit la chanson plus tard) ; les transitions de Mike Campbell rappellent les guitars-hero des années 70 ; et l’énergie New Wave poussera la musique jusqu’aux années 80 et au-delà. Ironiquement, quand la chanson est sortie comme le second single de l’album éponyme du groupe, elle n’est pas entrée dans les charts américains, mais réussit à atteindre une jolie place en Grande Bretagne. L’allusion à la Route 441 dans les paroles a inspiré des rumeurs selon lesquelles « American Girl » évoque une étudiante de l’Université de Floride qui s’est suicidée en se défenestrant de sa chambre étudiante. En réalité, la chanson a été écrite dans l’appartement californien de Petty alors qu’il écoutait le bruit de la ville. « Les mots me sont venus naturellement. »
Écouter Tom Petty en streaming.
Traduit par Alma Rota
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Préparez-vous à l’un des projets les plus ambitieux de Jean-Michel Jarre à ce jour et une révolution sonore ! Toujours prompt à repousser les limites du son et de la composition, le musicien dévoile ce vendredi 21 octobre Oxymore, un album entièrement conçu et composé en multicanal et en binaural. Le disque a été mixé en audio 360° dans les studios « Innovation » de Radio France.
« Dans la vie réelle, la stéréo n’existe pas, notre champ audio est à 360 degrés » explique Jean-Michel Jarre. « Aujourd’hui, la technologie nous permet d’explorer la composition en audio spatial et cela ouvre une toute nouvelle expérience pour nous, musiciens, dans le processus de création. La musique sera plus facilement ressentie par quiconque disposant d’un casque ordinaire, ou des nouvelles générations de systèmes de sonorisation, offrant une manière plus physique et naturelle d’écouter le son et donc la musique en immersion totale. »
Les nouveaux procédés de conception mis en place par le compositeur permettent de mettre en valeur les inspirations puisées dans la musique concrète. Apparu dans dans années 40, ce mouvement a révolutionné la production musicale. Il est désormais réinventé dans Oxymore, avec l’aide des outils actuels. « J’ai toujours pensé que la musique concrète, ou musique électroacoustique, avait en fait des aspects lourds et délicats » déclare l’artiste, qui inclut dans sa nouvelle création « la musique de Pierre Henry, mais aussi la musique électroacoustique repose sur les piliers de sons délicats, complexes, subtils mais aussi des sons plus forts, énergiques, bruts, comme une sorte d’apologie de l’oxymore. »
Pierre Henry (1927-2017), le compositeur de musique concrète et père fondateur de la musique électroacoustique, fait l’objet d’un hommage retentissant dans Oxymore. Auteur de la Symphonie pour un homme seul, oeuvre fondatrice de la musique concrète, il a fait partie des artisans de ce mouvement, avec Pierre Schaffer. Jean-Michel Jarre ne tarit pas d’éloges à son sujet : « L’œuvre de Pierre m’a inspiré pour Oxymore et le fait de travailler autour de quelques un de ses extraits sonores m’a conduit sur un chemin créatif que je n’aurais peut-être pas emprunté autrement. »
Un tel projet nécessite un univers propre pour s’épanouir. Ainsi, le musicien lance « Oxyville », un monde virtuel qui accompagne l’album, avec une scène numérique lui permettant d’interpréter ses nouvelles composition dans la réalité virtuelle. Selon ses dires, il s’agit « d’une ville musicale virtuelle où je vais me produire de temps en temps. À l’avenir, je souhaite inviter d’autres artistes à en faire partie, organiser des masterclasses et d’autres événements. J’aimerais qu’elle devienne un vivier pour de nouvelles expériences musicales. » Parmi les invités, on retrouve notamment Martin Gore, guitariste de Depeche Mode, avec qui Jean-Michel Jarre a collaboré sur une version alternative du morceau « Brutalism« .
La réalité virtuelle n’est d’ailleurs pas étrangère à l’oeuvre du musicien, puisqu’il avait diffusé en livestream une performance intitulée Welcome to the Other Side le soir du Nouvel An 2021, depuis une version virtuelle de Notre-Dame de Paris. Plus de 75 millions de spectateurs ont pu y assister dans le monde entier.
Rolling Stone vous propose de plonger plus en profondeur dans l’album Oxymore avec le numéro 147, disponible en précommande. Jean-Michel Jarre s’est livré à un entretien-fleuve avec Denis Roulleau et vous ouvre les portes de son univers dans un cahier détachable spécial. Le nouvel album, sa conception et le rapport de l’artiste aux nouvelles technologies sont explorés de fond en comble dans cette interview passionnante.
La sortie d’Oxymore fera aussi l’objet d’une journée spéciale sur la station de radio France Musique. Jean-Michel Jarre sera notamment l’invité de Jean-Baptiste Urbain à 8h30 dans l’émission Musique Matin. Il diffusera également sa playlist à 18h dans Open Jazz, présenté par Alex Dutilh.
Oxymore est disponible en précommandeVoici la tracklist et la pochette :
Mathieu David
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Ce mardi 18 octobre, Serj Tankian dévoile « Rumi Loves His Cars », son nouveau morceau. Découvrez-le via le player ci-dessous :
Serj Tankian ne s’est pas exprimé concernant le sujet de ce morceau. Il avait néanmoins publié un titre sur son précédent EP, Elasticity, sorti en 2021, intitulé « Rumi », dédié à son fils.
Il s’agit d’un nouveau morceau issu de Perplex Cities, son prochain EP solo, qui sort ce vendredi 21 octobre, uniquement en format dématérialisé, tourné vers la musique électronique. On y retrouve également les singles « Pop Imperialism » et « The Race« .
