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La performance de Robert Pattinson dans Le Batman lui a valu les éloges des critiques et des fans. Sous la direction de Matt Reeves, il donne une représentation du croisé capé infiniment plus sombre que nombre de ses prédécesseurs. Pourtant, ce n’est pas la première fois que Pattinson assume le rôle d’un héros moralement ambigu et maussade.
En 2008, il a joué dans le premier film de la série à succès qui a défini toute une génération d’adolescents : crépuscule. Avec sa peau glacée, ses cheveux définis et ses looks lacés mélancoliques, Pattinson a acquis une immense popularité en tant que réalisation parfaite d’Edward Cullen de Stephenie Meyer. Bien que la carrière de Pattinson ait parcouru un long chemin depuis lors, Le Batman rappelle cette angoisse d’adolescent qui a lancé sa célébrité.
Bella Swan le déclare dans crépusculeentre réfléchir à la façon dont mourir à la place de quelqu’un qu’elle aime semble être une bonne voie à suivre et comment les choix qui l’ont amenée à affronter la mort lui ont également donné un petit ami vampire pour qui elle risquerait tout avec plaisir.
Tout comme Bella, Batman aussi est souvent montré comme sans vergogne pour les situations délicates dans lesquelles il se retrouve. Alors qu’il montre des remords pour les victimes civiles ou les blessures accidentelles d’Alfred, Bruce garde finalement une foi ferme en sa morale et se bat pour la justice. Bien qu’il ait été confronté à la mort à plusieurs reprises, il ne semble jamais regretter les actions entreprises dans sa quête de vengeance.
Dans la célèbre scène de la forêt, Edward explique clairement à Bella que tout dans son corps de vampire est conçu pour tuer et inviter des proies. Alors que Bella affronte Edward, il montre ses nombreux atouts en tant que “prédateur le plus dangereux du monde”.
Tout comme Edward Cullen avait ses talents surnaturels, le costume et les technologies de Batman lui offrent de super améliorations qu’aucun simple humain ne peut gérer. Ceci est incarné en particulier dans la scène de poursuite en voiture avec le Pingouin. Alors que les ennemis de Bruce essaient encore et encore de tirer le meilleur parti de lui, ils échouent constamment à le faire et il finit par sortir victorieux.
Edward Cullen est constamment absorbé par ses idées sur ce que signifie être juste ou mauvais. Malgré l’insistance de Bella sur le fait qu’il est bon, il se considère souvent comme un monstre éternellement damné, remettant en question ce que signifie vraiment être un héros ou un méchant.
Le Batman remet également en cause cette distinction. Alors que Bruce pense avoir raison, ses méthodes sont souvent critiquées par de nombreux citoyens de Gotham. Même le Riddler lui-même établit des parallèles entre les deux, allant jusqu’à croire que lui et Bruce travaillent ensemble pour débarrasser la ville de la corruption. Alors que Bruce semble trouver une certaine rédemption et de la clarté à la fin, sa morale n’est pas laissée incontestée tout au long du film.
L’une des qualités les plus frustrantes de Bella était son besoin constant de minimiser ses propres besoins et de se vautrer tranquillement dans le désespoir. Même lorsqu’elle était entourée de ses amis, Bella réprimait souvent ses propres émotions et était une solitaire sans son équipe surhumaine.
Batman est également représenté sous un jour similaire. Outre de brefs moments intimes avec Alfred, Bruce est laissé à lui-même et à ses pensées et préfère opérer seul ou avec le moins de confiance possible – comme le montre sa première mission avec Selina. Comme Bella, Bruce est réservé, calme et préfère souffrir en silence plutôt que d’être ouvert et vulnérable à ceux qui l’entourent.
Dans crépuscule, James – l’un des méchants trios de vampires qui écrasent le baseball – le déclare en enregistrant Bella se tordant de douleur pendant qu’il la torture lentement. Il a l’intention d’envoyer les images à Edward par la suite pour inciter à une chasse aux vampires par vengeance, le tout pour une forme de divertissement tordue.
