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Mateusz Morawiecki avait critiqué le président français pour ses entretiens téléphoniques avec Vladimir Poutine. Joe Biden promet, lui, « d’étouffer pour des années » le développement économique de la Russie.
Kiev a appelé, mercredi, les habitants de l’est de l’Ukraine à évacuer la région. Les autorités régionales « appellent la population à quitter ces territoires et font tout pour que les évacuations se déroulent de façon organisée », a déclaré la vice-première ministre Iryna Verechtchouk, citée par le ministère de l’intégration sur Telegram. Il faut évacuer « maintenant », a-t-elle ajouté.
Si l’armée russe lançait une attaque d’importance dans la région, « nous ne pourrions plus aider » les habitants « car il serait pratiquement impossible de stopper les combats », a-t-elle alerté. « Il faut évacuer tant que cette possibilité existe. Pour l’instant, elle existe encore », a insisté Mme Verechtchouk, qui coordonne l’organisation des couloirs humanitaires depuis le début de l’invasion russe, le 24 février.
Mardi, le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, a prévenu que la Russie se renforçait pour « prendre le contrôle de l’ensemble du Donbass », désormais cible prioritaire du Kremlin. « Nous sommes dans une phase cruciale de la guerre », a-t-il averti.
Un nouveau live est à suivre ici.
Bonsoir Cie31,
Pour le moment, l’Europe est divisée à ce sujet. L’Italie « suivra les décisions de l’Union européenne » concernant de nouvelles sanctions contre la Russie, et notamment un éventuel embargo sur le gaz, qui n’est toutefois « pas encore sur la table », a ainsi affirmé mercredi le premier ministre Mario Draghi. « Ce n’est pas une hypothèse discutée en ce moment, mais la situation évolue en permanence », a-t-il déclaré à la presse à l’issue d’un conseil des ministres.
En parallèle, le président ukrainien Volodymyr Zelensky met une pression maximale sur les européens. Il a appelé ce jeudi les hommes politiques occidentaux à trouver rapidement un accord concernant un embargo sur le pétrole russe, arguant que leur incapacité à se mettre d’accord mettait en péril la vie des Ukrainiens.
Le président ukrainien a déclaré que Moscou gagnait tellement d’argent grâce aux exportations de pétrole qu’elle n’avait pas besoin de prendre les pourparlers de paix au sérieux et a appelé le « monde démocratique » à ne pas recourir au brut russe. « Certains hommes politiques sont toujours incapables de décider comment limiter le commerce pétrolier avec la Russie afin de ne pas mettre en danger leurs propres économies », a déclaré Volodymyr Zelensky, prédisant qu’un embargo pétrolier serait néanmoins imposé. « La seule question est de savoir combien d’Ukrainiens les militaires russes auront le temps de tuer pour que vous, certains politiciens – et nous savons qui vous êtes – trouviez une certaine détermination », a-t-il ajouté.
Bonsoir Lise,
A notre connaissance, il n’y a eu qu’une frappe ukrainienne en Russie depuis le début de la guerre, le 1er avril dernier. C’est un dépôt de carburant qui avait été visé.
Bonsoir,
Le Pentagone a fait savoir, mercredi, qu’un petit groupe de soldats ukrainiens, qui se trouvait aux Etats-Unis avant le début de l’invasion de l’Ukraine par les Russes, avait été formé au maniement des drones tueurs Switchblade que Washington fournit à Kiev.
« Un très petit nombre de soldats ukrainiens (…) se trouvait déjà aux Etats-Unis et était là depuis l’automne, bien avant l’invasion, à des fins d’entraînement », a dit à la presse le porte-parole du ministère de la défense américain, John Kirby. « Nous avons profité du fait qu’ils étaient toujours dans le pays pour leur donner quelques jours de formation au maniement des Switchblade », a-t-il ajouté, notant qu’à leur retour dans leur pays, ils pourraient « former d’autres soldats ukrainiens ». Selon un haut responsable du Pentagone ayant requis l’anonymat, il s’agit d’un « petit nombre » de soldats ukrainiens, « moins d’une douzaine ». « Ils devraient rentrer en Ukraine prochainement », a-t-il ajouté.
