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EN DIRECT – Guerre en Ukraine : le sabotage de Nord Stream est un acte de «terrorisme international», accuse Poutine – Le Figaro

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Le président russe a assuré que cet incident profitait avant tout aux États-Unis, à la Pologne et à l’Ukraine.
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Lors d’une conférence, le directeur général de Gazprom, Alexeï Miller, a estimé que les réparations sur les pipelines endommagés des gazoducs Nord Stream prendraient au moins un an. Il a également regretté que la Russie n’ait toujours pas obtenu l’accès à la zone et soutenu la proposition de Vladimir Poutine de créer un hub gazier européen en Turquie.
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Le projet de plafonnement du prix du pétrole russe, poussé par le G7 et l’Union européenne de façon à limiter les revenus engrangés par Moscou, «menace le bien-être de milliards de personnes», a dénoncé mercredi Vladimir Poutine. «Avec leurs décisions hasardeuses, certains hommes politiques occidentaux détruisent en réalité l’économie mondiale de marché, menacent le bien-être de milliards de personnes», a fustigé le président russe lors d’un discours au Forum énergétique de Moscou.
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Le président russe Vladimir Poutine a estimé mercredi que la «balle est dans le camp» de l’UE quant au lancement des livraisons de gaz russe via le système de gazoduc Nord Stream 2 non affecté par des explosions. «La Russie est prête à reprendre les livraisons» via ce tube sous-marin qui n’a jamais été mis en service à cause de l’offensive contre l’Ukraine, a estimé Vladimir Poutine lors d’un forum énergétique. «La balle est dans le camp de l’UE, si elle le veut, elle n’a qu’à ouvrir le robinet», a-t-il jugé, ajoutant en outre que les autres gazoducs du système Nord Stream ne seraient réparés que si leur exploitation était garantie.
Les fuites ayant touché les gazoducs Nord Stream reliant la Russie à l’Allemagne sont un «acte de terrorisme international», a dénoncé mercredi Vladimir Poutine, assurant que cet incident profite aux Etats-Unis, à la Pologne et à l’Ukraine. «Les bénéficiaires sont clairs (…) Car (cet incident) renforce l’importance géopolitique des systèmes gaziers restants, celui qui passe par le territoire de la Pologne (…) et de l’Ukraine, et que la Russie a construit à ses frais. Mais aussi aux Etats-Unis qui peuvent désormais livrer leur énergie à des prix élevés», a affirmé le président russe, lors d’une forum sur l’énergie.
Une frappe russe sur un marché dans la ville d’Avdiïvka, proche de la ligne de front dans l’est de l’Ukraine, a fait au moins sept morts, a annoncé le gouverneur ukrainien de la région de Donetsk, Pavlo Kyrylenko.
«Au moins 7 morts et 8 blessés à la suite d’un bombardement matinal sur Avdiïvka. Les Russes ont frappé le marché central, où se trouvaient de nombreuses personnes à ce moment-là», a-t-il affirmé sur Telegram.
Le Kremlin a reproché mercredi aux dirigeants occidentaux d’adopter une rhétorique nucléaire «provocatrice» après une série d’avertissements de la Russie, des États-Unis et de l’OTAN sur les dangers d’une escalade du conflit ukrainien en une guerre nucléaire.
Le 21 septembre, le président Vladimir Poutine a averti l’Occident qu’il ne bluffait pas lorsqu’il a déclaré qu’il serait prêt à utiliser des armes nucléaires pour défendre la Russie contre ce qu’il a dit être «chantage nucléaire» des grandes puissances occidentales. Le président américain Joe Biden, qui a averti que le monde était confronté au plus grand risque nucléaire depuis la crise des missiles cubains de 1962, a déclaré qu’il doutait que Poutine utilise une arme nucléaire tactique en Ukraine.
Le Kremlin a déclaré mercredi qu’il n’y avait pas de «nouvelle vague» d’hommes enrôlés dans l’armée, bien que certains responsables régionaux aient signalé qu’ils intensifiaient leurs efforts de mobilisation cette semaine.