« Ces nouveaux morceaux contenus dans Perplex Cities sont très différents de ce que j’ai fait auparavant » explique Serj Tankian dans un communiqué. « Ils sont plus électroniques, subtils et profonds en termes de couches musicales. Perplex Cities présente une aura unique qui se distingue de mes précédents disques. »
Comme cela avait été annoncé auparavant, les morceaux seront également compris dans une appli de réalité augmentée. Il commente : « J’essaie toujours de créer des moyens nouveaux et intéressants de me connecter avec les gens via ma musique. Nous avons fait des clips incroyables pour le dernier EP Elasticity, alors je voulais essayer quelque chose de différent pour Perplex Cities. J’aime l’idée d’apparaître dans une pièce avec quelqu’un qui écoute ma musique. C’est intime, amusant et différent. »
Serj Tankian n’a annoncé aucune date française, aussi bien en tant qu’artiste solo qu’avec System of a Down. Ces derniers avaient été annoncés au Hellfest 2020, mais avaient été ensuite retirés au fil des annonces pendant la pandémie de Covid-19.
Cependant, il a récemment annoncé la tenue d’un concert unique appelé « Invocations » le 29 avril à Los Angeles, au cours duquel seront présent un orchestre, un choeur, ainsi que des solistes, dont un chanteur tenor, un chanteur alto, un chanteur de musiques du monde ou encore un chanteur de death metal. L’événement sera retransmis en streaming à travers le monde.Voici la tracklist et la pochette de Perplex Cities :
Mathieu David
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Kendrick Lamar a fait le tour du monde avec sa tournée de promotion pour son cinquième album studio, Mr. Morale & the Big Steppers, son premier en cinq ans. Avec une étape nord-américaine récemment terminée à son actif et des dates en Australie et en Nouvelle-Zélande à l’horizon, le rappeur profite d’un arrêt à Paris dans sa tournée européenne pour célébrer le chemin parcouru avec un livestream spécial organisé par Amazon Music et Prime Video.
Le spectacle à guichets fermés de Lamar à l’Accor Arena sera diffusé dans son intégralité le 22 octobre. Promu comme un événement presque cinématographique, le livestream comprendra des performances d’ouverture du cousin de Lamar et collaborateur fréquent Baby Keem, ainsi que Tanna Leone, qui figure sur le titre « Mr. Morale » de Mr. Morale and the Big Steppers.
Le concert coïncide avec le dixième anniversaire de son deuxième album, Good Kid, m.A.A.d City, qui a bouleversé la culture. Tout au long de la tournée Big Steppers, Lamar a interprété des singles essentiels de l’album, notamment « Backseat Freestyle », « Swimming Pools (Drank) » et « Bitch, Don’t Kill My Vibe ». Mais il a également fait de la place pour les morceaux les plus marquants du projet, comme « Money Trees » et « M.A.A.D City ».
Dans une déclaration, le responsable R&B et Hip-Hop d’Amazon Music, Tim Hinshaw, a expliqué : « En tant qu’enfant du quartier ouest de Compton, entendre ‘Good Kid, m.A.A.d City’ pour la première fois et voir le parcours de Kendrick, du héros de quartier à la superstar mondiale, a allumé un feu en moi dont je suis reconnaissant à jamais. Cela m’a montré que, peu importe où vous commencez dans la vie, le travail acharné et le dévouement vous mèneront là où vous espérez et rêvez d’être. Aujourd’hui, 10 ans plus tard, il est presque poétique que deux enfants de la même ville avec des rêves similaires mais différents aient atterri à Paris pour célébrer non seulement ce disque mais aussi le dernier album révolutionnaire de Kendrick, ‘Mr. Morale & the Big Steppers’. Nous sommes honorés de parrainer cette tournée et d’offrir ce spectacle aux fans du monde entier. »
Larisha Paul
Traduit par la rédaction
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Cette mi-octobre sort « Love Will Get You There », le tout nouveau single du groupe de rock irlandais Inhaler. Découvrez son clip, réalisé par James Arden, via le player ci-dessous :
Ce titre sort en même temps que l’annonce de Cuts & Bruises, deuxième album studio d’Inhaler, dont la sortie est prévue pour le 17 février 2023. Le groupe déclare : « C’est l’album que nous avons toujours voulu faire. Nous travaillons sur ces morceaux depuis un moment et sommes impatients de les emmener dans le monde entier pour les jouer pour vous-tous l’année prochaine. »
Côté live justement, les prochaines dates françaises d’Inhaler se feront en première partie d’Arctic Monkeys, les 9 et 10 mai 2023, à l’Accor Arena (Paris). Les deux groupes s’étaient d’ailleurs retrouvés à l’affiche de la dernière édition en date de Rock en Seine. Le groupe n’a pour l’instant annoncé aucune date en tête d’affiche dans l’Hexagone. Les dernières en date ont eu lieu à Paris et à Nîmes en mai.
Ces dates ont permis aux Irlandais de présenter It Won’t Always Be Like This, leur premier album studio. Interviewé par Rolling Stone à sa sortie, le chanteur et guitariste Elijah Hewson (également fils de Bono, chanteur de U2) avait expliqué : « La musique populaire frustre plus d’une personne aujourd’hui, c’est certain. Comme dirait John Lennon, il y a pas mal de “musiques d’ambiance” sans véritable âme. Notre musique, elle, a pour but de faire ressentir des choses aux gens. »
Cuts And Bruises est disponible en précommandeVoici la tracklist et la pochette :
Mathieu David
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