La veille, lors d’une audition au Congrès, le ministre de la défense, Lloyd Austin, avait dit que les Etats-Unis formaient hors d’Ukraine les soldats ukrainiens au maniement des armes qu’ils leur fournissent. « Certains sont formés ici, aux Etats-Unis », avait ajouté le chef d’état-major, le général Mark Milley, sans plus de précisions.
Le président américain Joe Biden avait annoncé, le 16 mars, l’envoi de 100 de ces drones dits « kamikazes » qui explosent au contact de la cible et dont le modèle plus petit permet de détruire des blindés légers, le modèle supérieur étant capable de percer le blindage de chars lourds. « Ils sont arrivés à la frontière ukrainienne en début de semaine », a souligné M. Kirby, laissant entendre que des drones supplémentaires pourraient faire partie d’une prochaine tranche d’aide militaire. « Ils entreront en Ukraine très bientôt, si ce n’est déjà fait », a-t-il ajouté.
Washington a par ailleurs annoncé mardi débloquer une aide militaire supplémentaire à l’Ukraine allant jusqu’à 100 millions de dollars sous la forme de systèmes antichars Javelin, devenus l’arme de prédilection des soldats ukrainiens face à l’armée russe. Questionné sur l’utilité de nouveaux Javelin, dont les Ukrainiens ont déjà reçu des milliers d’exemplaires alors qu’ils réclament une meilleure défense antiaérienne, le porte-parole du Pentagone a noté que ces lance-missiles portables à l’épaule sont conçus pour percer le blindage de chars mais « cela ne veut pas dire qu’on ne peut pas les utiliser sur d’autres véhicules et même des cibles fixes si nécessaire ».
Le Canada a adressé mercredi une convocation à l’ambassadeur russe à Ottawa pour lui montrer les images « choquantes » des meurtres de Boutcha, en Ukraine, demandant par ailleurs à la Cour pénale internationale (CPI) d’accélérer l’enquête sur les accusations de crimes de guerre.
S’adressant à des journalistes à Bruxelles avant de se rendre à une réunion de l’OTAN, la ministre des affaires étrangères canadienne, Mélanie Joly, a déclaré qu’elle avait « chargé [son] sous-ministre de convoquer l’ambassadeur de Russie à Ottawa pour s’assurer qu’on lui présente les images de ce qui s’est passé à Boutcha ».
La ministre canadienne a également prévenu que d’autres sanctions seraient annoncées prochainement contre la Russie. « Notre objectif est de suffoquer le régime russe », a affirmé Mme Joly. Ottawa a aussi envoyé du personnel de la Gendarmerie royale du Canada (police fédérale) à la demande de la CPI afin de recueillir des éléments d’éventuelles preuves de crimes de guerre en Ukraine. Cette équipe va permettre de « s’assurer que l’enquête en cours se poursuive rapidement », a précisé Mme Joly. « Ce que nous avons vu à Boutcha ne peut pas rester impuni ».
Après la découverte de ces massacres, le Canada ne prévoit pas de mesure d’expulsion de diplomates russes. « Je ne suis tout simplement pas certain que le geste symbolique d’exclure les diplomates russes (…) vaille le coup de perdre nos diplomates à Moscou », a déclaré le premier ministre, Justin Trudeau, à des journalistes.
« On sait très bien que oui, les diplomates russes ici au Canada sont en train de partager de la désinformation. C’est un problème », a-t-il admis. Mais « si on expulse les diplomates russes du Canada, on va probablement perdre tous nos diplomates en Russie », a expliqué M. Trudeau, estimant que ces derniers réalisaient un « travail extrêmement important », qui consiste à « savoir ce qui se passe en Russie ».
Voici l’image que vous pouvez voir en ce moment en tête de ce live.
Bonsoir,
Le Monde utilise effectivement une combinaison des sources d’information que vous citez. La quinzaine de journalistes se relayant pour tenir ce live étant basés à Paris, nous nous appuyons pour une part non négligeable sur les informations fournies par les agences de presse. Nous travaillons avec l’Agence France-Presse (AFP), Reuters et Associated Press (AP). Ce sont des sources que nous considérons comme sûres, qui vérifient leurs informations grâce à un large réseau de journalistes dans le monde. En cas de doute sur une information, nous pouvons toutefois décider d’attendre une source supplémentaire.