«Il n’y a pas de nouvelle vague», a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, qui a demandé aux journalistes de vérifier auprès des gouverneurs individuels pour comprendre ce qu’ils avaient voulu dire. Le ministère de la Défense a déclaré que plus de 200 000 hommes avaient été enrôlés dans les premières semaines après que le président Vladimir Poutine a annoncé une mobilisation partielle de réservistes pour combattre en Ukraine. Le ministre de la Défense, Sergueï Choïgou, avait suggéré plus tôt que 300 000 hommes ayant une expérience militaire antérieure seraient appelés pour soutenir les efforts de guerre de la Russie en Ukraine, bien que le décret de Poutine n’ait pas révélé de nombre.
Le ministère russe de la Défense a déclaré mercredi qu’il prévoyait d’augmenter le nombre d’exercices militaires conjoints avec les pays de la CEI en 2023, a rapporté l’agence de presse russe TASS. La Communauté des États indépendants (CEI) est une organisation intergouvernementale composée de plusieurs anciennes républiques soviétiques.
Le vice-premier ministre russe Alexander Novak a déclaré mercredi que la Russie était prête à ouvrir une enquête sur les récents incidents sur les pipelines Nord Stream. S’exprimant lors de la conférence de la semaine de l’énergie à Moscou, Novak a également déclaré que la production de pétrole et de gaz du projet pétrolier et gazier Sakhalin-1 devrait être relancée et que la Russie produirait 9,9 millions de barils de pétrole par jour en octobre.
La fourniture de systèmes de défense anti-aérienne à Kiev est «la priorité» pour les Alliés, car les Ukrainiens en ont «un besoin urgent» pour faire face aux bombardements de la Russie, a affirmé mercredi le secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg.
«Les Alliés ont fourni de tels systèmes de défense, mais les Ukrainiens ont besoin de plus. Ils ont besoin de différents types de défense aérienne, à courte portée, à longue portée, de systèmes contre les missiles balistiques, les missiles de croisière, les drones. Différents systèmes pour différentes tâches», a-t-il expliqué au début d’une réunion des ministres de la Défense de l’Alliance à Bruxelles.
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Une zone de sécurité autour de la centrale nucléaire de Zaporizhzhia en Ukraine sous contrôle russe n’est pas possible alors que la ligne de front est à 100 km (62 miles), a déclaré mercredi le chef de la région installé par la Russie. “Je peux vous dire que négocier alors que la ligne de front est à 100 kilomètres de la gare… Je pense que c’est extrêmement dangereux“, a déclaré Yevgeny Balitsky à la télévision d’Etat.
Il a également averti qu’il n’est pas possible de fermer l’usine, malgré les craintes que les bombardements ne compromettent davantage sa sécurité. «Ce n’est pas un jouet, vous ne pouvez pas simplement l’allumer et l’éteindre comme un interrupteur. Il y a l’overclocking, il y a le refroidissement et ainsi de suite», a déclaré Balitsky.
L’Agence internationale de l’énergie atomique a fait pression pour une zone de sécurité démilitarisée autour de la centrale, la plus grande d’Europe, qui reste proche de la ligne de front entre les forces russes et ukrainiennes. Moscou et Kyiv se sont mutuellement accusés d’avoir bombardé l’usine et les installations qui l’entourent, risquant ainsi un accident nucléaire. L’usine a récemment été forcée d’utiliser des générateurs diesel d’urgence après la coupure d’une ligne électrique alimentant l’usine, a déclaré le chef de la surveillance atomique de l’ONU, Rafael Grossi.
La société ukrainienne d’énergie nucléaire Energoatom a accusé la Russie ce mercredi matin, après une nouvelle coupure d’alimentation électrique de la centrale, d’empêcher un convoi transportant du carburant diesel d’accéder à la centrale nucléaire de Zaporijjia.
Energoatom a déclaré qu’il y avait eu une frappe de missile russe sur le complexe industriel de la centrale. La centrale nucléaire puise actuellement son électricité dans des générateurs diesel de secours prévu en cas de coupure de l’alimentation électrique extérieure. «A partir de 10h00 (07h00 GMT), la partie russe a empêché le convoi de véhicules de la compagnie [transportant du diesel] d’accéder à la centrale», a déclaré l’opérateur.