Compte tenu de toutes les scènes d’otages et des enregistrements vidéo présents dans Le Batman, cette ligne s’intégrerait parfaitement dans le film. Il pourrait être utilisé par n’importe lequel des méchants présents, cependant, il conviendrait particulièrement au Riddler car il montre une autre de ses bandes au monde – d’autant plus que le Riddler utilise ses crimes infâmes pour mettre en place un jeu tordu et une chasse à l’homme, exactement comme James.
Immédiatement après avoir été miraculeusement sauvée par Edward, Bella lui demande s’il l’a suivie. Sa réponse est de lui dire qu’il ressent le besoin de la protéger, préfigurant comment il a toujours fait passer sa vie et son bien-être avant les siens.
De même, Selina est également suivie par Bruce après leur première rencontre, alors qu’il s’efforce d’en savoir plus sur elle et son implication dans les cas récents. Bien que Batman, comme Edward, ait du mal à établir des limites appropriées, tout le monde sait qu’il essaie de la protéger de Falcone et de l’empêcher d’être mêlée à la corruption de Gotham.
Dans l’un des plus mémorables crépuscule scènes, Edward Cullen grogne cette ligne après que Bella lui ait dit qu’elle savait ce qu’il était. C’est un moment très monumental dans le film, révélant enfin la véritable identité d’Edward et lui accordant un statut de héros surnaturel complet.
Bien qu’il reste l’un des meilleurs cités crépuscule lignes, cette citation est très polyvalente et pourrait potentiellement s’adapter n’importe où dans Le Batman. Qu’il s’agisse d’un interrogatoire, d’un combat ou d’un moment avec Selina, cette citation va bien avec n’importe quelle scène de Batman qui a même une once de conflit ou de tension – dont le film a beaucoup. Tout ce qui compte, c’est la livraison, et l’énergie tumultueuse de Bruce Wayne correspond facilement à celle d’Edward.
Edward essaie désespérément de se tenir à l’écart de Bella, pour son bien. Mais il se retrouve irrévocablement attiré par elle, tout comme elle ne peut résister à son allure de vampire scintillant.
Bruce et Selina partagent une énergie palpable similaire, rendue encore plus intense par la chimie à l’écran de Robert et Zoe. Alors que Bruce hésite au départ à poursuivre Selina, leurs interactions en cours érodent lentement sa résolution. Leur tension volonté-ils / ne-vont-ils pas reste constante tout au long du film jusqu’à ce que leur romance à combustion lente soit finalement culminée par leur premier baiser, une scène où ces deux lignes auraient parfaitement pu s’intégrer.
Ayant vu Edward la sauver d’être écrasée par une camionnette très lourde, Bella savait qu’il y avait quelque chose de plus en lui. Mais quand elle l’a confronté, il l’a simplement renvoyée, craignant qu’elle ne l’expose, lui et sa famille.
Étant donné que Le Batman présente plusieurs déguisements et presque tout le monde garde ses secrets respectifs, cette citation s’intégrerait à plusieurs scènes et couples, tels que Gordon et Batman, Bruce et Selina, ou Selina et Falcone. Cela aurait également été intéressant dans une scène avec Batman et le Riddler, en particulier lors des aveux de ce dernier, car il pense que Batman est son camarade et semble connaître sa véritable identité.
Edward Cullen attendait depuis plus d’un siècle de rencontrer son âme sœur. Bien qu’il ait sans aucun doute d’autres perspectives, Edward ne pouvait se connecter avec personne jusqu’à ce qu’il rencontre Bella Swan (sa future épouse et mère de son enfant miracle – alias le seul humain dont il ne pouvait pas lire l’esprit).
Comme Edward, Batman est montré comme étant seul et éloigné du monde. Mais ensuite, il rencontre Selina, qu’il trouve intrigante dès leur première interaction. Bien qu’il soit encore hésitant, Bruce trouve enfin en Selina un match pour lui-même. Leurs rencontres torrides et leur chimie apparente montrent à quel point ils sont incroyablement compatibles, en tant que partenaires dans la lutte contre le crime, les motos et au-delà.
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