Nous avons ensuite, et surtout, une dizaine d’envoyés spéciaux, reporters et photographes, sur le terrain (en Ukraine et dans les pays frontaliers). Ils nous apportent des éclairages essentiels dans le chaos de la situation, et produisent nombre de reportages, tout aussi essentiels pour documenter le conflit et donner à voir aux lecteurs. Vous les trouverez tous dans cette rubrique.
Enfin, nous nous appuyons également sur les réseaux sociaux. S’ils sont loin d’être des sources sûres, ils nous permettent d’avoir un œil sur la réalité du terrain et peuvent nous confirmer une attaque ou un bombardement dans une localité. Avant d’utiliser une quelconque information – d’autant plus quand elle provient des réseaux –, nous vérifions systématiquement l’auteur de la publication, nous essayons de valider les images, s’il y en a, par des indices visuels notamment, et, surtout, nous multiplions les sources.
Pour en apprendre encore davantage sur notre dispositif et notre couverture de la guerre en Ukraine, vous pouvez lire cet article :
Bonsoir,
Le premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki, avait dénoncé, lundi, l’attitude d’Emmanuel Macron à l’égard de Vladimir Poutine, le président français persistant, selon lui, à voir dans le président russe un interlocuteur. « Personne n’a négocié avec Hitler », avait-il asséné.
Ces déclarations sont intervenues dans un contexte de vive émotion, au lendemain de la découverte de centaines de corps dans les villes récemment libérées de la région de Kiev. La Pologne a réclamé à plusieurs reprises un durcissement des sanctions visant la Russie et a appelé à la création d’un tribunal international chargé d’enquêter sur la mort des civils en Ukraine.
« Monsieur le président Macron, à combien de reprises avez-vous négocié avec Poutine, qu’avez-vous obtenu ? », a demandé le premier ministre polonais. « Avez-vous arrêté quoi que ce soit ? », a-t-il encore interrogé lors d’une conférence de presse. « Personne ne doit négocier avec les criminels, il faut les combattre. Personne n’a négocié avec Hitler. Iriez-vous négocier avec Hitler, Staline, Pol Pot ? »
Répondant à cette apostrophe, la présidence française avait déjà déclaré qu’il était important que le président Vladimir Poutine comprenne les exigences des Occidentaux et ce qu’il en coûterait à la Russie si elle les ignorait. « Depuis le début le président utilise tous les instruments disponibles pour que le président Poutine cesse la guerre : sanctions massives, soutien à l’Ukraine, exigences présentées directement au président Poutine lors de leurs appels. Il est important que Poutine sache nos exigences et ce qu’il en coûte de ne pas y répondre », a dit l’Elysée.
Emmanuel Macron a qualifié mercredi sur TF1 d’« infondées » et « scandaleuses » les critiques du premier ministre polonais Mateusz Morawiecki sur ses entretiens téléphoniques avec Vladimir Poutine concernant la guerre en Ukraine.
« Ces propos sont à la fois infondés et scandaleux, mais ils ne m’étonnent pas » car M. Morawiecki, soutenu par « un parti d’extrême droite », « s’immisce dans la campagne politique française » après avoir « plusieurs fois reçu Mme (Marine) Le Pen », qu’il « soutient », a déclaré le président français, candidat à sa réélection.
« J’assume totalement d’avoir constamment, au nom de la France, parlé au président de la Russie pour éviter la guerre et construire une nouvelle architecture de paix en Europe il y a plusieurs années », a répondu M. Macron, qui s’est entretenu avec M. Poutine à de très nombreuses reprises depuis le début de l’invasion de l’Ukraine par l’armée russe le 24 février.
« Je l’ai fait dès le début de mon mandat » et « je n’ai jamais été naïf, contrairement à d’autres, je n’ai jamais été complice, contrairement à d’autres », a-t-il ajouté. « J’ai toujours oeuvré pour parler avec la Russie » et « j’ai constamment discuté pour obtenir un cessez-le feu, une trêve humanitaire, comme d’ailleurs le chancelier (Olaf) Scholz en Allemagne le fait ou d’autres chefs d’État et de gouvernement en Europe. Je pense que c’est mon devoir, c’est sans complaisance et sans naïveté », a-t-il poursuivi, en insistant aussi sur les sanctions prises contre Moscou.