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La centrale nucléaire de Zaporijjia a de nouveau été privée d’alimentation électrique, a alerté ce mercredi matin le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi. «Notre équipe de la centrale nucléaire Zaporijjia m’a informé ce matin que la centrale a perdu toute son alimentation externe pour la 2ème fois en cinq jours», s’est-il alarmé sur Twitter. «Ses groupes électrogènes diesel de secours fournissent désormais l’électricité nécessaire à ses fonctions de sûreté et de sécurité nucléaires», a-t-il ajouté.
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Dans une vidéo humoristique, le ministère de la Défense ukrainien remercie la France de ses livraisons de canons Caesar 155mm. «Les preuves d’amour prennent différentes formes», commence le montage vidéo avant d’enchaîner les images de Paris, de roses et de chocolats. «Mais si vous voulez vraiment conquérir notre cœur…», poursuit la vidéo avant d’afficher le canon Caesar en action. «Merci beaucoup la France […] Envoyez-nous en davantage», conclut le clip.
Kiev a annoncé mercredi matin la reprise aux forces russes de cinq localités de la région méridionale de Kherson, où l’Ukraine mène une contre-offensive, faisant reculer les troupes russes dans une région que Moscou affirme avoir annexée. «Les forces armées de l’Ukraine ont libéré cinq localités de plus dans le district de Beryslav de la région de Kherson: Novovasylivka, Novogrygorivka, Nova Kamianka, Tryfonivka, Chervoné», a indiqué la présidence ukrainienne. Les forces ukrainiennes mènent depuis des semaines une contre-offensive dans cette région contrôlée par les forces de Moscou depuis les premières semaines de la guerre.
Après s’être heurté à une forte résistance russe, l’armée ukrainienne a réalisé début octobre des gains non négligeables dans la région, notamment sur la rive du Dnipro, au sud de la ville industrielle de Kryvyï Rig. Dans la région, Kiev a notamment visé des ponts à de multiples reprises afin de perturber l’approvisionnement logistique des forces russes. La région de Kherson est l’une des quatre régions d’Ukraine dont Moscou a revendiqué l’annexion, une décision dénoncée par Kiev et ses alliés occidentaux.
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Une des deux lignes de l’oléoduc Droujba reliant la Russie à l’Allemagne a été fermée suite à une fuite détectée dans le centre de la Pologne, a annoncé mercredi l’opérateur polonais PERN.
«Les causes de l’incident ne sont pas connues pour l’instant – le pompage dans la ligne endommagée a été immédiatement arrêté. La ligne 2 de l’oléoduc fonctionne normalement», a indiqué PERN dans un communiqué précisant que la fuite a été détectée mardi soir.
Les services de sécurité russes (FSB) ont affirmé mercredi avoir déjoué une tentative d’attentat dans la région de Moscou et une autre dans celle de Briansk, non loin de l’Ukraine, accusant Kiev d’avoir préparé ces attaques.
Dans deux communiqués distincts, cités par les agences de presses russes, le FSB affirme avoir arrêté un Ukrainien suspecté d’avoir préparé une attaque au lance-roquettes dans la région de Moscou, et un autre citoyen ukrainien accusé d’avoir voulu organiser une attaque à l’explosif contre un centre logisitique à Briansk.
Les frappes russes qui ont ciblé l’ensemble du territoire ukrainien en début de semaine ont touché 30% des infrastructures énergétiques du pays, a déclaré tard mardi soir le ministre ukrainien de l’Energie Herman Halouchtchenko dans un entretien accordé à CNN. Les Russes «se fichent de tous les accords et conventions internationaux», a-t-il aussi affirmé.
«Les autorités de Kyiv ont appelé mardi les Ukrainiens à ne pas utiliser leurs appareils électroménagers afin de réduire la consommation globale d’électricité alors que des millions d’habitants sont confrontés à des coupures de courant après ces attaques russes contre le réseau électrique, d’une ampleur sans précédent depuis le début de l’offensive russe fin février dernier», a par ailleurs précisé l’agence de presse Reuters.