Le premier ministre hongrois, Viktor Orban, a dit, mercredi, avoir demandé au président russe, Vladimir Poutine, de mettre en place un cessez-le-feu en Ukraine, tout en marquant ses distances avec les autres pays de l’Union européenne (UE) sur la question des sanctions contre Moscou et du paiement du gaz russe en roubles.
Après son triomphe électoral dimanche, le dirigeant nationaliste hongrois a déclaré avoir proposé, lors d’un entretien téléphonique avec Vladimir Poutine, la tenue de négociations de paix en Hongrie avec le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, et les dirigeants français et allemand. « J’ai suggéré au président Poutine qu’il devrait annoncer un cessez-le-feu sans attendre », a-t-il dit lors d’une conférence de presse, pendant laquelle il a qualifié la guerre en Ukraine d’« agression » menée par la Russie.
Viktor Orban a ajouté que la réponse du président russe à cette proposition avait été « positive », mais assortie de conditions qu’il n’a pas voulu détailler. « Je ne peux pas négocier pour que ces conditions soient remplies. C’est à lui et au président ukrainien de s’entendre là-dessus », a-t-il fait savoir, assurant que l’entretien avait eu lieu à l’initiative de M. Poutine.
Le président ukrainien a de nouveau accusé, mercredi, les forces russes de bloquer l’accès humanitaire à Marioupol, ajoutant qu’elles chercheraient à dissimuler les « milliers » de victimes dans cette ville assiégée du sud-est de l’Ukraine contre laquelle se poursuivent les assauts et les bombardements.
« Je pense que l’une des principales raisons pour lesquelles nous ne pouvons pas faire entrer d’aide humanitaire dans Marioupol est que, tant que tout n’a pas été “nettoyé” par les soldats russes, ils ont peur que le monde voie ce qu’il s’y passe », a déclaré Volodymyr Zelensky dans un entretien à la chaîne de télévision turque Habertürk, mis en ligne par la présidence.
Il s’agit « non pas de dizaines mais de milliers de personnes tuées et de milliers de blessés », a-t-il estimé. « Nous savons combien de militaires [ukrainiens] y sont morts et combien y ont été blessés, mais nous ne savons pas combien de civils ». « Mais, dans tous les cas, ils [les Russes]ne pourront pas tout cacher (…). Un tel nombre, c’est impossible à dissimuler. Et je pense que nous le verrons tous quand nous pourrons entrer » dans Marioupol, a-t-il encore déclaré.
« A Boutcha par exemple ils ont essayé de le faire, ils ont brûlé beaucoup de gens dans cette région. Boutcha, Irpine, Hostomel, ils ont brûlé des familles. Hier, nous avons de nouveau trouvé une famille : le père, la mère, les deux enfants. De tout petits enfants. C’est pour ça que je dis : ce sont des nazis », a encore accusé le président ukrainien.
Interrogé sur la possibilité d’une poursuite des pourparlers avec la Russie, M. Zelensky estime que ces négociations « devront avoir lieu de toute façon ». « Nous n’avons pas très envie de négocier avec la Russie après ce que nous avons vu, pas très envie, je dois vous le dire, parce que nous comprenons à qui nous avons affaire », a-t-il ajouté. Mais « nous devons trouver même la moindre possibilité de négocier. Je pense qu’il est difficile d’arrêter la guerre autrement », a-t-il relevé.
Joe Biden a dénoncé mercredi des « crimes de guerre majeurs » en évoquant les « corps laissés dans les rues après le retrait des Russes » et les « civils exécutés de sang-froid » à Boutcha, à côté de Kiev.
« Ce qui se passe, ce n’est rien de moins que des crimes de guerre majeurs. Les nations responsables doivent s’unir pour que les responsables rendent des comptes », a dit le président américain lors d’une conférence syndicale à Washington, promettant également « d’étouffer pour des années » le développement économique de la Russie.
Bonsoir,
En plus de notre carte sur l’évolution de la situation en Ukraine, mise à jour quotidiennement et épinglée en haut de ce live, voici une carte plus précise des zones du Donbass, que Moscou veut « libérer ».
Live animé par Sandra Favier
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