Les services de sécurité de Russie (FSB) ont indiqué mercredi avoir arrêté huit personnes suspectées d’avoir participé à l’organisation de l’attaque à l’explosif qui a touché samedi le pont reliant la Crimée au territoire russe. Dans un communiqué, le FSB affirme que cinq Russes et «trois citoyens ukrainiens et arméniens» ont été interpellés, sans plus de précisions sur la nationalité exacte de ces trois derniers suspects. «L’engin explosif a été dissimulé dans 22 palettes de rouleaux de film plastique d’un poids total de 22.770 kilos», a indiqué le FSB. Selon cette source, les explosifs ont été envoyés début août par bateau du port d’Odessa, en Ukraine, vers celui de Roussé en Bulgarie.
Ils ont ensuite transités par le port de Poti, en Géorgie, puis ont été expédiés vers l’Arménie avant d’arriver par voie routière en Russie, toujours selon le FSB. Les services russes affirment que l’engin explosif est entré en Russie le 4 octobre dans un camion immatriculé en Géorgie, avant d’atteindre le 6 octobre, deux jours avant l’explosion, la région russe de Krasnodar, frontalière de la Crimée. Le FSB affirme que cette «attaque terroriste» a été organisée par les renseignements militaires ukrainiens, assurant qu’un agent de Kiev avait coordonné le transit des explosifs et avait été en contact avec les différents intermédiaires.
ENTRETIEN EXCLUSIF – Mykhaïlo Podolyak, conseiller du président Zelensky, a répondu au Figaro au lendemain de la campagne de frappes russes sur plusieurs villes ukrainiennes.
Lire notre article :«Si l’Ukraine est défaite, la Russie dominera toute l’Europe et lui imposera ses valeurs»
L’Ukraine a reçu son premier système de défense anti-aérienne livré par l’Allemagne, a annoncé le ministre ukrainien de la Défense, Oleksiï Reznikov, dans un tweet publié mardi soir. «Une nouvelle ère de la défense aérienne a commencé» en Ukraine, s’est félicité le ministre.
Selon le dernier rapport du ministère de la défense britannique, la Russie, qui utilise des drones iraniens «au moins depuis le mois d’août», a déployé des drones suicides Shahed-136 lors dans la pluie de missiles qui a frappé l’Ukraine ce lundi 10 octobre. En revanche, «il est peu probable qu’ils remplissent de manière satisfaisante l’objectif de frappe en profondeur pour laquelle la Russie aspirait probablement à les utiliser», note le rapport qui précise que malgré une longue autonomie (jusqu’à 2500 kilomètres), ce type de drone ne peut emmener avec lui qu’une petite charge explosive.
«Les avions de combat tactiques russes n’ayant toujours qu’un effet limité sur le territoire ukrainien, l’absence d’une capacité de frappe opérationnelle fiable, durable et précise est probablement l’une des lacunes les plus importantes de la capacité russe en Ukraine», analyse aussi la note. 2 400 exemplaires de drones iraniens auraient été commandés par la Russie selon les services de renseignement ukrainiens.
À VOIR AUSSI – Ukraine: les images des dégâts causés par une frappe russe à Zaporijjia
Dans une interview à la chaîne CNN mardi, interrogé sur la possibilité de rencontrer le président russe au prochain sommet du G20, Joe Biden a dit n’en avoir «pas l’intention», tout en précisant que «cela dépend(ait)» de ce dont son homologue souhaite parler. Si Vladimir Poutine voulait parler de la libération de Brittney Griner, basketteuse américaine emprisonnée en Russie, «je le rencontrerais», a-t-il assuré. Le président américain a en revanche affirmé refuser «de négocier quoi que ce soit avec la Russie sur le fait qu’ils restent en Ukraine, gardent une partie de l’Ukraine».
Dans un entretien donné à une chaîne de télévision d’État un peu plus tôt, le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a expliqué de son côté que le président russe était prêt à rencontrer son homologue américain dès la mi-novembre, en marge du G20 qui aura lieu en Indonésie. «Nous avons dit à plusieurs reprises que nous ne refusons jamais d’organiser des réunions. Si une proposition nous parvient, nous l’examinerons», a ainsi déclaré Sergueï Lavrov ce mardi. «Nous n’avons pas reçu de proposition sérieuse» pour l’instant, a-t-il détaillé.
ANALYSE – La Russie a relancé une séquence de bombardements par missiles sol-sol. Sans acroissement de sa capacité à les intercepter, l’Ukraine pourrait subir des dommages sévères.
«Depuis plusieurs semaines, la guerre s’était déroulée au sol, à coups d’artillerie, grâce aux chars et à l’infanterie. Après des frappes massives de missiles russes en début de conflit, l’arrière ukrainien avait été partiellement préservé. Moscou avait dû reconnaître les limites militaires de ses bombardements. Ils n’avaient pas produit l’effet escompté pour désorganiser l’armée ukrainienne, et l’assaillant avait choisi de préserver ses stocks de missiles. De son côté, la défense sol-air ukrainienne avait montré suffisamment de résistance pour décourager l’aviation russe, notamment grâce aux lance-missiles Manpads, qui s’étaient révélés fatals aux avions ou à des hélicoptères volant trop bas. Mais, depuis lundi, les forces russes ont de nouveau changé leur stratégie pour cibler les infrastructures civiles, plutôt que militaires, lors de frappes de longue portée. Les missiles de croisière russes ont mis durement à l’épreuve la défense sol-air ukrainienne.»
Lire notre article : La défense sol-air, nouvel enjeu de la guerre en Ukraine

Le président américain Joe Biden a affirmé mardi que son homologue russe Vladimir Poutine avait «clairement» mal évalué la situation en Ukraine et avait «fait une complète erreur de calcul» sur la résistance qu’il rencontrerait. «Je pense que c’est une personne rationnelle qui a clairement mal évalué» la situation, a déclaré Joe Biden dans une interview à la chaîne CNN, qui a publié quelques citations en amont de la diffusion prévue mardi soir.
«Il pensait qu’il allait être accueilli à bras ouverts (…) et je pense qu’il a fait une complète erreur de calcul», a encore dit le président américain à propos de son homologue russe Vladimir Poutine. La Russie a revendiqué mardi de nouvelles frappes «massives» sur les infrastructures ukrainiennes, pour lesquelles le G7, réuni en urgence, a promis de «demander des comptes» au président russe. L’armée russe a essuyé récemment une série de revers dans le nord-est, l’est et le sud de l’Ukraine.
Bonjour à tous et bienvenue dans ce live dédié à la guerre en Ukraine. Suivez avec Le Figaro cette nouvelle journée de guerre en Ukraine pour comprendre, décrypter et analyser les enjeux du conflit.
bezoeker
le
Le sabotage de nordstream2 est un acte de terrorisme dit Poutine, ça ne serait pas la poule qui a pondu qui caquette? Qui avait intérêts à ce sabotage? Ca évite à gazprom (plus gros pollueur de la planète) de payer des frais pour non livraison de gaz.
Bachibouzouk
le
Grace à l’aide des occidentaux, l’Ukraine est devenu un bien trop gros poisson pour la Russie. Poutine tente de sauver la face en bombardant des cibles civiles mais ça ne changera rien au fait qu’il est complètement embourbé sur le champs de bataille. L’OTAN anticipe une guerre qui va durer encore longtemps, ce qui n’est bon pour personne. 2023 va être une année économique mondiale difficile.
Bachibouzouk
le
Le fil des commentaires est quand même nettement plus lisible et de meilleure qualité quand l’armée des trolls ne débarque pas automatiquement en masse. Une petit lecture à la pause du midi, au retour du boulot le soir et quelques posts au passage. J’ai du mal à comprendre pourquoi le Fig, tout en gardant une bonne diversité de points de vue, n’arrive pas à mieux gérer ce problème
DÉCRYPTAGE – Alors que l’armée ukrainienne reprend du terrain, des proches du Kremlin dénoncent et critiquent publiquement les stratégies militaires russes. Dissidence ou manipulation?
DÉCRYPTAGE – Si le protocole reste très secret, quelques indications permettent de remettre en cause le mythe du «bouton rouge» actionné seul par Vladimir Poutine.
Le trafic ferroviaire et la circulation des voitures ont repris. Inauguré par Vladimir Poutine en 2018, le pont de Crimée qui traverse le détroit de Kertch est l’un des symboles de l’annexion par les Russes de ce territoire en 2014.
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